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- Maria Eletta Negretti
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Maria Eletta Negretti Chercheuse en mécanique des fluides "En parallèle de mon rôle de maman de trois enfants, je m’épanouis dans mon travail qui m’apporte une énorme gratification, et c’est avec plaisir que je me rends tous les matins au laboratoire pour faire face aux turbulences et revivre chaque jour mon rêve d’enfance. En participant à “La Science taille XX elles”, je souhaite raconter mon parcours scientifique et personnel pour inspirer et inciter les jeunes et en particulier toutes les femmes dans leur projet professionnel, sans se soucier du genre, de la réussite ou de la compatibilité avec une vie de famille." Maria Eletta Negretti est chargée de recherche CNRS au Laboratoire des écoulements géophysiques et industriels (LEGI - CNRS / UGA - Grenoble INP-UGA). Depuis 4 ans elle est co-responsable scientifique de l’infrastructure expérimentale Coriolis, plateforme unique au monde pour l’étude des écoulements géophysiques. Depuis petite, les fluides fascinent Maria Eletta Negretti. Elle peut rester observer pendant des heures, la forme parfaite des tourbillons en aval d’un pilier de pont dans une rivière, les orages avec ses rafales imprévisibles, mais aussi et surtout la mer agitée avec ses vagues imposantes. Et puisqu’il n’y a pas d’école pour étudier la mer dans sa région, elle entreprend des études dans une école d’ingénieurs et se bat pour faire son propre cursus d’examens, ciblé vers la mécanique des fluides appliquée à l’environnement. Aujourd’hui elle s’intéresse plus particulièrement aux écoulements géophysiques qui influencent et modifient la circulation générale de l’océan ou de l’atmosphère, afin d’obtenir une représentation plus fiable et précise dans les modèles de prédictions océaniques. Elle étudie en particulier les phénomènes qui mènent au mélange turbulent dans l’océan et l’atmosphère. Son approche est basée sur des méthodes expérimentales couplées avec le développement de modèles théoriques. En sa qualité de co-responsable scientifique de l’accès des équipes extérieures à la plateforme Coriolis, elle travaille régulièrement sur des projets avec des chercheurs du monde entier venant étudier des sujets très variés. Ainsi, elle contribue aux réflexions et à la mise en œuvre de leurs expériences, depuis leur conception jusqu’à l’analyse et l’interprétation des données.
- Corinne Augier
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Corinne Augier Physicienne "Du côté obscur de la matière" Corinne Augier est professeure de l’Université Claude Bernard Lyon 1, membre de l’Institut de physique des deux Infinis de Lyon (IP2I, Lyon1 / CNRS). Après un bac technique suivi d’études à la faculté d’Orsay, elle obtient un magistère en physique. Suite à une thèse dans un laboratoire de l'École Polytechnique sur l'étude de la diffusion élastique proton-antiproton, elle obtient un poste de maîtresse de conférence à Orsay puis un poste de professeure à Lyon où elle travaille actuellement depuis dix ans. Tout a commencé quand elle était enfant, avec la lecture. Au point qu’elle envisage dans un premier temps de devenir bibliothécaire. À quinze ans, elle change ensuite de direction « j'ai lu un article sur la tomographie à émission de positrons. Ça m'a fascinée que l'on puisse utiliser les particules et le nucléaire pour la médecine, alors je me suis dirigée vers les sciences. Ma famille était fière, mais dubitative et, quelques années plus tard, pas un n'a lu ma thèse. » Aujourd’hui, Corinne Augier aime transmettre. Elle aime répondre aux questions des cent cinquante étudiants de son amphi. « Mon double métier d’enseignante-chercheuse nourrit ma vocation. J'enseigne la physique, de la physique générale en licence à la physique plus spécialisée en master. Et je fais de la recherche sur la matière noire, la Dark Matter de l'Univers. Corinne Augier se perçoit comme une chercheuse curieuse. « Et quand on cherche, parfois on trouve. On arrive même, comme ces chasseurs d’images, à traquer les particules qui nous entourent, qui nous traversent, même si ce ne sont pas encore celles qui constituent la matière noire. » Les détecteurs de particules qu'utilise Corinne Augier sont tout petits, très performants, refroidis à une température proche de moins 273 degrés Celsius, la plus basse température qu’on puisse atteindre physiquement. Ils peuvent ainsi mesurer une infime variation de température, au millionième de degrés près. » « Les énergies que nous voulons mesurer, précise-t-elle, ont la même gamme d'énergie que les particules qui nous entourent, celles de la radioactivité naturelle, ou encore les rayonnements cosmiques dont il faut savoir s'isoler pour qu’ils n’interfèrent pas avec nos expériences. » Pour s’isoler, Corinne Augier travaille régulièrement au Laboratoire souterrain de Modane, sous la montagne du tunnel du Fréjus, ce qui bloque un maximum de rayonnements – par exemple les muons cosmiques, grands frères des électrons – et permet de faire des mesures sans interférences. L'équipe de recherche de Corinne Augier s'appelle Edelweiss, acronyme d'Expérience de Détection des WIMPs en site souterrain. Les WIMPs sont des particules hypothétiques constituant peut-être une solution au problème de la matière noire. Son domaine, en quelques mots : Corinne Augier s’intéresse à la physique des astroparticules, lien entre infiniment petit et infiniment grand. Son expérience, Edelweiss, cherche à comprendre la nature de la Matière Sombre de l’Univers et de quelles particules encore inconnues elle est constituée, grâce à l’interaction de ces dernières dans des détecteurs fonctionnant à ultra basse température. Un petit détour vers le côté obscur ? Les femmes ont donc la tête faite pour la physique autant que les hommes, regardez Marie Curie ou Vera Rubin. Et si un chercheur fait du mauvais esprit, aujourd'hui les chercheuses peuvent se défendre. « La parité n'existe pas encore en physique ni même en biologie même si les femmes y sont plus nombreuses. Et encore moins chez les professeurs d’université : une scientifique maîtresse de conférence, oui ; mais professeure, non… en tout cas pas assez. » Corinne Augier relativise toutefois, « les physiciens ne s'étonnent plus qu'il y ait des physiciennes avec eux. Dans mon laboratoire, les femmes ont le pouvoir. À Lyon ou sous la montagne, la force est avec nous ! »
- Amandine Beau
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Amandine Beau Microbiologiste « Je souhaite changer la vie des femmes qui connaissent des infections à répétition, améliorer leur confort de vie. » Amandine Beau est ingénieure d’études en microbiologie, au sein d’une unité de recherche basée à l’IUT Clermont Auvergne - site d’Aurillac. Fascinée par les bactéries, elle étudie les caractéristiques d’un probiotique en partenariat avec l’entreprise Biose Industrie, pour améliorer le bien-être des femmes. Il y a trois ans, en pleine pandémie de la COVID-19, Amandine Beau réalise que de nombreuses personnes de son entourage ont peur. Elles redoutent ce qu’elles ne voient pas et qui paraît insaisissable : les virus, levures, bactéries… Le monde de l’infiniment petit. La jeune femme est en master de microbiologie, on lui demande des conseils, elle aide autant qu’elle peut. Les microorganismes, elle connaît bien, elle les étudie en cours et lors d’expériences professionnelles en laboratoire. Mais elle réalise alors qu’ils sont très mal perçus par la population, alors même qu’ils peuvent être bénéfiques pour la santé. Elle se jure de ne jamais oublier cet épisode singulier et se fixe un but : aider les femmes et les hommes à mieux vivre avec les micro-organismes. Ceux qu’elle étudie et qui la fascinent, ce sont les bactéries. Savez-vous que vous en hébergez plus que le nombre de cellules qui composent votre corps ? Elles sont partout, sur votre peau, dans vos intestins… Et heureusement car elles vous protègent de nombreuses agressions du monde extérieur ! Une en particulier a la faveur de la jeune ingénieure : Lactobacillus rhamnosus. Un nom barbare pour une bactérie lactique au superpouvoir anti-pathogène ! Miraculeusement, elle est déjà présente naturellement dans le tube digestif et dans les voies génitales des femmes. Elle permet notamment de lutter contre Candida albicans, un champignon microscopique à l’origine de candidoses intestinales et vaginales, qui affectent 75 % des femmes. Lactobacillus rhamnosus est ce qu’on appelle un probiotique, un micro-organisme vivant qui, lorsqu’il est ingéré en quantité suffisante, exerce des effets positifs sur la santé. Comme beaucoup d’autres bactéries aux effets bénéfiques, on le trouve communément dans les yaourts ou le fromage, mais il peut arriver qu’il soit en nombre insuffisant, notamment après un traitement antibiotique. Heureusement, il est possible de le synthétiser, en le cultivant dans un fermenteur, c’est ce que réalise l’entreprise Biose Industrie. Depuis un an, Amandine Beau étudie les effets de bactéries bénéfiques pour l’Homme, comme Lactobacillus rhamnosus et Lactobacillus crispatus qui ont la propriété d’empêcher des pathogènes de s'installer dans le corps des patientes. « Je souhaite changer la vie des femmes qui connaissent des infections à répétition, améliorer leur confort de vie », dit-elle. Au sein de son équipe, la jeune femme mène son combat à l’abri des regards, en espérant que ses découvertes auront un impact positif sur la vie de nombreuses femmes. En réalisant ses recherches, elle se voit un peu comme la gardienne de micro-organismes aux super-pouvoirs, prêts à attaquer une armée de pathogènes pour sauver le corps humain…
- F&S à la Nuit des Chercheur·e·s à Toulouse
F&S à la Nuit des Chercheur·e·s à Toulouse 4 octobre 2024 Cité de l'Espace Les adhérentes de F&S Toulouse seront présentes à la Nuit des Chercheur·e·s. Sur le stand, venez discuter avec des chercheuses de plusieurs disciplines, découvrir nos ateliers pour lutter contre les stéréotypes comme "L'habit ne fait pas le moine" et "Ça l'affiche mal", et jouer à "Femmes Scientifiques & IA" (jeu créé par Céline Chantry - adhérente de F&S - et Margaux - sa fille). En savoir plus sur la Nuit des Chercheur·e·s : https://exploreur.univ-toulouse.fr/le-programme-toulouse-nuitchercheurs-2024 En savoir plus sur les ateliers : https://www.femmesetsciences.fr/ressources En savoir plus sur le jeu "Femmes Scientifiques & IA" : https://lapdg.fr/2023/05/28/decouvrir-des-femmes-scientifiques-et-le-fonctionnement-des-ia-par-le-jeu/ © Toulouse Métropole, Cité de l'Espace, Université de Toulouse < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Mélissa Clarac
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Mélissa Clarac Technicienne de recherche en chimie "Je rêvais de faire des potions magiques" Mélissa Clarac est technicienne de recherche au Laboratoire de chimie (LC, ENS de Lyon / Lyon1 / CNRS). Après un bac S à Lunel, Mélissa Clarac intègre un DUT chimie à Sète. Avec une forte envie de continuer ses études mais ne sachant pas comment poursuivre, elle préfère arrêter un an et travailler dans tout autre chose, sans jamais pour autant perdre de vue sa passion, la chimie. Elle reprend ensuite une année d’études à Lyon et commence à travailler comme technicienne chimiste. D'où vient l’attirance irrépressible de Mélissa Clarac pour la chimie ? Il faut remonter jusqu'à son enfance quand, toute petite elle voulait déjà faire des potions magiques, et plus tard lorsqu’elle reçut à Noël la boîte du petit chimiste. C’est ainsi que peuvent naître les vocations. Intéressée par la recherche, les manips, l’observation et la paillasse, elle travaille dans un premier temps comme technicienne chimiste dans une entreprise d'analyse de l'eau. Confier des prélèvements à une machine n'étant pas précisément ce qui l’intéresse, elle cherche un autre poste et trouve son bonheur à Lyon. Mélissa Clarac travaille désormais dans la synthèse de matériaux pour batterie au sein d’une start-up hébergée par l’incubateur de l'ENS de Lyon. La création, la recherche, tout ce qu'elle a toujours voulu faire. Pour Mélissa Clarac, doit-on dire chercheure ou chercheuse ? L’une comme l’autre mais elle tient à préciser qu’en recherche, on ne recrute pas exclusivement des chercheuses mais également des techniciennes, dont le travail est indispensable au bon fonctionnement de la recherche. Les techniciennes ont donc toute leur place dans les laboratoires et les portes du monde scientifique leur sont grandes ouvertes. Les jeunes filles doivent y penser ! « En ce qui concerne la parité, je n'ai jamais eu ce souci, que ce soit dans ma scolarité ou au travail. Dans notre laboratoire la proportion est de 40 femmes pour 60 hommes. Dans mon équipe plus précisément, nous sommes trois, dont deux femmes. » Mélissa, jeune scientifique heureuse. Le secret des potions magiques ? Beaucoup de travail, de l'envie, de la détermination et trois fois rien de légèreté. Son domaine, en quelques mots : La course à l’infiniment plus petit bat son plein, notamment en ce qui concerne les circuits électroniques : gain volumique, économique, énergétique, diminution du poids, etc. Les avantages n’en finissent pas, d’où l’apparition des nanotechnologies. Mélissa Clarac travaille dans la conception de micro-batteries totalement solides, utilisant pour cela des nanoparticules de lithium. Plus petites mais aussi plus puissantes, ces micro-batteries cumulent les avantages : elles ne contiennent ni métaux lourds, ni lithium métallique, ni liquide inflammable, permettant ainsi une utilisation universelle et sans danger.
- "La Science taille XX elles" - Inauguration de l'édition marseillaise
"La Science taille XX elles" - Inauguration de l'édition marseillaise 8 mars 2024 25 mars 2024 Place Général de Gaulle, Marseille La version marseillaise de l'exposition "la Science taille XX elles" sera visible à partir du 8 mars Place Général de Gaulle. Créée par Femmes & Sciences et le CNRS en 2018 à Toulouse, l'exposition " la Science taille XX elles " poursuit son extension avec la version marseillaise : venez découvrir les 16 nouveaux portraits de femmes scientifiques qui travaillent dans des laboratoires de Provence. Ils seront exposés du 8 au 25 mars 2024 sur la Place Général de Gaulle à Marseille . Elle sera inaugurée le 12 mars. Tous les portraits ont été réalisés par le photographe Vincent Moncorgé ce qui assure l’harmonie esthétique. Comme pour les autres versions, un catalogue présentant les ambassadrices, leur parcours et leur métier a été édité, sera disponible sur notre site après le début de l'exposition. © Femmes & Sciences, CNRS, Vincent Moncorgé < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Annie Zavagno
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Annie Zavagno Astrophysicienne « Je regarde naître les étoiles » Annie Zavagno est professeure à Aix- Marseille Université où elle y enseigne la physique et l’astrophysique. Spécialiste de la formation des étoiles, elle mène ses recherches au Laboratoire d’astrophysique de Marseille [1]. Annie Zavagno étudie la formation des étoiles massives, étoiles de masse huit fois supérieure à la masse du soleil. Ces étoiles sont rares, évoluent rapidement et ont joué un rôle fondamental dans l’évolution de l’Univers. Il est donc très important de comprendre la façon dont ces étoiles naissent pour comprendre l’évolution de l’Univers lui-même. La théorie prévoit que les étoiles massives ne devraient pas exister et pourtant ces étoiles existent et se forment dans des conditions de températures très froides, de l’ordre de -250° C. En utilisant des télescopes au sol, comme le Very Large Telescope (VLT) basé au Chili ou le télescope spatial Herschel, un satellite situé dans l’espace, Annie Zavagno et ses collaborateurs étudient la formation des étoiles massives. La particularité des télescopes spatiaux est de s’affranchir de l’atmosphère terrestre qui absorbe une partie des rayonnements (dont ceux du domaine infrarouge). Ces satellites permettent donc, en particulier, d’étudier des phénomènes se déroulant à très basses températures qui sont justement détectés dans le domaine infrarouge. Les résultats de leurs observations sont comparés avec des modèles réalisés avec des ordinateurs afin d’identifier les mécanismes physiques qui expliquent au mieux la façon dont ces étoiles parviennent à se former. Ces études ont permis de mettre en évidence et d’étudier des zones où se trouvent des étoiles massives, dans notre Galaxie et dans les galaxies proches. Annie Zavagno est membre senior de l’Institut universitaire de France. Elle participe activement à la diffusion des connaissances en donnant des cours et des conférences. « Depuis le début de ma carrière, j’ai à coeur de m’impliquer auprès des jeunes pour leur montrer qu’il est important de croire en soi et en ses rêves et pour promouvoir la place des femmes en sciences. » D’autant plus que, comme elle le souligne, « en astrophysique, les femmes occupent une place importante, en particulier en termes de réussite et d’excellence. » [1] – LAM (Aix-Marseille Université/CNES/CNRS)
- Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 1er juin 2021
Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 1er juin 2021 31 mai 2021 Évènement en ligne / en présentiel (Toulouse) Inès Massiot, chargée de recherche CNRS en photonique pour l‘énergie et Nathalie Ladouce, assistante ingénieure CNRS en biotechnologie végétale animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Rendez-vous en ligne, ou au Quai des Savoirs (jauge de 35 personnes) le mardi 1er juin à partir de 18h15. Inès Massiot, chargée de recherche CNRS en photonique pour l‘énergie au Laboratoire d‘analyse et d‘architecture des systèmes (LAAS-CNRS) et Nathalie Ladouce, assistante ingénieure CNRS en biotechnologie végétale au Laboratoire de recherche en sciences végétales (LRSV - CNRS, UT3) animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Le dispositif en ligne est pensé pour favoriser les échanges avec le public. Comme toujours, un quiz ouvrira la rencontre pour briser la glace et les stéréotypes. Lien d'inscription et informations complémentaires Inscription gratuite mais obligatoire Le cycle Femmes en Sciences est proposé par le CNRS Occitanie Ouest et l'association Femmes & Sciences. Il s'inscrit dans le cadre des rencontres Exploreur pilotées par l'Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées © CNRS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- 2ème conférence virtuelle pour les chercheuses en Archéologie et en Paléontologie
2ème conférence virtuelle pour les chercheuses en Archéologie et en Paléontologie 7 mars 2022 7 mars 2022 En ligne Après le succès de sa première édition, la Virtual Conference for Women Archaeologists and Paleontologists, est de retour ! Cette année, la conférence se tiendra les 7 et 8 mars 2022 sur la plateforme Zoom. L’objectif de cet évènement reste le même : rendre visible la recherche menée par des chercheuses en début de carrière dans ces disciplines, et réfléchir aux problèmes rencontrés par les femmes dans le milieu des sciences. Le thème général de la conférence porte sur l’étude des populations et des environnements du Néogène au Néolithique . Programme détaillé disponible ici : https://womenpaleoarch.sciencesconf.org/ Le 7 mars à 16h (heure française), la journée se terminera par une conférence de May Morris , directrice de recherche CNRS en biochimie, membre active de l’association Femmes & Sciences et de l’European platform Women in Science (EPWS). Sa conférence s’intitulera “Quitting the Imposter syndrome : Weaving a network of support and confidence through mentoring”. Pour vous inscrire et assister à l’événement en tant que public, c’est gratuit et c’est ici . Pour suivre les infos sur twitter, c'est avec @women_archeopal . © AWAP < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Du cliché 51 aux vaccins à ARN, pleins feux sur des femmes scientifiques remarquables
Du cliché 51 aux vaccins à ARN, pleins feux sur des femmes scientifiques remarquables 7 avril 2022 Campus de Rangueil, Toulouse Une conférence scientifique du cycle Ouvertures donnée par Dominique Morello, biologiste, adhérente très impliquée de Femmes & Sciences depuis de nombreuses années. La découverte de la structure en double hélice de l’ADN est une étape cruciale dans la compréhension de la fonction de cette macromolécule présente dans la plupart des cellules du vivant. Et pourtant, la contribution décisive de Rosalind Franklin à cette découverte par son fameux cliché 51 obtenu par cristallographie aux rayons X n’est pas encore suffisamment reconnue. Comme Rosalind Franklin, encore trop de femmes scientifiques subissent l’effet Matilda, c’est-à-dire le déni ou la minimisation de leur contribution à l’acquisition de connaissances fondamentales. La conférence mettra en valeur quelques femmes qui ont fait des découvertes majeures sur l’ADN et l’ARN, Rosalind, Jennifer, Katalin et les autres... Depuis plus de vingt ans, les Ouvertures de l'université Toulouse III - Paul Sabatier , cycle annuel de conférences grand public organisé par le Pôle Culture, contribuent à une meilleure connaissance des enjeux des sciences contemporaines. Depuis 2013, des projections de films sont proposées en amont de chaque conférence dans le cadre de CINÉMOUV . La thématique du cycle 2021/2022 est "Science et Image". Plus d'infos sur l'évènement : ici < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Projection et Repas - débat à la Médiathèque de Balma
Projection et Repas - débat à la Médiathèque de Balma 10 mars 2022 Médiathèque de Balma Une projection du film "Les figures de l'ombre" suivie d’un débat auront lieu le 10 mars à la Médiathèque de Balma. Dans le cadre de l'exposition l'Effet Matilda (conçue par Femmes & Sciences en partenariat avec la Délégation régionale Occitanie Ouest du CNRS et le Quai des Savoirs), présentée à la Médiathèque de Balma en mars 2022, une projection du film "Les figures de l'ombre" et un repas-débat sont organisés le 10 mars à 9h30. Florence Sèdes, professeure des universités en informatique (laboratoire IRIT ) , vice-présidente Responsabilité Sociétale de l’Université Toulouse III - Paul Sabatier , et administratrice de Femmes & Sciences y interviendra. Plus d'informations : ici < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Présentation de l’atelier Mendeleieva à la Canopé de Mulhouse
Présentation de l’atelier Mendeleieva à la Canopé de Mulhouse 8 mars 2022 La Canopé, Mulhouse L’atelier Mendeleieva sera présenté à la Canopé de Mulhouse le 8 mars à un public de directeurs et animateurs de médiathèques, centres socio-culturels et centres de médiation. Trois membres de Femmes & Sciences présenteront l’atelier Mendeleieva à la Canopé de Mulhouse le 8 mars à un public de directeurs et animateurs de médiathèques, centres socio-culturels et centres de médiation sociale. Dans le cadre d’une formation sur la place des femmes en sciences et les stéréotypes, après une introduction, nous inviterons les participants à découvrir le jeu afin de pouvoir ensuite jouer avec leurs publics (classes, club science, atelier en bibliothèque...). Il est envisagé de les aider à développer leur jeu complet avec leur public par la suite. Pour en savoir plus sur l'évènement : https://www.reseau-canope.fr/academie-de-strasbourg/atelier-canope-68-mulhouse/actualites/article/les-femmes-a-lhonneur-a-latelier-canope-68.html Pour en savoir plus sur le jeu Mendeleiva : https://www.femmesetsciences.fr/mendeleieva © VPB F&S < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
















