Recherche
553 résultats
- F&S à la finale de la RoboCup Junior à Bordeaux
F&S à la finale de la RoboCup Junior à Bordeaux 12 mai 2023 14 mai 2023 Bordeaux F&S sera présente lors de la finale France junior du tournoi de robotique RoboCup. Se tenant lors de la Foire de Bordeaux, au parc des expositions de Bordeaux, les 13 et 14 mai, la finale France de la RoboCup Junior est l'occasion de voir le travail des équipes dans un cadre festif, ludique et éducatif. Les bénévoles Nouvelle-Aquitaine tiendront pour le public un stand afin d'échanger et vous proposent de vous challenger avec un escape-game et des quiz ! Plus d'informations : https://www.robocup.fr/robocupjunior-1 © RoboCup France < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Le mentorat : une initiative qui pourrait bientôt voir le jour au CNRS ?
Le mentorat : une initiative qui pourrait bientôt voir le jour au CNRS ? Pour orienter et soutenir des doctorantes, l’association Femmes & Sciences propose un programme de mentorat, dont la description a fait l’objet d’un article dans CNRS Info. Présent dans quatre villes de France - Montpellier, Toulouse, Paris et plus récemment à Nice - le programme national de mentorat Femmes & Sciences dédié aux doctorantes regroupe aujourd’hui un réseau de plus de 300 « mentors » et a accompagné plus de 300 doctorantes depuis 2015. Une initiative qui a su faire ses preuves et se développe désormais au sein de nouvelles universités françaises. Le CNRS a interviewé des membres de Femmes & Sciences et mis en avant ce programme : https://www.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/un-programme-de-mentorat-pour-les-jeunes-doctorantes Le CNRS est un partenaire de l’association Femmes & Sciences qui soutient régulièrement ses actions. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Apolline Lecercle
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Apolline Lecercle Physicochimiste « Il n’existe pas de barrière insurmontable pour celles et ceux qui font du partage et de la détermination leurs alliés les plus précieux. » Apolline Lecercle est docteure ingénieure chez Michelin et marraine de l’association Elles bougent qui promeut les sciences auprès des jeunes filles. En science comme en sport, elle aime relever les défis et repousser les limites, mais en la jouant toujours collectif. Apolline Lecercle se souvient d’un tournant dans son approche des sciences. En 2012, la jeune femme, âgée de dix-neuf ans, est en stage au CERN, l’actuelle Organisation européenne pour la recherche nucléaire. Fascinée par l’engouement et l’engagement de l’équipe de recherche passionnée qui l’entoure, Apolline Lecercle ressort de cette expérience changée mais aussi convaincue : elle aussi sera docteure en thèse. Suit une nouvelle rencontre décisive à l’INSA de Lyon (Institut National des Sciences Appliquées) avec… la corrosion ! Le courant passe instantanément : « Les oxydes c’est joli, c’est assez gracieux. On s’est tout de suite bien aimées, la corrosion et moi », raconte-t-elle avec amusement. Quand Michelin lui propose de faire de la corrosion son sujet de thèse, elle accepte immédiatement. Passionnée par le sport, elle adore relever les défis et cet abord des sciences par la pratique lui correspond bien. Après sa thèse soutenue en 2018, elle intègre le groupe Michelin en tant qu’experte corrosion. Cinq ans plus tard, nouveau challenge : Apolline Lecercle quitte son poste d’experte corrosion pour se lancer dans la conception de matériaux polymères. Au quotidien, elle accompagne doctorant·es, alternant·es et stagiaires et participe activement à créer du lien entre les individus qui gravitent autour d’elle, mettant ainsi un point d’honneur à privilégier toujours la réussite collective. Ce qui l’anime, c’est cette envie de se dépasser pour les autres, d’avancer ensemble vers un objectif commun. Apolline Lecercle en est convaincue : la connaissance fait partie de ces choses qui nous font grandir lorsqu’on la partage. Un idéal qu’elle met en pratique au printemps 2023, en participant à un projet solidaire fou : le raid Amazones en binôme. Durant cette aventure de dix jours, elle allie sport et sciences, repoussant ses limites sur un vélo, un canoë ou dans ses chaussures de trail, tout en partageant son goût des sciences avec ses concurrentes et la jeunesse sri-lankaise. Devenue depuis marraine de l’association Elles Bougent, qui met en avant les sciences auprès des jeunes filles, l’ingénieure énergique en est la preuve : « On peut être une femme et une scientifique impliquée et reconnue, une femme et une sportive assidue et engagée. Il n’existe pas de barrière insurmontable pour celles et ceux qui font du partage et de la détermination leurs alliés les plus précieux. »
- Portraits de femmes scientifiques
Portraits de femmes scientifiques © F&S Cette vidéo, produite par l’association No Smoking Production et soutenue par l’association Femmes & Sciences, met en lumière des parcours de femmes scientifiques. À travers des réponses courtes et dynamiques, plusieurs femmes dans des domaines variés de la science partagent leurs expériences, leur quotidien et les défis de leur métier. Leur diversité d’origine et de parcours est un formidable témoignage de la pluralité des profils féminins dans les sciences. Cette vidéo a pour objectif d’éveiller la curiosité des élèves, de briser les stéréotypes et de susciter des vocations en science. Idéale à diffuser dans les classes, notamment avant une intervention de membres de Femmes & Sciences, elle servira de point de départ inspirant pour les jeunes et les encouragera à envisager la science comme une voie ouverte à tous, et à toutes. Voir la vidéo : ici Remerciements : Nos sincères remerciements à Anne Charmantier, Priyanka Das Rajkakati, Charlotte Francesiaz, Katja Oychinnikova, Emeline Pettex et Peggy Rigou, dont les témoignages reflètent la richesse et la diversité des parcours de femmes scientifiques. Merci à l'initiative Homeward Bound (https://homewardboundprojects.com.au/), qui réunit toutes les participantes autour de la promotion du leadership féminin en sciences. Un grand merci à Stephen et Marie-Ange de No Smoking Production pour le tournage et le montage de la vidéo. Nous espérons que cette vidéo inspirera et éveillera des vocations chez les jeunes générations ! < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Les évènements du 8 Mars en région Grand Est
Les évènements du 8 Mars en région Grand Est Atelier Mendeleieva, forum des métiers, témoignages et autres actions autour du 8 mars F&S organise une journée Sciences, un métier de femmes ! à Strasbourg le 15 mars. Cette action, initiée à Lyon , a pour but d’inciter les lycéennes à choisir des études scientifiques en leur montrant la diversité des métiers scientifiques. Les adhérentes de F&S rencontreront aussi de nombreux-ses élèves de fin février à fin mars. - Collège Victor Hugo à Colmar : exposition "Femmes scientifiques d’Alsace et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui" , témoignages, conférence "Métiers: demain, la mixité ?" - Collège des Missions Africaines à Haguenau : parcours et discussion avec les filles - Collège Foch à Haguenau : Mendeleieva - Collège Solignac à Neudorf : forum des métiers - Collège Institution Sainte-Marie : Mendeleieva - Lycée Marquette à Pont-à-Mousson (Nancy) : témoignage et Mendeleieva < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Stéphane Gerry-Vernières
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Stéphane Gerry-Vernières Juriste "Il existe d’immenses défis à relever pour la recherche de demain et elle a besoin de tous les talents ! J’ai souhaité être ambassadrice de l’exposition “La Science taille XX elles” car les jeunes femmes doivent toutes prendre conscience qu’elles peuvent se projeter dans des carrières ambitieuses, exigeantes, stimulantes et épanouissantes. À cet égard, la recherche en droit ouvre d’enthousiasmantes perspectives de travail faites d’échanges, de créativité et de confrontations d’idées au service de la connaissance et du progrès scientifique." Stéphane Gerry-Vernières est professeure UGA au Centre de recherches juridiques (CRJ - UGA). Spécialisée dans le domaine des sources du droit, elle poursuit ses recherches sur l’axe “Justice et Libertés”. Loin d’être une matière abstraite et désincarnée, le droit est en étroite connexion avec le réel. Dans un contexte de mutations politiques, économiques et sociales et d’avancées scientifiques et technologiques, le droit doit s’adapter, encadrer et protéger. Derrière les textes, il y a les pratiques des acteurs juridiques et non juridiques. C’est cette multitude d’interactions qui poussent Stéphane Gerry-Vernières à s’intéresser à la thématique des sources du droit. Elle étudie le droit souple, qui cherche à orienter plutôt qu’à contraindre au travers de différents instruments comme les recommandations, les circulaires ou les codes de conduite par exemple. Ses travaux les plus récents sur la “barémisation de la justice” s’inscrivent dans une perspective pluridisciplinaire et mobilisent des méthodes issues des autres sciences humaines et sociales qui semblent particulièrement pertinentes pour enrichir la connaissance du droit. Dans le cadre de son activité d’enseignement qui se déploie devant des publics aux attentes différentes (licence, master, préparation aux concours, formations professionnelles), Stéphane Gerry-Vernières apprécie particulièrement les échanges avec les étudiants. Elle a à cœur de les former à la technicité du droit tout en les sensibilisant aux enjeux politiques, sociaux et économiques dont il est porteur. En parallèle, son activité de recherche lui permet d’approfondir son intérêt pour le droit d’un point de vue plus théorique. Dans ce cadre, elle rédige des ouvrages et des articles. Elle est vice-doyenne en charge des affaires pédagogiques au sein de la faculté de droit de l’Université Grenoble Alpes et membre élue du conseil national des universités.
- Évènements autour du 11 février et du 8 mars 2025 en Ile-de-France
Évènements autour du 11 février et du 8 mars 2025 en Ile-de-France NA De nombreuses actions tout au long des mois de février et mars En Ile-de-France en 2025, la journée internationale des femmes et des filles de science le 11 février a été l'occasion de plus nombreuses rencontres que la journée internationale des droits des femmes avec de nombreux échanges en classe, dans les médiathèques et bibliothèques (voir ici ) Mais en mars les échanges continuent : en collège à Noisy le Sec comme chaque année pour la semaine du vivre ensemble pour les élèves de quatrième ; à Meaux avec des élèves de troisième ; au lycée d’Ermont avec les élèves de seconde, première et terminale qui se sont emparés du thème des femmes scientifiques ; à St Ouen pour les élèves de cinquième (dans l’idée de déceler pourquoi les filles décrochent en mathématiques) dans le cadre d’ORACCLE, en préparant les jeunes du lycée technique Branly de Créteil, à se projeter vers un métier porteur et ambitieux avec une compagnie de théâtre. Le 8 mars il y aura une rencontre avec le public à la médiathèque de Chatenay Malabry : "Comment nait une vocation scientifique ?" La veille au soir ce sera un échange avec des étudiants d’Amérique latine. Et bien d’autres échanges non répertoriés ici. Et sans oublier Science inFuze, un grand événement dédié au goût des Sciences les 29-30-31 Mars qui se tiendra au Hangar Y de Meudon pour toute l’Ile-de-France. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Muriel Thomasset
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Muriel Thomasset Ingénieure de recherche en optique instrumentale "Les miroirs, je les mets en lumière" Muriel Thomasset est ingénieure de recherche CNRS en optique instrumentale au sein du Groupe Optique du Synchrotron SOLEIL (SOLEIL – CNRS). Il est clair, dès la seconde, que Muriel Thomasset n’est pas faite pour les études littéraires. « Vous avez plus de logique que de sensibilité littéraire », lui dit sa professeure de lettres. Logiquement, elle opte pour des études scientifiques rêvant de l’université, de ses grands amphis et de ses belles bibliothèques qu’elle a découverts un peu plus tôt grâce à sa grande sœur. Son intérêt pour le concret la conduit vers la physique et elle s’oriente vers un Master d’Optique et Photonique. Après un doctorat en optique instrumentale dans le domaine des rayons X réalisé en 1998, elle tente sa chance dans le privé, mais déçue de son expérience en tant que responsable d’un bureau d’études spécialisé dans l’éclairage par fibre optique, elle retourne à la recherche publique. Cette fois-ci, elle intègre le CNRS en 2000 au laboratoire LURE, l’ancêtre du synchrotron SOLEIL, où elle trouve sa place. Depuis, Muriel Thomasset travaille au synchrotron SOLEIL, un laboratoire capable de produire et de fournir un faisceau de lumière extrêmement intense aux chercheurs du monde entier, et utile pour concevoir des expériences dans toutes les disciplines scientifiques comme la biologie ou la physique fondamentale. Elle conçoit des systèmes de mesure et met en place les contrôles et acceptations des éléments d’optique, comme les miroirs ou les réseaux de diffraction, nécessaires à la focalisation du faisceau lumineux provenant du synchrotron. Son expertise est cruciale car ces éléments d’optique doivent supporter l’intensité extrême du faisceau de lumière et présenter peu de défauts de surface, une qualité difficile à obtenir. Lors de la conception de ces éléments, elle apporte conseils et soutiens aux membres de son groupe pour définir le système optique le plus adéquat aux scientifiques. C’est une activité de service que Muriel Thomasset apprécie beaucoup, car l’important pour elle, « ce n’est pas le sujet sur lequel on travaille mais ce que l’on en fait ». En 2023, Muriel a intégré le Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies de Palaiseau, en tant que co-responsable de la plateforme multiphysique.
- Table ronde sur la place des femmes dans les carrières scientifiques
Table ronde sur la place des femmes dans les carrières scientifiques 23 avril 2024 Cité de l'Espace, Toulouse Organisée par les Amis de la Cité de l'espace, en partenariat avec F&S, l'Académie de l'Air et de l'Espace, Libres Mariannes Occitanie, Club de la presse Occitanie Pourquoi encore si peu de femmes (de 15% à 25 %), dans les écoles d'ingénieur·es ? Pourquoi si peu d'évolution depuis une trentaine d'années, en particulier concernant les postes à responsabilité ? Il faut rechercher les causes dès la plus tendre enfance. Suite à la table ronde organisée en 2023, une deuxième table ronde est proposée le 24 avril 2024 à 19h . Cette table ronde permettra de présenter les actions nécessaires : 1- Actions menées avec des associations 2- Actions individuelles que chacun et chacune peut mener 3- Actions au niveau de la Société L'entrée est libre, sur inscription préalable via le lien : https://www.eventbrite.fr/e/la-place-des-femmes-dans-les-carrieres-scientifiques-acte-2-tickets-851357672717 En préambule de cet évènement, vous pouvez consulter l'article : https://amis-cite-espace-leblog.com/2024/03/place-des-femmes-dans-les-etudes-scientifiques-table-ronde-acte-2.html < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Déambulations scientifiques à Toulouse
Déambulations scientifiques à Toulouse 10 octobre 2024 Campus de Rangueil, Toulouse Une visite guidée pour rendre visibles des personnalités scientifiques féminines et faire connaître les centres de recherche du campus Rangueil Les membres de la région Occitanie Ouest de Femmes & Sciences proposent une visite guidée dans les rues proches de la bibliothèque universitaire qui portent le nom de femmes scientifiques (Hypatie d’Alexandrie, Hélène Richard-Foy, Rose Dieng-Kuntz, Sébastienne Guyot, Rosalind Franklin, Marianne Grunberg-Manago, Huguette Delavault). Venez découvrir ces personnalités, et d'autres, ainsi que les centres de recherche du campus Rangueil. Leur rendre hommage c’est aussi l’occasion de parler de la place des femmes dans la science d’hier et d’aujourd’hui, et de découvrir plusieurs centres de recherche de réputation internationale. Il n'y a pas de déambulation publique prévue actuellement. Pour organiser une déambulation avec un groupe d'élèves, contactez coordoccitanieouest@femmesetsciences.fr . Une action proposée par l’association Femmes & Sciences en partenariat avec l’Université de Toulouse. Avec le soutien de la CASDEN, du labex CIMI et de la FSI. Voir le teaser : https://www.youtube.com/watch?v=FltZbpGH3v4 © F&S, UPS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Découvrez les présentations des membres du groupe Occitanie Ouest
Découvrez les présentations des membres du groupe Occitanie Ouest Les réunions plénières du groupe Occitanie Ouest ont lieu environ tous les deux mois. Elles incluent depuis la rentrée 2020 une présentation réalisée par une de nos membres sur un sujet fédérateur. Colette Denis, enseignante-chercheuse en physiologie animale (Inserm / Université Toulouse III - Paul Sabatier), a démarré le cycle le 28/09/2020 avec une intervention intitulée « Peut-on ignorer le sexe en physiologie ? » Laurence Huc, toxicologue en santé environnementale, directrice de recherche INRAE, a parlé le 11/12/2020 de « L’influence du genre dans la pratique de la science » . Pour ce faire, elle a mis en exergue 2 pionnières dans la découverte des perturbateurs endocriniens : Rachel Carson et Theo Colborn femmes. Cathy Gouverneur, enseignante en mécanique et énergétique, a présenté le 05/02/2021 la formation pédagogique « Enseigner les sciences sans stéréotypes » qu'elle donne à l'Université Toulouse III - Paul Sabatier. Elle présente les objectifs de la formation qui permet d'aborder les effets des stéréotypes dans l'enseignement des sciences, de les mettre en évidence et de proposer des échanges sur les pratiques pédagogiques. Retrouvez toutes les vidéos ici < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Marie Sarah Raffalovich, femme scientifique honorée dans un lycée
Marie Sarah Raffalovich, femme scientifique honorée dans un lycée Marie-Sarah Raffalovich est une femme scientifique qui a joué un rôle important auprès du scientifique Claude Bernard qu'elle a aidé a faire connaitre au niveau international. Marie Sarah Rafflovich née en 1832, était une riche femme scientifique russe, elle avait 3 enfants. Résidant à Paris, elle était correspondante bénévole dans un journal de Saint-Pétersbourg et possédait également un salon, où se retrouvaient intellectuels et politiques. Sa rencontre avec Claude Bernard remonte à 1869, alors qu’elle avait 37 ans, elle assistait aux Cours du Collège de France du physiologiste, et s’intéressait beaucoup à ses travaux. Marie-Sarah Raffalovich a été d’une grande aide pour Claude Bernard, elle traduisait pour lui des articles et ouvrages scientifiques allemands et russes, et avec l’aide de sa famille, a permis la diffusion des travaux de Claude Bernard en russe, allemand, italien et anglais, lui offrant la chance d’être ainsi lu à l’international. Claude Bernard la décrivait comme une femme d’exception, avec un esprit éclairé. Il lui accordait un grand respect, et l’admirait. Elle mourra en 1921 sans jamais recevoir la reconnaissance qui lui était pourtant due. Elle vient d'etre honorée par le lycée Claude Bernard de Villefranche sur Saône (près de Lyon) qui lui a consacré une de ses salles. Des élèves de terminale (LA, L-V H, BR et Kassandra S.) ont travaillé sur ce projet et ont pû présenter ce personnage ainsi que d'autres thématiques sur la présence de la femme dans le paysage scientifique du XIXe siècle à l'inauguration. Le texte ci-dessus est d'ailleurs inspiré de ce que ces élèves ont rédigé. Cécile Lioger, professeure au lycée, était accompagnée sur ce projet par Gabrielle Fort (Directrice des musées communautaires). < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
















