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- Grand débat : L'importance des modèles féminins dans les sciences
Grand débat : L'importance des modèles féminins dans les sciences © Vincent Moncorgé – CNRS / Femmes & Sciences / La Science taille XX elles – 2023 Première échappée belle de Marseille avec le grand débat organisé par Femmes & Sciences et la délégation régionale du CNRS En amont de l'exposition La science taille XX elles dont la version marseillaise sera dévoilée en mars 2024, un grand débat a rassemblé quatre spécialistes pour débattre de l'importance des modèles féminins dans les sciences. Animé par Mathieu Rouault, il a rassemblé Marianne Blanchard, Thomas Breda, Louis-Pascal Jacquemond et Isabelle Régner. Après un panorama historique et sociologique qui avait pour but de montrer les différents aspects de cet enjeu, le public a pu échanger avec ces spécialistes. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Laurence Huc intervient dans La Terre au Carré : l'exposome
Laurence Huc intervient dans La Terre au Carré : l'exposome Laurence Huc, membre de F&S (Occitanie Ouest) était invitée de l’émission La Terre au Carré sur France Inter pour parler de l’exposome. "La Terre au carré" par Mathieu Vidard, est une émission de France Inter qui traite de "Nature, climat, pollution, idées, engagements, solutions : toute l’actualité de la planète pour imaginer le monde d’aujourd’hui et de demain" Laurence Huc, toxicologue au laboratoire Toxalim de Toulouse et chercheuse en toxicologie à l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE), et Remy Slama, épidémiologiste environnemental - directeur de Recherche à l'Inserm, IAB de Grenoble - responsable de l'institut thématique de santé publique de l'Inserm, étaient les invités de l'épisode "À travers le concept d’exposome, la santé environnementale s’intéresse aux différents polluants qui nous entourent et cherche à étudier leur impact sur l'organisme, dès la conception". Le podcast du 10/06/2021 peut être écouté ici . < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Decès de Claudine Hermann, présidente d'Honneur de Femmes & Sciences
Decès de Claudine Hermann, présidente d'Honneur de Femmes & Sciences Pour celles et ceux qui veulent proposer un message en hommage à Claudine, merci de l’envoyer directement à l’adresse mail : claudine@femmesetsciences.fr . L’ensemble des témoignages sera recueilli dans un livret que nous publierons et distribuerons à l’occasion de la journée dédiée à Claudine. Claudine Hermann, présidente d’honneur, cofondatrice de notre association et reconnue pour son engagement pour les femmes et les filles en sciences, est morte le 17 juillet. Claudine Hermann , physicienne, ancienne élève de l’ENS, première femme professeure à l'École polytechnique, et reconnue pour son inlassable engagement pour les femmes et les filles dans les sciences, est décédée le 17 juillet des suites d’un cancer. En 2000 elle est cofondatrice de l’association Femmes & Sciences dont elle sera la première présidente, puis présidente d'honneur. En 2005 elle contribue à la fondation de la Plateforme européenne des femmes scientifiques (EPWS ) dont elle sera la vice-présidente, puis la présidente. Claudine était disponible, d’humeur égale, bienveillante et animée d’une volonté de créer une atmosphère amicale et détendue, cela sans dévier de ses objectifs. Précieuse personne ressource, elle était appréciée de tou·tes. Claudine était grande officière de la Légion d’honneur. Nous tenons ici à saluer sa mémoire, et à assurer à sa famille, en particulier à son mari Jean-Paul, son fidèle accompagnateur, de notre soutien pour traverser cette épreuve. L'association Femmes & Sciences organise un colloque à la mémoire de Claudine le 15/10/2021 . Crédit photographie : Association femmes et mathématiques < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Les actes du colloque 2020 de Femmes & Sciences sont disponibles !
Les actes du colloque 2020 de Femmes & Sciences sont disponibles ! © Sandra Turner Le 11 février, Journée internationale des femmes et des filles de science de l’ONU, paraissent les actes du colloque Femmes & Sciences de novembre 2020. Les actes du colloque des 20 ans de Femmes & Sciences qui s’est tenu en visio-conférence les 20 et 21 novembre 2020, sont constitués de deux sessions : - « Orientation des filles vers les sciences : état des lieux et leviers » , inscrite au Programme académique de formation des académies d’Ile de France et ouverte à toute personne intéressée par le sujet. Cette partie comprend un état des lieux de la question, une formation sur les stéréotypes de genre dans l’orientation, une présentation des outils mis à disposition par Femmes & Sciences et des témoignages de femmes scientifiques de disciplines variées. - « Nous les membres » a permis aux membres de Femmes & Sciences de mieux se connaître. On trouve dans cette session une description des activités de l’association dans les différentes régions de France, ainsi qu’une présentation des résultats de l'enquête originale de l’association sur l'impact de la crise COVID-19 sur les chercheuses et chercheurs de la recherche académique. Télécharger les actes du Colloque 2020 de F&S < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Prix Irène Joliot-Curie 2020 : trois chercheuses d’exception à l’honneur
Prix Irène Joliot-Curie 2020 : trois chercheuses d’exception à l’honneur Depuis 2001, le prix Irène-Joliot-Curie récompense chaque année des femmes scientifiques qui se distinguent par la qualité de leurs recherches. Le Prix Irène Joliot-Curie est décerné par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation avec le soutien de l'Académie des sciences et de l'Académie des technologies qui en constituent le jury. Pour cette 19ème édition, le jury, présidé par Catherine Cesarsky, a choisi de récompenser : • Fariba Adelkhah , « Femme scientifique de l’année », directrice de recherche au Centre de recherches internationales de Sciences Po Paris, pour ses travaux de recherche en anthropologie et science politique • Céline Guivarch , « Jeune Femme scientifique », directrice de recherche à l’Ecole des Ponts, pour ses travaux de recherche interdisciplinaires sur le changement climatique combinant sciences du climat, économie et mathématiques appliquées • Sandrine Lévêque-Fort , « Femme, recherche et entreprise », directrice de recherche à l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay, pour ses travaux de recherche à l'avant-garde de la microscopie optique avec sa start-up Abbelight Pour en savoir plus Le MESRI est partenaire de Femmes & Sciences. Sandrine Lévêque-Fort est mentore du programme de mentorat Île-de-France . < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Retour sur Science in Fuze
Retour sur Science in Fuze © Sylvaine Turck-Chièze Grand succès pour ce tout premier festival de Science pour tous et toutes Merci encore à Françoise Cyrot et toute son équipe de bénévoles pour avoir si bien organisé ce festival. C'est un très gros succès avec 5500 entrées tout public avec : Des conférences, dont plusieurs avec des membres de F&S. Des ateliers, F&S en a tenu 6 pour les enfants avec 3 thèmes : théatre avec Cécilia Payne, Système solaire et Jeanne Villepreux Power. Ils ont tous fait salle comble. Mais il y avait bien d'autres ateliers pour tous âges, beaucoup d'associations, dont F&S avec ORACCLE, Femmes Ingénieures et femmes et mathématiques , des dédicaces de livres ... Trois jours intenses et passionnants qui ont permis de faire encore plus connaitre F&S et pas seulement ses membres d'IDF. Ce festival devrait se pérenniser tous les 2 ans. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Isabelle Vauglin, honorée par le ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes
Isabelle Vauglin, honorée par le ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes © Ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances Isabelle Vauglin a reçu de la Ministre Elisabeth Moreno la médaille de l'égalité, premier prix du ministère en faveur de l’égalité et des droits des femmes. Le 8 mars 2021, le Ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances a souhaité honorer une femme dans chacune des 18 régions qui s’illustre au quotidien par ses actions en faveur de l'égalité Femmes-Hommes. Isabelle Vauglin, responsable régionale de Femmes & Sciences, est la lauréate pour la Région Auvergne Rhône-Alpes. Proposée par la Préfecture de la Région, Isabelle Vauglin a été retenue par le ministère qui lui a attribué la médaille de l'égalité de la campagne "# 1000 possibles" pour ses actions en faveur des filles dans les sciences, notamment les journées "Sciences, un métier de femmes !" qu'elle organise le 8 mars depuis 5 ans, avec le soutien de Femmes & Sciences, du LabEx ASLAN et de l'Ecole Normale Supérieure de Lyon . Elle lutte contre les préjugés et les stéréotypes qui empêchent encore actuellement les jeunes filles de se diriger vers des filières scientifiques et s'engage pour améliorer la visibilité des femmes scientifiques et donner des références féminines aux jeunes filles, par exemple en ayant réalisé l'exposition "la Science taille XX elles" . Félicitation à Isabelle qui a reçu de la Ministre Elisabeth Moreno cette médaille de l'égalité de la femme inspirante pour Auvergne Rhône-Alpes le 11 mars, à l'occasion de sa venue à Lyon ! < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Tribune : Cessez de parler « d’autocensure »
Tribune : Cessez de parler « d’autocensure » Image générée par IA Cessez de parler « d’autocensure » : ce ne sont pas les femmes qui se taisent, ce sont les structures qui les réduisent au silence Parler d’autocensure pour expliquer la faible présence des femmes dans les espaces de pouvoir, de savoir ou de parole est devenu un réflexe, presque un lieu commun. Si elles ne s’expriment pas, c’est qu’elles n’oseraient pas. Si elles n’occupent pas certains postes, c’est qu’elles ne s’y projetteraient pas. Cette interprétation, aussi répandue que commode, occulte une réalité bien plus structurelle : ce ne sont pas les femmes qui choisissent de se taire, ce sont les institutions, les normes et les dynamiques de pouvoir qui les y contraignent. Des interprétations erronées qui déplacent la responsabilité Sous couvert d’objectivité, l’idée d’autocensure opère un glissement insidieux : elle fait porter aux femmes la responsabilité de leur propre invisibilisation. Comme si le problème n’était pas dans l’environnement, mais dans leur comportement, leur manque de confiance ou une prétendue réserve naturelle. Or, les recherches montrent que dans un climat inclusif et équitable, les femmes prennent la parole autant que les hommes. Ce n’est donc pas le courage qui leur manque, mais des conditions propices à l’écoute et à la reconnaissance. Lorsque les femmes hésitent à s’exprimer, à publier ou à postuler dans des secteurs historiquement masculins, est-ce vraiment par choix ? Ou s’agit-il d’une réponse rationnelle à un environnement où elles savent que leurs interventions risquent d’être minimisées, interrompues, voire reprises à leur compte par certains hommes qui s'en attribuent alors le mérite ? Parler d’autocensure dans ces cas-là, c’est ignorer les sanctions – explicites ou implicites – qui pèsent sur leurs prises de parole. Une parole toujours sous surveillance Le paradoxe est connu : quand les femmes parlent peu, on leur reproche leur silence ; quand elles s’expriment avec assurance, on les juge trop émotionnelles ou alors trop directes voire autoritaires. Ce double standard crée un climat où toute intervention devient un exercice d’équilibriste. Il faut parler – mais pas trop. S’imposer – mais sans heurter. Se faire entendre – tout en restant aimable. Dans le monde académique, cette tension est particulièrement manifeste. Les chercheuses sont moins sollicitées comme expertes, moins invitées dans les conférences, moins citées dans les publications. Et quand elles accèdent à la visibilité, elles doivent encore prouver leur légitimité, souvent davantage que leurs homologues masculins. Changer les mots pour changer le regard Le terme « autocensure » a l’apparence de la neutralité, mais il masque les rapports de force. Il invisibilise les mécanismes d’exclusion, le sexisme intériorisé, les normes implicites qui définissent qui a le droit de parler – et d’être écouté. Plutôt que d’enjoindre aux femmes de « prendre la parole », il est urgent d’agir sur les causes systémiques de leur invisibilisation. Cela suppose de : • Limiter les interruptions et le mansplaining dans les réunions ; • Assurer une représentation paritaire dans les comités et les organes décisionnels ; • Reconnaître et valoriser à égalité les contributions des femmes ; • Interroger les biais à l’œuvre sur la légitimité de celles et ceux qui s’expriment. Cesser de confondre la cause et la conséquence En définitive, ce que l’on nomme « autocensure » n’est bien souvent qu’une adaptation à des environnements où la parole des femmes est empêchée par des contextes sexistes et des dynamiques de pouvoir. Ce n’est pas aux femmes de « parler plus fort », mais aux institutions de créer les conditions d’un véritable accès à la parole, dans toute sa diversité. Changer les mots, c’est déjà commencer à changer le regard. Et ce changement de regard est indispensable pour ouvrir la voie à une transformation profonde en vue de l’égalité réelle entre femmes et hommes. C’est pourquoi il est temps de délaisser le mot « autocensure » pour nommer convenablement cette cause et parler dorénavant de censure sociale et institutionnelle . Version pdf de cette tribune : ICI < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- "Ma course d’orientation" à La Maison de l’Orientation de Bellefontaine
"Ma course d’orientation" à La Maison de l’Orientation de Bellefontaine © Dominique Morello Le samedi 27 novembre s’est tenue à La Maison de l’Orientation de Bellefontaine à Toulouse "Ma course d’orientation", évènement auquel Femmes & Sciences a participé. Pour "Ma course d'orientation", professionnels et bénévoles accueillaient les jeunes et leurs parents pour parler métiers et découvrir leurs voies d’accès sur trois niveaux. Femmes & Sciences y tenait au côté de l’IPEP (Institut Pour la Promotion de l’Egalité Professionnelle) un stand bien garni. De riches échanges individuels, un quizz sur l’égalité, des témoignages de plusieurs femmes scientifiques auront permis à une cinquantaine d’élèves (de 3ème et 2nde principalement) de découvrir la diversité des métiers scientifiques et réaliser qu’il n’y avait pas de barrière pour s’y engager. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Discussion sur les femmes scientifiques
Discussion sur les femmes scientifiques À l'occasion du 8 mars, une discussion est organisée avec des personnes âgées non dépendantes sur la place des femmes dans les sciences, hier et aujourd'hui. Le 8 mars, une conversation à bâtons rompus aura lieu avec des personnes âgées sur le rôle et la place des femmes en sciences, en insistant sur le domaine de l'astronomie. Les résidents verront ensuite un film "Les figures de l'ombre" sur la conquête spatiale américaine, et en discuteront le lendemain (9 mars) avec Sylvaine Turck-Chièze. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Martina Pastorino lauréate du "prix de thèse de la parité"
Martina Pastorino lauréate du "prix de thèse de la parité" Martina PASTORINO, qui a fait sa thèse en cotutelle INRIA/Université Côte d'Azur-Université de Gènes a obtenu le "prix de la thèse de la parité" pour l'excellence de sa thèse. Martina Pastorino a obtenu le 10 octobre dernier le prix de thèse de la parité de l'Ecole Doctorale : Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (EDSTIC) de l'Université Côte d'Azur (UniCA) pour sa thèse en co-tutelle avec l’Université de Gênes en Italie (Josiane Zerubia, directrice de thèse, Inria et membre de F&S; G. Moser, co-directeur de thèse). Cette thèse a été soutenue le 17 décembre 2023. Un beau succès pour Martina ! La condition pour obtenir ce prix est que la thèse soit excellente (les 2 rapporteurs et le président du jury doivent la proposer pour le prix de la meilleure thèse de l'ED STIC). De plus, ce prix n'est attribué qu'`a une étudiante inscrite a l'ED STIC d'UniCA ayant une directrice de thèse.... d’où le nom "le prix de thèse de la parité". Site web de Martina Pastorino : ici < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
- Signature de la charte d'engagement du HCE pour une communication publique sans stéréotype de sexe
Signature de la charte d'engagement du HCE pour une communication publique sans stéréotype de sexe © Femmes & Sciences Cette signature a eu lieu au colloque F&S le 24 novembre 2023 à Paris. En clôture et en point d'orgue du colloque annuel de Femmes & Sciences, organisé cette année en commun avec la Commission Femmes et Physique de la Société Française de Physique (SFP) à l’occasion de l’Année de la physique, a eu lieu la signature de la Charte d'engagement du Haut Conseil à l'Égalité femmes-hommes pour une communication publique sans stéréotype de sexe. Les membres de F&S sont en effet convaincu·es qu’une communication sans stéréotype de sexe est très importante pour contribuer à mettre en lumière les femmes scientifiques, que le langage habituel contribue gravement à invisibiliser. Outre l'association Femmes & Sciences, les associations femmes et mathématiques , Femmes Ingénieures, l’AFDESRI (Association pour les femmes dirigeantes de l’ESRI), ainsi que la SFP (Société française de physique), l’AFM (Association française de mécanique) et enfin le Collège des Sociétés savantes académiques de France qui regroupe plus de soixante-dix sociétés savantes en sciences et technologies, sciences du vivant, lettres, langues et sciences humaines et sociales et représente donc environ 40 000 scientifiques au total, l'ont signée, comme en témoigne le document ci-dessous. Convention d'engagement pour une communication publique sans stéréotype de sexe Pour tous·tes les membres de F&S, cela signifie que les communications au nom de l'association, doivent dès aujourd'hui appliquer les recommandations du HCE. Un vademecum est en cours de préparation pour faciliter cette mise en oeuvre. En attendant il est bien sûr possible de se référer à l'original: https://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/guide_egacom_sans_stereotypes-2022-versionpublique-min-2.pdf < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >
















