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- Fête de la science à Chinon
Fête de la science à Chinon 6 octobre 2025 10 octobre 2025 Chinon La fête de la science se prépare intensément pour Eveline Luanco, adhérente de Femmes & Sciences, à Chinon. - Mardi 7 octobre : deux interventions au lycée de Chinon devant 4 classes de seconde avec Clara Blanchard, doctorante qui travaille sur les Pulsars - Mardi 7 Octobre : ciné-débat après le documentaire à la recherche de la planète 9 - Vendredi 10 octobre : deux interventions au lycée devant à nouveau 4 classes de seconde - Lundi 6 Octobre et jeudi 9 octobre : réception de deux classes, CE2 et CM2, à l’Observatoire Astronomique de Chinon © MESR < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Occitanie Ouest | Mentorat | Femmes & Sciences
Occitanie Ouest MENTORAT Mentorat Depuis 2017, le groupe Occitanie-Ouest propose chaque année à une dizaine d’étudiantes (majoritairement des doctorantes) de l’Université Paul Sabatier de Toulouse des écoles doctorales SEVAB et BSB, idéalement en première année de doctorat, d’intégrer dans leur parcours de formation la participation au programme de mentorat, dans le cadre du PhD programme du Centre de Biologie Intégrative (CBI, Toulouse). Ce programme a pour objectif d’accompagner les doctorantes et de les inciter à construire leur projet de carrière, en réfléchissant aux possibilités et aux choix qui s’ouvrent à elles avec l’aide de personnes d’expérience et de confiance qui seront leurs mentor·es. Ce dispositif permet à un binôme de volontaires mentor·e/doctorante sans lien hiérarchique de s’intégrer dans une démarche d’enrichissement mutuel et de partager leurs connaissances scientifiques et humaines, leurs expériences, leur soutien et leurs encouragements. Si vous êtes intéressé·e·s pour rejoindre le programme 2024-2025 en tant que doctorant·e ou Mentor·e (engagement d’un an) merci de contacter Julie Batut et de remplir le formulaire d’inscription dédié pour 2024-2025 : pour un·e Doctorant·e : https://forms.gle/y21P4L5vxsT5Z6ta6 pour un·e Mentor·e : https://forms.gle/52Yp256T4pKL4RS18 En savoir plus : Le mentorat, une action phare Programme 2023-2024 Contact : Julie Batut LA SCIENCE TAILLE XXELLES RENCONTRES RESSOURCES SCOLAIRES EXPOS MENDELEIEVA EGALITE ELLES ASSURENT
- Talk du média Lab 5 - Favoriser le parcours de femmes dans les sciences
Talk du média Lab 5 - Favoriser le parcours de femmes dans les sciences 12 mars 2021 Évènement en ligne Quelle est la situation des femmes dans les sciences ? Quelles actions de culture scientifique permettent de favoriser leur engagement dans des parcours scientifiques ? Que vous soyez à la recherche de ressources et d’inspirations, ou bien vous même engagé dans la bataille avec de bonnes pratiques à partager, participez à ce temps d’échange et de réflexion autour de nos pratiques culturelles qui favorisent l’inclusion des femmes dans les sciences. Avec la participation de : Dr Constanza Rojas Molina , mathématicienne, CY Cergy Paris Université. Dr Fairouz Malek , Physicienne, directrice de Recherche au CNRS, Laboratoire de Physique Subatomique et Cosmologie de Grenoble, membre de Femmes & Sciences et de Parité Science. Julie De Araujo , Cheffe de projet Orientation & Egalité, Objectif Pour l’Emploi. Vendredi 12 mars de 9h à 11h. Pour en savoir plus et s'inscrire : https://lacasemate.fr/programmation/talk-du-media-lab-5/ © La Casemate 2003/2021 < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Stand Parité Science / F&S Alpes à la Fête de la Science
Stand Parité Science / F&S Alpes à la Fête de la Science 10 octobre 2024 12 octobre 2024 Parvis des Sciences, Grenoble L'objectif du stand est de sensibiliser les scolaires et le grand public à la question de la place des femmes dans les sciences et les technologies. Les visiteur·ses auront l'occasion de rencontrer des femmes et des hommes travaillant dans des domaines scientifiques et technologiques variés avec pour but de montrer par l’exemple que tous les métiers scientifiques sont mixtes. Nous y proposerons des jeux et des ateliers afin de prendre conscience de façon ludique des stéréotypes de genre rencontrés au quotidien, constituant des freins pour les filles à se tourner vers ces métiers. Le but est de donner envie aux filles et aux garçons de s’orienter vers les sciences et à partir de témoignages, d’ouvrir la discussion sur la place des femmes dans les sciences et les technologies. Lieu Campus d’Innovation GIANT – Maison MINATEC 3 Parvis Louis Néel 38000 Grenoble En savoir plus sur le Parvis des Sciences https://parvis-des-sciences.com/ © PdS2024 < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Grand Est | Mendeleieva | Femmes & Sciences
Grand Est MENDELEIEVA Mendeleieva : un jeu pour mettre en valeur 125 femmes scientifiques L’année de la chimie en 2019 et la célébration des 150 ans du tableau périodique des éléments de Mendeleïev ont été l’occasion de réaliser le jeu Mendeleieva, une production commune des régions Alsace et Occitanie Ouest, qui fait découvrir de manière ludique 135 femmes scientifiques, historiques ou contemporaines, dont les recherches portent sur un ou des élément(s) du tableau périodique. Il s’agit à la fois d’un tableau de Mendeleïev garni d’échantillons et produits contenant des éléments du tableau, et d’un jeu de cartes associé, par familles de domaines : sciences de la terre, physique, chimie, maths et informatique, sciences de la vie…. Au-delà des aspects scientifiques abordés, Mendeleieva permet de parler des différents statuts et métiers de la recherche. Depuis son inauguration lors de la Fête de la science, cet atelier interactif a été animé dans plusieurs écoles, collèges et lycées et au cours d’occasions particulières (séminaire de laboratoire CNRS, portes ouvertes.. ). Contacts : Marie-Christine Creton Véronique Pierron-Bohnes Notice explicative du jeu Mendeleieva Vidéo explicative du jeu Mendeleieva Mendeleieva en Occitanie EXPOS MENTORAT SCIENCES, UN MÉTIER DE FEMMES
- Vademecum | Femmes & Sciences
Vademecum Pour une communication sans stéréotype de sexe Un vademecum pour appliquer le Guide pratique du Haut Conseil à l'Égalité entre les Femmes et les Hommes Lors du Colloque de Femmes & Sciences en novembre 2023, l'association Femmes & Sciences, ainsi que les associations femmes et mathématiques et Femmes Ingénieures , la Société française de physique (SFP), l’Association française de mécanique (AFM), l’Association pour les femmes dirigeantes de l’ESRI (AFDESRI) et le Collège des Sociétés savantes académiques de France , ont signé la charte révisée du HCEfh « Pour une communication publique sans stéréotype de sexe ». Cette charte engage donc les membres de ces associations et sociétés à employer une écriture aussi inclusive que possible lors de leurs communications orales et écrites effectuées au nom de ces structures. Le Vademecum proposé ici, extrait des préconisations du HCEfh , a pour but de les y aider. Télécharger le vademecum Si vous souhaitez faire un commentaire ou des suggestions, écrivez-nous ICI. À venir - illustration et compléments de la partie Communication visuelle - des exemples / contre-exemples ré-écrits de messages et d'annonces - un argumentaire pour aider à répondre aux réactions négatives
- Tables Rondes des 140 ans de l'ESPCI Paris PSL
Tables Rondes des 140 ans de l'ESPCI Paris PSL 17 mars 2023 Caserne Napoléon, rue de Rivoli, Paris 4ème Enregistrement des Tables Rondes Rôle des Femmes en Sciences (ESPCI) Le 17 mars dernier, F&S avait le plaisir d'organiser en partenariat avec ESPCI Alumni, le Fonds ESPCI et la ville de Paris une table ronde autour du rôle des Femmes en Science. Cet évènement faisait écho à l'exposition "Femmes de Sciences" qui met en lumière des profils d'ingénieures de l'ESPCI, aujourd'hui en poste dans la recherche académique, l'industrie ou encore le conseil et la propriété intellectuelle. Vous retrouverez DEPUBLIE NA < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Aoife Bharucha
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Aoife Bharucha Physicienne « Toucher l’intouchable, saisir l’insaisissable » Aoife Bharucha est chargée de recherche CNRS au Centre de physique théorique de Marseille [1]. Elle étudie les éléments fondamentaux de l’Univers et leurs interactions. Aoife Bharucha a fondé un groupement de recherche du CNRS, rassemblant une centaine de chercheurs, qui vise à sonder la nouvelle physique en travaillant à la frontière d’intensité. Aoife Bharucha a ressenti très tôt une vocation pour la physique. « Vers l’âge de 16 ans, j’ai trouvé une bande dessinée sur la relativité à une exposition de mon lycée et je me suis dit que c’était la chose la plus cool que j’avais jamais vue ! À partir de ce jour-là, j’ai décidé de devenir physicienne. » Aujourd’hui, le travail d’Aoife Bharucha vise à comprendre un des phénomènes fondamentaux de la matière qui est encore inexpliqué par le modèle standard de la physique : la matière noire. En effet, la matière noire interagit très rarement avec la matière normale, ce qui la rend très difficile à détecter. Pour expliquer cette matière noire, les recherches d’Aoife Bharucha ont pour but de construire des modèles avec des nouvelles particules, et de calculer comment ces particules pourraient être détectées lors d’expériences qui se déroulent en partie au CERN, basé à Genève. Après avoir quitté Londres pour Mumbai, en Inde, avec sa famille à l’âge de 12 ans, puis étudié en Angleterre et vécu en Allemagne, Aoife Bharucha travaille aujourd’hui au quotidien avec des équipes de recherche en France, en Allemagne, en Inde et au Brésil. Elle collabore avec des expérimentateurs afin de s’assurer qu’elle interprète correctement les résultats des expériences, car « [son] travail vise à résoudre des questions sans réponse ». « Le très faible pourcentage de femmes en physique théorique est pour moi une conséquence des préjugés de la société. Il faut que cela change et combattre les préjugés sexistes dès l’école primaire ». Aoife Bharucha aime partager son parcours et son expérience auprès des jeunes et participe régulièrement à des animations, des ateliers, des cafés scientifiques et des conférences. [1] – CPT (Aix-Marseille Université/CNRS/Université de Toulon)
- Anne Pichon
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Anne Pichon Mathématicienne « Je cherche les embrouilles » Anne Pichon est professeure à Aix- Marseille Université. Elle y enseigne à tous les niveaux et encadre aussi des stages d’initiation à la recherche pour des classes de lycéens. Elle mène ses recherches à l’Institut de mathématiques de Marseille [1] dans le domaine de la géométrie. Anne Pichon s’intéresse à l’étude d’espaces décrits par des équations algébriques et présentant des singularités, des irrégularités, telles que des plis, des fronces, des points de rebroussement. Il s’agit d’espaces de grandes dimensions à la géométrie très riche « dont la beauté et la perfection des formes sont comparables à celles du monde végétal ou des êtres vivants peuplant les abysses » s’émerveille-t-elle. Ces formes apparaissent de façon naturelle non seulement dans de nombreux domaines des mathématiques, mais aussi dans d’autres sciences telles que la physique, la biologie, la chimie, les sciences humaines, et leur étude a parfois des applications dans des domaines technologiques aussi variés que l’astronomie, la robotique, la vision ou l’imagerie informatique. Anne Pichon étudie les propriétés géométriques des espaces singuliers dans le but d’en établir des classifications et notamment de pouvoir les comparer. « Je me vois un peu comme une exploratrice de ces espaces qui avance dans une jungle, hostile et belle. » Pour celle qui se considère plus manuelle qu’intellectuelle, « la géométrie, c’est manuel et passionnant ». Elle défriche à coups de craie, en compagnie d’un ou deux autres mathématiciens. « À plusieurs, on a moins peur et, c’est certain, on va beaucoup plus loin ! » Elle utilise des théories mathématiques variées allant de l’algèbre à la topologie de basse dimension, et en particulier, la théorie des noeuds et entrelacs. Depuis son enfance, Anne Pichon a toujours aimé résoudre des énigmes ou des devinettes, mais elle ignorait qu’elle pouvait en faire son métier. Anne Pichon s’investit auprès d’élèves de lycée pour leur faire découvrir les mathématiques comme elle les voit : « belles, ludiques, conviviales et abordables par n’importe qui, à l’opposé de l’image de terrain miné, d’échecs et d’hermétisme qu’elles véhiculent encore trop souvent. » [1] – I2M (Aix-Marseille Université/CNRS)
- Valérie Laval Lévêque
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Valérie Laval Lévêque Radioprotectionniste « Une touche d’arôme, une touche d’atome, ma recette pour l’environnement » Valérie Laval Lévêque est technicienne CEA et travaille au Laboratoire d’analyses nucléaires et de surveillance de l’environnement [1] de Cadarache. Elle réalise des prélèvements dans l’environnement afin de vérifier l’impact que pourraient avoir les activités du centre et assure la radioprotection du laboratoire. Valérie Laval Lévêque n’a pas étudié la radioactivité mais cela ne lui a pas fait peur, et lui a même plu, car « c’était un domaine un peu mystérieux ! » C’est ainsi qu’en 1991, Valérie Laval Lévêque débute sa carrière sur le réacteur expérimental Osiris au centre CEA de Saclay en tant qu’expérimentatrice sur des crayons combustibles. Ces crayons, tubes d’environ 4 m de long, contiennent des matières qui fournissent l’énergie dans le coeur d’un réacteur nucléaire. Ce premier travail consistait à réaliser divers examens sur ces crayons combustibles afin de déterminer s’ils pouvaient être utilisés plus longtemps. Valérie Laval Lévêque rejoint ensuite le centre CEA de Cadarache pour travailler sur le réacteur expérimental Éole et devient en 1996 la 1re femme pilote de réacteur nucléaire de France. « Être la 1re femme, ça fait bizarre, mais pourquoi n’y en a-t-il pas eu d’autres avant moi ? » Par la suite, elle installe un laboratoire de chimie pour analyser l’eau du réacteur, lui permettant de mettre à profit les connaissances acquises lors de son DUT. Actuellement, elle réalise des prélèvements dans l’air, l’eau, le thym, le lait ou les légumes afin de vérifier l’impact du centre sur l’environnement. Valérie Laval Lévêque souhaite montrer que « les sciences, ce n’est pas compliqué » en témoignant auprès d’élèves à travers des ateliers et des rencontres. Son parcours prouve que, pour travailler dans les sciences, il n’est pas nécessaire d’avoir fait de longues études. « J’ai été au bon endroit, au bon moment et avec des personnes qui ont cru en moi et moi, j’ai cru en elles. » Avec son nouveau poste, de nouveaux horizons. « Le nucléaire et l’environnement, cela peut sembler étrange et aux antipodes, mais en réalité, pas du tout ! » [1] – LANSE (CEA)
- Femmes & Sciences à la Fête de la Science à Montpellier
Femmes & Sciences à la Fête de la Science à Montpellier 7 octobre 2022 8 octobre 2022 Place Marcel Godechot, Montpellier À l'occasion de la Fête de la Science, Femmes & Sciences Montpellier propose expositions et jeux autour de femmes scientifiques engagées pour le climat et la biodiversité. Le week end prochain débutera la Fête de la Science pendant laquelle F&S tiendra un stand au Village des sciences le samedi 8 et le dimanche 9 octobre de 10h à 18h . L'association y présentera notamment une expo photo sur une expédition en Antarctique à laquelle ont participé deux adhérentes en 2019, ainsi qu'une série de portraits sur des femmes scientifiques engagées face au changement climatique et la biodiversité menacée . Autour de ces expos, seront proposés aussi des jeux et des quiz pour les petit⸱es et les grand⸱es. Venez nombreux et nombreuses ! Le stand sera situé dans la salle i1, Faculté d'éducation, Place Marcel Godechot (Tram 1, Stade Philippides). En savoir plus : https://www.fetedelascience.fr/femmes-scientifiques-face-au-changement-climatique © Anne Charmentier < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >
- Yanxia Hou-Broutin
© Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Yanxia Hou-Broutin Chimiste "Quand je regarde derrière moi, je me dis que tout est possible si on suit ses rêves. En tant que chercheuse, il est essentiel pour moi de partager mon parcours et mon métier avec la jeune génération. C’est pourquoi je suis très impliquée dans la diffusion de la culture scientifique en participant à la Fête de la science ou à des émissions radio. Depuis 4 ans, j’interviens et j’accueille plus de 200 élèves dans le cadre de “Affiche ta science” et “Scientifique, toi aussi”. En tant qu’ambassadrice de l’exposition “La Science taille XX elles”, j’aimerais transmettre ma passion pour les sciences et pour mon métier en particulier, et ainsi inciter les jeunes, notamment les jeunes filles, à s’orienter vers des carrières scientifiques." Yanxia Hou-Broutin est chargée de recherche CNRS au laboratoire Systèmes moléculaires et nano matériaux pour l’énergie et la santé (SyMMES - CEA / CNRS / UGA). Elle est spécialisée en nez électroniques et biocapteurs. Depuis l’enfance, Yanxia Hou-Broutin rêve de devenir un jour une scientifique car elle est fascinée par les sciences, la technologie et surtout par leurs impacts sur notre vie quotidienne. Elle se dirige donc naturellement vers les sciences fondamentales et appliquées. Pour réaliser son rêve, elle suit un parcours international : un master en chimie en Chine puis une thèse à Lyon, un premier post-doctorat en Californie aux États-Unis et un deuxième au CEA-Grenoble. Après quoi, elle devient chercheuse à Grenoble, au laboratoire SyMMES. Depuis sa thèse, Yanxia Hou-Broutin s’intéresse aux odeurs. En effet, celles-ci jouent un rôle essentiel dans notre vie, mais les mesurer reste encore un grand challenge scientifique et technologique. Aujourd’hui, elle se consacre à relever ce défi en développant un nez optoélectronique basé sur des approches biomimétiques. Ce dispositif, capable de visualiser les empreintes digitales des odeurs, est dédié à leur analyse, notamment pour la surveillance de la pollution olfactive, le contrôle qualité des matières premières ou des produits finaux, et le diagnostic des maladies. Le nez optoélectronique qu’elle développe est basé sur des matériaux sensibles biomimétiques couplés à un système de détection optique. À partir de ses travaux innovants, Yanxia Hou-Broutin participe, en tant que co-fondatrice, à la création d’une start-up pour miniaturiser le dispositif. Aujourd’hui, elle est très fière que sa recherche fondamentale ait pu aboutir à un nouvel outil analytique qui sera utile pour notre vie quotidienne.












