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513 résultats

  • Lucile Savary

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Lucile Savary Physicienne "Le cantique des quantiques" Lucile Savary est chargée de recherche au CNRS, théoricienne de la matière condensée au Laboratoire de physique de l’ENS de Lyon (LP, ENS de Lyon / Lyon1 / CNRS). Ancienne étudiante de l'ENS de Lyon, elle a effectué un doctorat à l'Université de Californie à Santa Barbara, puis obtenu une bourse postdoctorale ‘Gordon et Betty Moore’ au MIT. Ses recherches portent actuellement sur les phénomènes exotiques dans les systèmes réels, avec un accent particulier sur les électrons fortement corrélés. En 2017, elle reçoit le F. Nevill Mott Prize 2017. En 2019, elle est lauréate du 'Young Scientist Prize in Statistical Physics' 2019. « La première chose que j'ai à dire aux jeunes filles qui veulent faire de la physique, c'est : Yes, you can ! Allez-y ! Pourquoi pas vous ? » Magnétisme quantique, liquides de spins quantiques, criticité quantique, ordre par le désordre, RIXS, systèmes spin-orbitalaires, transport thermique dans les isolants magnétiques, supraconductivité non conventionnelle dans les matériaux à fort couplage spin-orbite et multiples bandes, les thématiques de recherche que Lucile Savary aborde aujourd’hui résultent d’une vocation qui lui est venue en terminale grâce à une « prof exceptionnelle ». Lucile – seule femme de son équipe de recherche – ne sait pas pourquoi les femmes sont si peu nombreuses en physique. Il arrive même à Lucile de se rendre à des conférences où elle est la seule femme parmi une quarantaine d’hommes. Interrogée sur la parité, Lucile estime que les mentalités ont évolué mais qu’elles doivent encore changer. En physique, comme dans d’autres domaines, même si la prise de conscience est réelle, les femmes pâtissent encore des représentations archaïques et subissent les postures de pouvoir que prennent parfois certains scientifiques. On a l’exemple d’un chercheur assez connu qui s’est risqué un jour à décrire la physique comme un « métier d’homme ». La place des femmes en sciences serait-elle contestée ? Bien sûr que non, mais les cas de « mansplaining » (où un homme explique à une femme ce qu’elle sait déjà parfaitement) ne sont malheureusement pas rares. Pour lutter contre les biais implicites, il existe des politiques de discrimination positive, mais ce type d’initiative crée parfois des tensions au lieu de les apaiser. Car certains hommes – voire certaines femmes – font encore de la résistance. Alors, comment faire pour inverser la tendance ? Le parcours académique d’une femme est souvent plus compliqué que celui d’un homme mais Lucile Savary pense que la prise de conscience du problème commence à être bien réelle et qu’il faut persévérer dans la poursuite de l’équité, par l’éducation, par le démontage des représentations sociétales, par l’information et par des politiques volontaristes pour contrecarrer les biais que nos sociétés ont créés. Il faut cultiver la diversité « Les approches des femmes sur certains problèmes ou sur la pédagogie varient de celles des hommes. On ne peut que gagner à profiter de toutes ces différentes méthodes. Les gens ont désormais beaucoup plus conscience de l'importance que cela revêt, à la fois pour la qualité de la recherche, pour la qualité de vie de chacun et pour l’ambiance générale dans les laboratoires. » Son domaine, en quelques mots : Lucile Savary travaille sur la physique quantique des matériaux. L’objectif est de comprendre comment les électrons se comportent à l’échelle microscopique dans les solides qui nous entourent, et donnent lieu à des phénomènes observables, ou exploitables, à notre échelle. Déchiffrer les propriétés fondamentales de la matière, concevoir des systèmes où on peut se saisir de l’immensité des possibilités offertes par la mécanique quantique, mais aussi comprendre des résultats d’expériences de collègues, et proposer des modèles font partie de son quotidien. Ses travaux peuvent également ouvrir des perspectives sur l’élaboration de solutions nouvelles, plus performantes, plus efficaces, plus petites, plus rapides dans le domaine des technologies.

  • Conférence en Hommage aux Femmes Scientifiques

    Conférence en Hommage aux Femmes Scientifiques © Planétarium de Montpellier May Morris est intervenue au Planetarium de Montpellier pour rendre hommage aux Femmes Scientifiques qui ont façonné nos sciences et technologies - à l'occasion du 11 février. Les femmes ont contribué aux grandes découvertes scientifiques de tout temps dans différents domaines, mais leurs noms demeurent encore mal connus du grand public, et des stéréotypes importants subsistent concernant la place des femmes en sciences, étroitement liés à l’évolution de leurs droits et à leur statut social au cours de l’histoire. Cette conférence a pour objectif de rendre hommage aux femmes scientifiques restées dans l’ombre malgré leurs contributions scientifiques et technologiques et des découvertes exceptionnelles. À travers d'anecdotes et avec une pointe d’humour, cette conférence fait un point sur la place des femmes en sciences à l’occasion de la journée internationale des femmes et filles de sciences (le 11 février). Voir l'affiche : ici < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Décès de Marthe Gautier (1925 - 2022)

    Décès de Marthe Gautier (1925 - 2022) © STC F&S Marthe Gautier, découvreuse, médecin et artiste, s'est battue ces dernières années pour démontrer son rôle déterminant dans la découverte de l'origine de la trisomie 21. Marthe Gautier est décédée juste avant le 1er Mai. Comme dit si bien Corinne Royer, autrice du livre "Ce qui nous revient" décrivant son histoire : "Elle nous a quittés hier, sans doute en emportant quelques brins de muguet… elle qui aimait tant les plantes, les fleurs, les arbres et tout ce que les forêts comptent de mystère et de féérie". À Femmes & Sciences, Claudine Hermann et Sylvaine Turck-Chièze, étaient à la fête qu'elle célébra à l'occasion de la remise de son titre de commandeur de la Légion d'Honneur en 2018, titre reçu des mains de Claudine Hermann. C'était une amie que F&S a fait connaître dans le livret des 40 femmes scientifiques remarquables du XVIIIe siècle à nos jours . L'association a aussi oeuvré pour que la fondation Lejeune associe enfin son nom à la découverte du chromosome supplémentaire provoquant la trisomie 21 dont elle est la découvreuse incontestée, car elle seule, en France, connaissait et a mis en oeuvre la technique de la culture cellulaire qu'elle avait acquise à Harvard, technique indispensable à cette découverte. L'association continuera à parler de ses belles qualités et de sa détermination pour faire avancer la science, tout en étant poète et peintre... < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Émeline Richard Millot

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Émeline Richard Millot Biotechnologiste "En tant que chercheuse en biotechnologie, je réalise aujourd’hui mon objectif de faire de la recherche en médecine et j’ambitionne d’aller plus loin en me lançant dans l’entrepreunariat, avec le nouveau rêve de voir un jour sur le marché mon médicament contre la grippe. Mais tous ces projets et ambitions professionnelles ne m’empêchent pas d’assurer mon rôle le plus important : celui de maman !" Émeline Richard Millot est post-doctorante CNRS au Centre de recherches sur les macromolécules végétales (CERMAV - CNRS). Elle travaille au sein de l’équipe chimie et biotechnologie des oligosaccharides du laboratoire et participe à la création d’une start-up. Entre la science et Émeline Richard Millot, c’est une histoire qui dure… Depuis l’école primaire, elle le sait, elle sera scientifique. Elle aime les mathématiques, la physique, la chimie… et plus tard la biologie ! Ce n’est qu’en Terminale qu’elle se décide : elle veut faire de la recherche en médecine. Après une tentative en première année de médecine, elle se réoriente en licence de chimie-biologie. Elle poursuit ensuite ses études en Master et se passionne pour la biotechnologie au cours d’un stage au sein du CERMAV, un laboratoire pluridisciplinaire spécialisé dans les glycosciences. Elle parvient finalement à atteindre son objectif au sein de ce même laboratoire, en réalisant son doctorat de biotechnologie durant lequel elle travaille au développement d’un vaccin contre le cancer. Elle est aujourd’hui chercheuse post-doctorante au CERMAV et poursuit sa “recherche en médecine”. Émeline Richard Millot travaille dans une équipe qui allie la chimie, la biochimie et la biotechnologie pour produire des glucides complexes et ainsi étudier leur rôle ou bien utiliser leurs fonctionnalités dans les domaines de la santé ou de l’environnement. Elle travaille sur le volet biotechnologie. Elle cultive des bactéries génétiquement modifiées, lui servant “d’usine” pour produire des glucides. En étroite collaboration avec l’ensemble de l’équipe, elle utilise ensuite la chimie pour produire des molécules innovantes à partir de ces glucides. Elle collabore également avec d’autres laboratoires qui lui permettent d’évaluer le potentiel en tant que médicament de ces molécules. Ses recherches ont conduit au développement d’une molécule très efficace contre la grippe et elle envisage aujourd’hui une nouvelle aventure à travers la création d’une start-up qui valorisera ses travaux de recherche.

  • Fatima-Ezzahra L’Faqihi-Olive

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Fatima-Ezzahra L’Faqihi-Olive Ingénieure en techniques biologiques "Le tri sélectif, c’est aussi pour les cellules" Fatima-Ezzahra L’Faqihi-Olive est ingénieure de recherche en biologie à l’Université Toulouse III – Paul Sabatier et travaille au Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan (CPTP) devenu depuis le 1 janvier 2021 l’Institut Toulousain des Maladies Infectieuses et Inflammatoires (INFINITY, UMR INSERM13291 CNRS5051, UT3). Depuis 2002, elle est responsable du plateau technique de cytométrie et tri cellulaire de l’institut. Elle a été lauréate de la médaille de cristal du CNRS en 2017. Après un baccalauréat à Casablanca, Fatima L’Faqihi a poursuivi des études supérieures à Toulouse et a obtenu un DEA de physiopathologie humaine à dominante immunologie. Elle a finalisé ses études par un doctorat en immunologie puis a bénéficié de postes temporaires d’enseignement qui lui ont permis d’enseigner et de continuer la recherche en immunologie avant d’être recrutée en qualité d’ingénieure d’études à l’Université Toulouse III - Paul Sabatier. Depuis plus de vingt ans, elle a la responsabilité du plateau de cytométrie et tri cellulaire d’INFINITY qui est rattaché à la plateforme technologique des sciences du vivant Toulouse Réseau Imagerie (Génotoul-TRI). La cytométrie en flux est une technique quantitative qui permet d’analyser, à partir d’une suspension de particules ou de cellules, les caractéristiques individuelles de chacune de ces particules. Les cellules en suspension préalablement marquées par une molécule fluorescente passent une à une devant un ou plusieurs faisceau(x) laser. Elles émettent des signaux de fluorescence permettant de les identifier, de les compter et de les trier en fonction de leurs caractéristiques. Le cœur de métier de Fatima L’Faqihi est d’accompagner des projets de recherche en proposant des développements et des innovations technologiques aux scientifiques, de regrouper des compétences de cytométrie en flux de haut niveau et de mutualiser des outils technologiques de pointe. Elle travaille au quotidien auprès d’immunologistes et de spécialistes de l’inflammation pour lesquel.le.s elle analyse et trie les cellules du système immunitaire. L’ouverture vers l’extérieur lui a permis d’aborder d’autres thématiques allant des maladies infectieuses et la cancérologie, à la biologie du développement en passant par la microbiologie industrielle et alimentaire. Au-delà de la fonction scientifique, elle est en charge de la gestion administrative et financière du plateau ainsi que des missions de formation, de transfert technologique et d’enseignements à l’université. Fatima L’Faqihi a été élue par ses pairs et siège au Conseil d’administration de l’Association Française de Cytométrie. Elle en charge au niveau national de la coordination de l’ensemble des événements scientifiques de l’association. Fatima L’Faqihi est investie dans l’égalité professionnelle Femme/Homme et est correspondante Égalité de son institut à la fois dans le réseau Coregal CNRS et le réseau PEP INSERM. Depuis Janvier 2021, Fatima L’Faqihi a pris la fonction de Directrice Adjointe d’INFINTY.

  • Alexandra Mougin

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Alexandra Mougin Physicienne en nanomagnétisme "Vos disques durs, je ne les quitte pas des yeux" Alexandra Mougin est directrice de recherche au CNRS, spécialisée en magnétisme et spintronique. Elle travaille au Laboratoire de physique des solides (LPS – CNRS/Université Paris-Saclay). Le travail d’une chercheuse, c’est de chercher. Il s’agit, pour Alexandra Mougin, de mettre en place un processus scientifique pour comprendre finement comment une chose fonctionne. Le graal est ensuite de pouvoir optimiser les processus impliqués ou les rendre exploitables dans notre société. Une curiosité d’Alexandra Mougin qui remonte à sa petite enfance. Malgré un large spectre de centres d’intérêt, elle s’est très rapidement dirigée vers les sciences fondamentales et appliquées. Très motivée pour entreprendre des études de physique, malgré la sous-représentation des femmes dans cette discipline, elle réalise une thèse à Nancy et un postdoctorat à Kaiserslautern en Allemagne. Après quoi, elle obtient un poste de chargée de recherche à Orsay, au Laboratoire de Physique des Solides. Ses activités de recherche sont axées sur le magnétisme des systèmes à dimension réduite et portent sur les nanostructures magnétiques, ces aimants microscopiques qui servent de socle aux mémoires telles que celles de nos disques durs. L’alliance de la microélectronique et du magnétisme, également appelée spintronique, est très porteuse. Les géants du numérique s’intéressent tout particulièrement aux mémoires magnétiques, et poussé par les applications potentielles, ce domaine de recherche est extrêmement actif et concurrentiel. La miniaturisation des pièces, sans diminuer la densité de stockage, la consommation d’énergie et la rapidité de lecture et d’écriture des informations sont des questions au cœur des recherches d’Alexandra Mougin. Et pour cause, personne ne rêve d’un ordinateur portable lourd, lent et qui chauffe comme un radiateur. Son activité est essentiellement expérimentale et elle dispose de compétences larges incluant l’utilisation de grands instruments comme le rayonnement synchrotron. Pour proposer et imaginer de nouvelles expérimentations, elle utilise des enceintes sous ultravide, des microscopes, des lasers et des salles blanches. Un des attraits du travail de recherche est son caractère collectif. Loin d’Alexandra Mougin, le mythe du chercheur fou isolé dans son laboratoire. C’est en rassemblant les cerveaux que la Science peut avancer !

  • Prix jeunes talents France L’Oréal-UNESCO pour les femmes et la science

    Prix jeunes talents France L’Oréal-UNESCO pour les femmes et la science La Fondation L’Oréal-UNESCO décerne 35 bourses de recherche à 23 doctorantes et 12 post-doctorantes de 59 nationalités différentes. Pour la 14ème édition du Prix jeunes talents France, L’Oréal-UNESCO pour les femmes et la science, 686 candidates ont été présélectionnées et 35 bourses de recherche ont été décernées à 23 doctorantes (15 000€) et 12 post-doctorantes (20 000€) de 59 nationalités différentes. Parmi l'ensemble des initiatives de la Fondation, l'objectif de ces bourses est de valoriser également les réalisations de jeunes femmes à l’orée de leur carrière scientifique. L'association Femmes & Sciences participe à des actions de la Fondation L'Oréal, notamment elle apporte son expertise pour les Bourses de thèses L’Oréal. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Portraits de femmes scientifiques

    Portraits de femmes scientifiques © F&S Cette vidéo, produite par l’association No Smoking Production et soutenue par l’association Femmes & Sciences, met en lumière des parcours de femmes scientifiques. À travers des réponses courtes et dynamiques, plusieurs femmes dans des domaines variés de la science partagent leurs expériences, leur quotidien et les défis de leur métier. Leur diversité d’origine et de parcours est un formidable témoignage de la pluralité des profils féminins dans les sciences. Cette vidéo a pour objectif d’éveiller la curiosité des élèves, de briser les stéréotypes et de susciter des vocations en science. Idéale à diffuser dans les classes, notamment avant une intervention de membres de Femmes & Sciences, elle servira de point de départ inspirant pour les jeunes et les encouragera à envisager la science comme une voie ouverte à tous, et à toutes. Voir la vidéo : ici Remerciements : Nos sincères remerciements à Anne Charmantier, Priyanka Das Rajkakati, Charlotte Francesiaz, Katja Oychinnikova, Emeline Pettex et Peggy Rigou, dont les témoignages reflètent la richesse et la diversité des parcours de femmes scientifiques. Merci à l'initiative Homeward Bound (https://homewardboundprojects.com.au/), qui réunit toutes les participantes autour de la promotion du leadership féminin en sciences. Un grand merci à Stephen et Marie-Ange de No Smoking Production pour le tournage et le montage de la vidéo. Nous espérons que cette vidéo inspirera et éveillera des vocations chez les jeunes générations ! < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Happy Hour Femmes & Sciences

    Happy Hour Femmes & Sciences Un moment d'échanges entre les adhérent·es de F&S Montpellier À l'occasion du 8 mars, F&S Montpellier organise un Happy Hour à la brasserie Le Drapeau Rouge (53 Rue du Faubourg Boutonnet, 34090 Montpellier) de 17h30-20h. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Claire Giry nommée directrice générale de la recherche et de l’innovation

    Claire Giry nommée directrice générale de la recherche et de l’innovation © INSERM / Mehrak Félicitations à Claire Giry pour sa nomination en tant que directrice générale de la recherche et de l'innovation du MESRI. Directrice générale déléguée de l’Inserm depuis janvier 2018, et docteure en biologie moléculaire et cellulaire, Claire Giry est nommée directrice générale de la recherche et de l’innovation du Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation à compter du 14 juin 2021. Au cours de sa carrière, elle a assuré des fonctions relatives à la communication, aux partenariats et aux affaires européennes au sein de l’Inserm et du CEA. Elle a également dirigé le programme « Centres d’excellences » du commissariat général à l’investissement en 2016/2017 et a été conseillère technique du Premier ministre pour l’enseignement supérieur et la recherche entre 2007 et 2009. Sa carrière et son investissement au sein des organismes de recherche français lui ont valu d’être décorée des titres de Chevalier de la légion d’honneur et d’officier de l’ordre national du mérite. Voir le communiqué officiel Le MESRI est l'un des sponsors de Femmes & Sciences. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Nalini Anantharaman : une mathématicienne au parcours époustouflant !

    Nalini Anantharaman : une mathématicienne au parcours époustouflant ! © P. Imbert, Collège de France Nalini Anantharaman est nommée, en octobre 2022, professeure du collège de France, titulaire de la chaire de géométrie spectrale. Maîtresse de conférence à Normale Sup Lyon, chargée de recherche et professeure sur une chaire « Hadamard » de l’Ecole Polytechnique, invitée à Berkeley, Princeton, professeure à l’IRMA et à l’USIAS (Strasbourg), elle est nommée, en octobre 2022, professeure du collège de France, titulaire de la chaire de géométrie spectrale. Née en 1976, elle a étudié les mathématiques à l’Ecole Normale Supérieure (Paris), et a obtenu un doctorat à l’Université Paris 6 sous la direction de F. Ledrappier, intitulée « Géodésiques fermées d'une surface sous contraintes homologiques » . Elle a reçu une dizaine de prix et distinctions, dont le prix Henri-Poincaré (2012), la médaille d’argent du CNRS (2013), the Infosys Prize in Mathematics (2019), the Frederic Esser Nemmers Prize in Mathematics (2020). Nalini fait partie de l’exposition « Femmes scientifiques d’Alsace et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd‘hui » réalisée par la section Alsace de Femmes & Sciences en collaboration avec le Jardin des Sciences de l’Unistra ( https://www.femmesetsciences.fr/alsace-expositions ). Son CV complet, la liste de ses distinctions et son cours introductif « Histoires de spectres » sont disponibles sur le site du collège de France : www.college-de-france.fr/personne/nalini-anantharaman < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Intervention au collège Les Lesques à Lesparre Médoc

    Intervention au collège Les Lesques à Lesparre Médoc Speed meeting et conférences au programme de la semaine d'orientation du collège Les Lesques - LESPARRE MEDOC Le 15 mars 2022, le collège Les Lesques de Lesparre Médoc a accueilli Femmes & Sciences dans le cadre de sa semaine d'orientation. Cette intervention visait à compléter la réflexion menée avec les collégiens sur le thème des femmes scientifiques. Speed Meeting et conférences au programme, animés par Christele Etchegaray, Hortense de la Codre, Pauline Claisse, Axelle Desriac et Chloé Freyermuth < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

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