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  • Élodie Bordat-Chauvin

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Élodie Bordat-Chauvin Enseignante-chercheuse en sociologie "Quand on parle de Culture, les mots ont du poids" Élodie Bordat-Chauvin est sociologue politique. Elle est maîtresse de conférences à l’Institut d’Études Européennes de l’Université Paris 8 et chercheuse au Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris (CRESPPA – CNRS/Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis/Université Paris Nanterre). Dès le collège, Élodie Bordat-Chauvin rêve d’être ethnologue et décide, après son bac, de partir étudier l’ethnologie au Mexique. Passionnée par les échanges interculturels, elle y mène une enquête ethnographique sur une association d’expatriés français à Mexico. Puis, lors de son Master à Sciences Po Aix, elle continue dans cette voie et réalise son mémoire sur la diplomatie culturelle de la France au Mexique. Elle poursuit ses études avec une thèse. Elle compare alors les processus d’institutionnalisation des actions culturelles menées par les pouvoirs publics au Mexique et en Argentine. Son travail sera récompensé en 2014 par le Cultural Policy Research Award . Grâce à ce prix, elle publie un premier ouvrage en anglais comparant les politiques culturelles argentine et mexicaine, rédigé pendant son premier congé de maternité. Deux ans plus tard, à l’occasion d’un second congé de maternité, elle publie en français un livre actualisant ses recherches. Dans ces ouvrages, Élodie Bordat-Chauvin démontre que la politique culturelle mexicaine est – historiquement et jusqu’à aujourd’hui – plus stable et consolidée que la politique culturelle argentine. Ce résultat, elle l’obtient en étudiant la planification de l’action culturelle dans ces pays et en s’intéressant aux lois et règles non-écrites qui impactent les politiques de culture. Par la suite, Élodie Bordat-Chauvin obtient un contrat de recherche postdoctoral et effectue quatre mois d’observation participante au ministère argentin de la Culture. Ce séjour lui a permis d’appréhender les pratiques et les représentations des agents administratifs sur leurs missions, ainsi que la façon dont ils s’acquittent de leurs rôles. Aujourd’hui, Élodie Bordat-Chauvin travaille sur les conséquences de la crise économique de 2018 sur le travail des agents du programme socio-culturel pour lequel elle a travaillé en Argentine. Elle s’intéresse également à la manière dont ce programme a circulé vers différents pays d’Amérique latine et d’Europe. Grâce à son métier d’enseignante-chercheuse en sociologie, Élodie Bordat-Chauvin a la chance d’être quotidiennement au contact d’étudiantes, de professionnelles de la culture et de travailler avec des chercheuses provenant de multiples pays. De l’ethnologie à la sociologie, en passant par les sciences politiques, elle continue à vivre son rêve d’enfant : apprendre à connaître d’autres cultures.

  • Femmes & Sciences participe à la RoboCup Junior les 21 & 22 mai à Bordeaux

    Femmes & Sciences participe à la RoboCup Junior les 21 & 22 mai à Bordeaux 20 mai 2022 22 mai 2022 Parc des expositions, Bordeaux L’association sera présente à la finale de la RoboCup Junior France 2022 qui se déroulera les 21 & 22 mai au Parc des expositions de Bordeaux. Des centaines d’enfants, d’adolescents et d’adolescentes (- de 19 ans) participent à la compétition RoboCup Junior France 2022 en s’affrontant à travers plusieurs épreuves de robotique (interaction humain-robots, matchs de football, parcours d’obstacles pour robot, …). Cela permet aux participants et participantes de découvrir des disciplines scientifiques et de côtoyer des équipes de recherche. De plus, cet événement donne aux visiteurs et visiteuses une vision du cursus scientifique et technique à suivre de l’école primaire à l’université. Dans ce contexte, des jeunes femmes scientifiques seront présentes afin de présenter leurs parcours, leurs disciplines scientifiques et de représenter la place des femmes en sciences. Au programme de ces 2 jours : conférences, quiz & escape game ! On vous attend nombreux et nombreuses au stand numéro 13 ! Pensez à réserver directement au stand vos créneaux pour participer au quiz et à l’escape game tout au long de la journée. Programme des conférences : Samedi 11h30 – 12h : "Vulgarisons la science !" par Clémence Cazenave et Edmée Eyraud Samedi 15h – 15h30 : "L’association Femmes & Sciences" par Isabelle Pianet Dimanche 11h – 11h30 : "Vulgarisons la science !" par Edmée Eyraud Dimanche 11h30 – 12h : "Femmes remarquables" par Axelle Desriac < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • "Sciences, un métier de femmes !" : 2ème édition à Orléans

    "Sciences, un métier de femmes !" : 2ème édition à Orléans 4 mars 2025 Orléans 150 lycéennes de la Région Centre-Val de Loire rencontrent plus de 20 marraines (chercheuses, ingénieures et techniciennes) de laboratoires privés et publics. Il s’agit d’un projet à destination de lycéennes pour les inciter à poursuivre leur carrière vers des métiers scientifiques. Montrer par l’exemple que tous les métiers scientifiques sont mixtes, décrypter les stéréotypes, dépasser les idées reçues, telle est l’ambition de cette journée "Sciences, un métier de femmes !". Des lycéennes venues des 6 départements de la Région Centre-Val de Loire y participeront. © Anais Groisy < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Île-de-France | Scolaires | Femmes & Sciences

    Île-de-France SCOLAIRES Interventions auprès des scolaires En Ile-de-France, le groupe rencontre environ 5.000 jeunes par an issus de collèges et lycées. La forme est très variable : interventions dans les classes, forums des métiers, fête de la Science, conseil individuel d’orientation. Plusieurs formats sont pratiqués, de l’intervention ponctuelle dans les classes, à des doubles rencontres avec participation des élèves pour mieux les impliquer ou demi-journées organisées par l’établissement scolaire avec petits groupes d’échange, filles seulement ou filles et garçons ensemble... Le groupe a aussi des rôles plus spécifiques comme un partenariat sur trois ans avec un collège en ZEP, labellisé La Main à la Pâte où la science est mise à l’honneur ; ou des lycées comme celui de Montmorency qui a invité plusieurs années de suite des membres de Femmes & Sciences et dont les élèves de terminale assistaient à notre colloque, ou des échanges individuels comme au lycée de Rambouillet qui a organisé un concours de magazines sur l’intelligence artificielle et les femmes. Concours au lycée de Rambouillet Contact LA SCIENCE TAILLE XXELLES MENTORAT

  • Fanny Petit-Fontyn

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Fanny Petit-Fontyn Technicienne en histologie "Vos tissus me vont comme un gant" Fanny Petit-Fontyn est technicienne en histologie, spécialisée en neuroscience. Elle travaille au CEA, au laboratoire des maladies neurodégénératives (CNRS/CEA/Université Paris-Saclay) spécialisé sur les mécanismes de dégénérescence, l’imagerie cérébrale, et les stratégies thérapeutiques géniques. Dès ses premières années d’études, Fanny Petit-Fontyn veut travailler dans des laboratoires de biologie et ses stages la confortent dans ce choix. Ces expériences lui donnent l’envie de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau et les mécanismes qui mènent aux maladies neurodégénératives, pour aider et soigner les patients. Sa discipline de prédilection est l’histologie, discipline très ancienne, qui permet d’étudier la structure des tissus biologiques grâce à des colorations spécifiques ou à des réactions immunohistochimiques ou histoenzymatiques. Pour étudier les tissus, elle réalise des coupes très fines (30-40 µm) grâce à des appareils comme les microtomes et les cryostats. Dessus, elle réalise des marquages permettant de visualiser les interactions entre des antigènes et des anticorps d’intérêts. Avec des microscopes optiques, elle peut observer et analyser différents types cellulaires. Cette technique permet ainsi de détecter les variations des tissus dans des conditions pathologiques. L’équipe de recherche où Fanny Petit-Fontyn travaille, concentre ses travaux sur la maladie d’Alzheimer. Cette maladie est d’abord diagnostiquée par un examen clinique et des tests neuropsychologiques. Cependant le diagnostic définitif nécessite des examens histologiques, car la maladie d’Alzheimer est définie par l’agrégation dans le cerveau de deux protéines anormales (le peptide bêta-amyloïde et la protéine tau). Grâce aux marquages histologiques, elle observe les modifications de ces protéines. Actuellement il n’existe que des traitements symptomatiques de la maladie d’Alzheimer, qui n’apportent qu’un soulagement limité et temporaire des symptômes. L’équipe tente de comprendre l’origine de cette maladie en comparant les analyses histologiques avec de nouveaux marqueurs en imagerie par résonance magnétique (IRM). Cette comparaison leur permet d’évaluer des nouvelles thérapies contre la maladie d’Alzheimer et de tester leur impact sur les lésions histologiques observées par Fanny Petit-Fontyn.

  • Égalité et Sciences : la place des femmes

    Égalité et Sciences : la place des femmes 8 mars 2022 30 mars 2022 Hybride (à Rennes et en ligne) Un cycle de conférences multidisciplinaires intitulé « Égalité et Sciences : la place des femmes » se tiendra tout au long du mois de mars 2022 À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, les établissements membres d’UniR – l’EHESP , l’ENSCR , l’ENS Rennes , l’INSA Rennes , Sciences Po Rennes , l’Université de Rennes 1 et l’Université Rennes 2 – s’associent à l’École nationale supérieure d’architecture de Bretagne (ENSAB ), à IMT Atlantique ainsi qu’à l’Espace des Sciences pour concevoir un cycle de conférences multidisciplinaires, intitulé « Égalité et Sciences : la place des femmes », qui se tiendra tout au long du mois de mars 2022. Ces événements sont organisés en partenariat avec le CNRS , l’Inria , l’Inserm, la Ville de Rennes et l’association Femmes & Sciences . Plus d'informations sur http://www.univ-rennes.fr/egalite-femmes-sciences < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • 'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' - "les décodeuses d'informatique"

    'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' - "les décodeuses d'informatique" 21 janvier 2021 Strasbourg L'exposition Femmes & Sciences 'Femmes scientifiques...' sera présentée le 21 janvier à Strasbourg (cordée de la réussite "les décodeuses d'informatique") L'exposition Femmes & Sciences 'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' sera présentée le 21 janvier lors du lancement de la cordée de la réussite "les décodeuses d'informatique" à l'UFR maths info de Strasbourg. 43 filles de 2 collèges strasbourgeois (Sophie Germain et Foch) vont participer. Il s'agit d'un tutorat collectif scientifique avec des figures féminines. Femmes&Sciences et Jardin des sciences Strasbourg < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Stand "Intello, c'est pas ton genre"

    Stand "Intello, c'est pas ton genre" 4 octobre 2025 Avignon Y-a-t-il une différence entre l'intelligence des femmes et celle des hommes ! Réponse sur le stand, venez tester vos connaissances en vous amusant ! Nous avons tous et toutes des idées reçues sur les différences d'intelligence entre les femmes et les hommes. Les scientifiques ont mené des recherches sur cette question. Vous pourrez tester vos stéréotypes et vos préjugés dans ce domaine et savoir s'il existe un cerveau masculin et un cerveau féminin ! Est-ce un mythe ou une réalité ? L'intelligence a-t-elle un genre ? Vous pourrez découvrir les conséquences de ces croyances, sur l'orientation scolaire, les inégalités notamment en science, et dans le développement des carrières. Finalement vous découvrirez que l'égalité des cerveaux est une idée encore à défendre et qu'il reste un combat à mener pour que le genre ne soit plus un critère dans l'évaluation de l'intelligence et des potentiels des personnes. L'association Femmes & Sciences et INRAE sont engagés dans ce combat pour plus d'égalité entre les femmes et les hommes en science et seront heureux de vous accueillir sur le stand pour partager et échanger avec vous. En savoir plus : https://www.fetedelascience.fr/stand-intello-c-est-pas-ton-genre © Salima Kerchache < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Elisa Demuru

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Elisa Demuru Primatologue, éthologue "La femme qui murmurait à l’oreille des bonobos" Elisa Demuru est post-doctorante CNRS au Laboratoire dynamique du langage (DDL, Lyon2 / CNRS) en collaboration avec l’Équipe de neuro-éthologie sensorielle (ENES/Neuro-PSI, UJM Saint-Étienne / CNRS). D’origine piémontaise, elle étudie à l'Université de Turin en sciences de la vie et de la Terre. Elle obtient un master puis un doctorat de recherche en biologie du comportement, à Parme. Après un détour par le Musée d'Histoire Naturelle de l'Université de Pise, elle initie en France un projet post-doctoral qui analyse l’expérience sociale dans les premières années de vie et le développement des capacités communicatives chez les bonobos. Chez les bonobos tout le monde peut communiquer par des rapports sexuels : entre mâles et femelles, entre mâles, entre femelles, vieux, jeunes... Afin de régler des tensions mais aussi dans d’autres contextes : « pour eux ce n'est pas tabou, ce n'est pas de la reproduction, même chez les petits qui jouent entre eux, il y a toujours ce fond de sexualité » sourit Elisa Demuru. La socio-sexualité de ces primates si proches de l'homme est la seule chose que l'on retient généralement, un aspect sans équivalent dans le règne animal. « Pourtant il y a des conflits, précise Elisa Demuru, ce n'est pas une société pacifique, ils sont aussi capables de se battre. » Jusque dans les années 30, on n’avait pas identifié les bonobos que l’on assimilait à des chimpanzés. Des études anatomiques du squelette, réalisées dans un musée en Belgique, ont révélé des différences importantes. Cela ne fait pas moins de dix ans qu’Elisa Demuru, enthousiaste spécialiste des bonobos, les observe dans divers parcs animaliers d'Europe, dont celui de La Vallée des Singes non loin de Poitiers, ou dans leur berceau, le sanctuaire Lola ya Bonobo en République Démocratique du Congo. Elle travaille à comprendre les différents aspects de leur vie sociale ainsi que leur façon de communiquer. Elle reste parfois des journées entières, caméra au poing, à compiler des données pour analyser les résultats en laboratoire. Pourquoi avoir choisi les bonobos comme sujet de recherche ? « À huit ans, j'ai trouvé un livre sur l'évolution de l'Homme, que j'ai lu et relu. Je me suis dit que quand je serai grande je serai scientifique et que je ferai des études pour comprendre pourquoi nous sommes devenus ce que nous sommes. » La comparaison de l’animal humain avec les autres primates est fondamentale pour répondre à cette question. Il faut pour cela étudier les comportements des hommes et des femmes et aussi des grands singes. « On se voit tels des anges tombés du ciel, mais nous ne sommes que des singes qui marchent debout, comme disait le célèbre zoologue Desmond Morris. » Son domaine, en quelques mots : L'éthologie est la discipline scientifique qui s’intéresse au comportement des animaux. L'espèce étudiée par Elisa Demuru est le bonobo. Ses recherches visent à comprendre la façon dont les bonobos – cette espèce évolutivement la plus proche de l’humain – communiquent leurs intentions et émotions dans un contexte de jeu social. L’analyse des enregistrements vidéos et sonores collectés pendant plusieurs mois lui permet de décrire en détail les gestes, les expressions faciales et les vocalisations utilisés pour gérer une interaction ludique, dans le but d’explorer les liens entre la communication animale et humaine. La primatologie est-elle un domaine facilement accessible aux femmes ? « Quand on pense à des primatologues, on a tout de suite l’image de trois femmes célèbres : Jane Goodall, Dian Fossey et Birutė Galdikas. Malheureusement, dans la réalité on retrouve rapidement le phénomène du plafond de verre ». Et d'ajouter en riant « peut-être devrait-on apprendre quelque chose des bonobos : chez eux, ce sont les femelles qui dominent en s'entraidant ! »

  • Atelier Mendeleieva dans deux collèges alsaciens

    Atelier Mendeleieva dans deux collèges alsaciens 7 octobre 2020 Alsace Tous les élèves de 3ème des deux collèges (Strasbourg et Schiltigheim) qui nous ont aidées à adapter le jeu Mendeleieva aux collégiens, ont joué avec nous ! Le jeu Mendeleieva présente 135 femmes scientifiques via un élément du tableau périodique qui est en rapport avec sa rechercleurleur recherche. Initialement conçu pour des lycéens, le jeu a été adapté aux collégiens en partenariat avec deux collèges alsaciens et deux collèges toulousains. Les élèves ont travaillé sur les cartes en cours. Ensuite, ils ont joué avec des animatrices et animateurs et ont ainsi découvert plein de femmes scientifiques ! © vpb < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Femmes & Sciences à la fête de la science en Alsace

    Femmes & Sciences à la fête de la science en Alsace 30 septembre 2021 7 octobre 2021 Alsace Atelier Mendeleïeva : Découvertes de femmes scientifiques à travers les éléments du tableau périodique Mini-expo: "Elles font de la recherche sur le campus de Cronenbourg" 1-3 octobre : campus de Cronenbourg 8 octobre : collège Rouget de Lisle Schiltigheim 1869 est l’année où le chimiste russe Dmitri Mendeleïev (1834-1907) a publié la classification périodique des éléments chimiques qu’il dispose selon leur masse atomique et leurs propriétés chimiques. Depuis le 150è anniversaire de cette classification, l’association Femmes & Sciences met à l’honneur 135 femmes scientifiques, historiques et contemporaines, qui ont travaillé ou travaillent au quotidien avec l’un ou l’autre des éléments du tableau. Ce tableau « Mendeleïeva » présente des femmes ordinaires ou extraordinaires, de toutes nationalités, et donne un aperçu de la diversité du monde de la recherche : statuts différents, disciplines différentes et domaines d’expertise très variés : mathématiques, archéologie, astrophysique, géologie, virologie, chimie, paléo-climatologie… À l'occasion du 60è anniversaire du campus CNRS de Cronenbourg, l'association présente aussi une petite exposition d'affiches (sur le format des cartes Mendeleïeva) sur 26 femmes qui travaillent sur le campus (+ Marguerite Perey qui l'a fondé). Accessibilité et inscriptions : 01/10 : ouvert aux scolaires avec inscription auprès du jardin des sciences ( https://www.fetedelascience.fr/atelier-mendeleieva ) 02/10-03/10 : ouvert à tous sans inscription et gratuitement ( https://www.fetedelascience.fr/atelier-mendeleieva ) 08/10 : réservé aux classes du collège Rouget de Lisle Schiltigheim ( https://www.fetedelascience.fr/tableau-des-mendeleieva-1 ) © VPB F&S < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Exposition et inauguration de "La Science taille XX elles" à Grenoble

    Exposition et inauguration de "La Science taille XX elles" à Grenoble 20 novembre 2021 5 novembre 2021 Jardin de Ville, Grenoble Créée en 2018 par le CNRS et Femmes & Sciences, La Science taille XX elles met en lumière des femmes scientifiques contemporaines. Après Toulouse, Lyon et Paris, Grenoble s'empare du projet en 2021. À l’occasion du congrès ESOF (European Open Science Forum) organisé à Toulouse en 2018, le groupe toulousain de Femmes & Sciences a développé, conjointement avec la délégation régionale Occitanie Ouest du CNRS, le projet La Science taille XX elles . Ce projet avait pour objectif de mettre en lumière des femmes scientifiques qui font la science d’aujourd’hui et celles du passé, souvent remarquables mais toujours méconnues. Ainsi, un parcours a été réalisé au cœur de Toulouse à la recherche de savantes dont les noms mériteraient de figurer sur les plaques de rues et douze femmes scientifiques contemporaines exerçant dans des disciplines variées ont été photographiées. Leurs photos ont constitué une exposition qui a été installée dans les vitrines des Galeries Lafayette puis dans différents sites toulousains. Depuis, la partie exposition du concept a été déclinée dans plusieurs régions de France : en 2019, à Lyon, vingt portraits ; en 2020, en Ile de France, seize portraits et maintenant à Grenoble où 21 femmes scientifiques se sont engagées à donner leur temps et leur image afin de susciter l'intérêt et la curiosité de tous. Tous les portraits ont été réalisés par le photographe Vincent Moncorgé , ce qui en assure l’harmonie esthétique. Pour enrichir ces expositions, un catalogue présentant les ambassadrices, leur parcours et leur métier a été édité pour chaque région. L'exposition sera au Jardin de Ville du 20 novembre au 5 décembre. L'inauguration aura lieu le 20 novembre à partir de 15h en présence de tous les partenaires du projet (Femmes & Sciences, le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP – UGA, Inria Grenoble Rhône-Alpes et l’association Parité Science). < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

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