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  • Anne Socquet

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Anne Socquet Géophysicienne "Mère de 3 enfants et scientifique, j’ai pu expérimenter combien il est difficile de concilier vie familiale et vie professionnelle. J’ai eu la chance ces dernières années d’être sollicitée pour prendre des responsabilités, mais ce parcours n’a pas toujours été simple et il a fallu faire preuve de beaucoup de volonté, de travail, de ténacité, et d’organisation. Je sais combien il peut sembler ardu pour les jeunes de s’engager dans une carrière scientifique. Cela est particulièrement vrai pour les jeunes femmes qui doivent souvent dépasser les barrières culturelles et sociales qui leur sont imposées. Le milieu scientifique, permet de faire plusieurs métiers en un, et d’évoluer tout au long de sa carrière. C’est très stimulant !" Anne Socquet est enseignante-chercheuse à l’UGA, physicienne du globe pour l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble, et rattachée au laboratoire ISTerre. Elle est spécialisée en géodésie spatiale appliquée à la tectonique et la sismologie. C’est en juin 2001, au sud du Pérou, qu’Anne Socquet a ressenti pour la première fois une secousse sismique qui a duré plus de 3 minutes. Un tremblement de terre qui a fait s’effondrer les flèches de la cathédrale d’Arequipa et déclenché un petit tsunami. Anne Socquet décide alors de se spécialiser dans l’étude des failles actives, afin de comprendre comment elles sont chargées par les mouvements tectoniques et comment elles rompent lors des séismes. Lors de la décennie qui a suivi, trois tsunamis dévastateurs furent déclenchés en 2004, 2010 et 2011 par des séismes géants en Indonésie, au Chili puis au Japon. Trois événements majeurs qui ont fortement marqué la recherche d’Anne Socquet. Elle étudie les séismes et la façon dont ils se préparent, en utilisant notamment des outils de géodésie satellitaire. Une partie du travail consiste à installer des instruments sur le terrain pour avoir des données in-situ dans les régions actives mais mal couvertes, comme par exemple en Amérique du Sud (Chili, Pérou), Asie (Indonésie, Birmanie), ou Afrique de l’Est. Ces données sont ensuite analysées et modélisées au laboratoire afin de mesurer la déformation de l’écorce terrestre générée avant, pendant et après les séismes, et pour comprendre les mécanismes physiques qui gouvernent ces séismes. En plus de sa mission de recherche, Anne Socquet a une mission d’observation pour suivre et analyser la déformation du sol en France et en Europe. Elle enseigne à l’Université, et assure une mission d’administration de la recherche.

  • Exposition La Science taille XX elles et conférence à l'I2MC

    Exposition La Science taille XX elles et conférence à l'I2MC 7 juin 2022 28 juin 2022 I2MC, Toulouse L'Institut des Maladies Métaboliques et Cardiovasculaires (I2MC) accueille l'exposition La Science taille XX elles et une conférence de Dominique Morello. L'Institut des Maladies Métaboliques et Cardiovasculaires (I2MC) accueille l’exposition La Science taille XX elles du 8 au 29 juin . Cette exposition a été développée conjointement par Femmes & Sciences et la délégation régionale Occitanie Ouest du CNRS. Elle met en lumière douze femmes scientifiques toulousaines de 10 établissements différents, photographiées par Vincent Moncorgé, qui font la science d’aujourd’hui. Le 21 juin, à 11h, Dominique Morello donnera la conférence « Du cliché 51 aux vaccins à ARN, pleins feux sur des femmes scientifiques remarquables » à la salle Hervé Paris de l’I2MC. La conférence est ouverte au public. Une bonne occasion de venir rendre visite à l'institut en utilisant le Teleo. © Vincent Moncorgé < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Normandie | Scolaires | Femmes & Sciences

    Normandie SCOLAIRES Interventions auprès des scolaires Sandrine Morin, physicienne des matériaux, adhérente et membre active de Femmes & Sciences depuis 2009, intervient auprès des jeunes filles dans les lycées et collèges de Normandie pour les sensibiliser aux filières scientifiques et, évidemment, à la physique. Le groupe participe de façon récurrente à l'opération « Industri'Elles » organisée sur Évreux depuis plus de 10 ans par l'UIMM de l'Eure et qui rassemble une centaine de lycéennes sur l'IUT d'Evreux. Le groupe prend aussi part à la « Journée des Amazones », une journée de découvertes des métiers à destination des collégiennes, dans un collège d’Évreux. En savoir plus : UIMM Contact : Sandrine Morin

  • Émilie Capron

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Émilie Capron Paléoclimatologue "En tant que maman qui a construit sa carrière entre la France et l’étranger et qui est partie à plusieurs reprises travailler au Groenland et en Antarctique, je souhaite participer à casser le stéréotype du chercheur vieux, échevelé et isolé dans son laboratoire et inciter les jeunes filles à s’engager dans des carrières scientifiques. Sensibiliser notre société aux problématiques liées au changement climatique actuel et futur est aussi essentiel. En tant que chercheuse en sciences du climat, je considère que cela relève de ma responsabilité de communiquer sur ce sujet avec le public, et la jeune génération en particulier." Émilie Capron est chargée de recherche CNRS à l’Institut des géosciences de l’environnement (IGE - CNRS / IRD / UGA - Grenoble INP-UGA). Elle étudie le climat passé à partir de l’analyse d’échantillons de glace polaire. Il y a dix ans, Émilie Capron était confinée volontaire avec six personnes, pendant soixante jours, dans un camp isolé en Antarctique pour participer au forage de carottes de glace. Depuis, elle réalise la chance qu’elle a de faire ce métier. Il lui permet de vivre des aventures scientifiques et humaines uniques dans un des endroits les plus fascinants sur Terre ! Pourtant, adolescente, peu de choses la prédestinent à cet avenir puisqu’un professeur de physique au lycée lui déconseille vivement de poursuivre dans une filière scientifique. Elle a alors en tête de devenir professeure des écoles. Mais à l’université, son goût pour les études, sa découverte de la paléoclimatologie et sa rencontre avec deux chercheuses passionnantes en sciences du climat, ses futures directrices de thèse, en décide autrement ! Émilie Capron porte un projet de recherche financé par l’initiative “Make Our Planet Great Again”. Le but est de déterminer l’évolution du climat et de la concentration atmosphérique en CO2pendant des périodes du passé, caractérisées par un réchauffement polaire dont l’amplitude est proche de celle projetée pour la fin du siècle. Pour cela, elle analyse des données géochimiques mesurées sur la glace et l’air piégé dans des carottes de glace forées en Antarctique qui sont ensuite reliées à différents paramètres climatiques et environnementaux. Ses données offrent une meilleure compréhension de l’impact d’un climat chaud sur les calottes polaires et représentent des bancs d’essai pour évaluer les modèles du climat utilisés pour effectuer les projections climatiques pour le futur.

  • Adhérer | Femmes & Sciences

    Adhérer Association Femmes & Sciences 7, rue Lamennais, 75008 Paris Contact : secretariat@femmesetsciences.fr Tél : +33 (0)1 47 70 85 35 Pour faire une demande de première adhésion ou un renouvellement, voir ci-dessous. Pour toute autre demande, suivez ce lien . Les tarifs d'adhésion pour un an, ouvrant droit à une réduction d'impôt, sont : - personne physique = 40€ - étudiant·e, demandeur·se d'emploi, situation précaire = 10€ - jeune professionnel·le, recrutement sur un poste académique permanent ou CDI de moins de deux ans = 10€* - personne morale = consulter l'association * Fournir un justificatif attestant de la date de recrutement. Si vous avez des questions, le secrétariat est ouvert le mardi (après-midi), le mercredi et le vendredi. Première adhésion Le CA de l'association F&S examine et valide les candidatures à l'adhésion une fois par mois. Aussi, merci pour votre patience. Vous pouvez bien sûr suivre la vie de l'association sur le site de F&S. Renouvellement Le lien pour payer sa côtisation est disponible dans l'espace membres (bouton de connexion en haut de la page) ou sur demande au secrétariat (secretariat@femmesetsciences.fr ).

  • Monique Lecomte

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Monique Lecomte Technicienne en recherche et développement "La parité a beaucoup évolué depuis 1985, mais la passion n’est pas et n’a jamais été une question de genre. Je voudrais pouvoir démontrer que, quel que soit notre sexe, si on aime ce que l’on fait, on ne peut que réussir. Même si on fait des erreurs, qu’on a des échecs, ceux-ci ne seront qu’un nouvel apprentissage, un nouveau moteur pour mieux rebondir." Monique Lecomte est technicienne supérieure en recherche et développement chez Exagan. Elle travaille sur les semi-conducteurs, notamment en épitaxie et caractérisations associées. La physique-chimie et les mathématiques amusent Monique Lecomte, elle passe donc un bac scientifique. Mais en 1984, les filières techniques s’ouvrent très peu aux filles, elle se dirige alors vers la psychologie. Elle ne suit pas ce cursus très longtemps, car pas suffisamment logique, elle intègre alors Thomson Semiconducteur. Le semiconducteur est une technologie récente, logique, technique qui évolue de façon exponentielle. Ainsi, Monique Lecomte apprend chaque jour quelque chose et il lui faut sans cesse s’adapter. Elle participe au futur et ce n’est pas prêt de s’arrêter, elle a trouvé sa passion. Monique Lecomte commence par la fin : le packaging, puis le front end et finalement le matériau. Après Thomson semiconducteur et ST Microelectronics dans le packaging des mémoires, elle intègre SOITEC avec des matériaux exotiques (le silicium sur quartz, sur germanium, l’InGaN pour les leds, le tantalate de lithium pour les filtres) et des projets comme les LEDS et le photovoltaïque. Maintenant, chez Exagan, elle se consacre à l’épitaxie de nitrure de gallium sur silicium pour les transistors de puissance. Grâce à ses années d’expériences et aux compétences qu’elle a pu acquérir, elle est un peu un couteau suisse et la confiance qu’on lui accorde lui permet d’effectuer un travail diversifié. C’est aussi l’un des avantages de travailler dans une start-up : continuer à toujours apprendre, découvrir, innover. Elle travaille avec des experts qui lui apportent toujours de nouvelles connaissances. Elle n’a encore pas réussi à assouvir sa soif d’apprendre ni celle de participer à l’avenir en anticipant les besoins, en produisant des solutions innovantes.

  • Colloque 2021 : "Ensemble pour porter l’égalité Femmes-Hommes en Sciences"

    Colloque 2021 : "Ensemble pour porter l’égalité Femmes-Hommes en Sciences" 19 novembre 2021 19 novembre 2021 (Hybride) Mairie du 11ème arrondissement, 12 place Léon Blum, 75011 Paris et en ligne Le colloque 2021 de Femmes & Sciences aura lieu les 19 et 20 novembre à Paris. Le colloque 2021 de l'association Femmes & Sciences aura lieu en format hybride, à la Mairie du 11ème arrondissement de Paris et en ligne, les 19 et 20 novembre 2021. Vendredi matin (9h‐13h) : session « avec les partenaires » « Des partenaires engagés à nos côtés pour les femmes en sciences » animée par Valérie Archambault et Claire Dupas Programme Vendredi après‐midi (14h‐18h) : session « avec les enseignant∙es » « Développer l’attractivité des sciences pour les filles au sein des classes » animée par Véronique Pierron‐Bohnes, Marie‐Blanche Mauhourat et Myrtille Gardet Programme Inscription des non‐membres pour l'après-midi du vendredi sur : https://www.eventbrite.fr/e/billets‐developper‐lattractivite‐des‐sciences‐pour‐les‐filles‐dans‐les‐classes‐168108837057 Vendredi en soirée (19h30‐22h) : « Fêtons les 20 ans de Femmes & Sciences ! » Animée par Isabelle Vauglin et Dominique Morello, réservée aux membres ou sur invitation. Samedi (10h30‐16h) : Session « Nous, les membres » Animée par Karima Boudaoud, réservée aux membres Programme Exposition « La Science taille XX Elles » L’exposition « La science taille XXElles » réalisée par l’association Femmes & Sciences, en collaboration avec le CNRS et l’ENS de Lyon, sera exposée sur les grilles de l’Hôtel de Ville de Paris, du 8 au 30 novembre. Vernissage le 8 novembre à 16h. En savoir plus PROGRAMME COMPLET Inscriptions des membres sur : https://www.eventbrite.fr/e/billets-colloque-2021-ensemble-pour-porter-legalite-femmes-hommes-en-sciences-193405088827 ‐ en présentiel (avec pass sanitaire obligatoire) : avec repas (participation de 20€/j demandée) ou sans repas, et par session ‐ en visioconférence : par session © F&S < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Myriam Migliore

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Myriam Migliore Physicienne "Pour moi, la science se conjugue au pluriel. La science mélange les genres, associe les techniques, unifie les langues, fait table rase des origines. La science unit les différences et les extrêmes. Elle fait germer la créativité. On apprend en permanence. La physique du microcosme et du macrocosme nous pousse à ouvrir notre champ de vision et nous réserve encore bien des surprises !" Myriam Migliore est ingénieure de recherche CNRS en développement de dispositifs instrumentaux au Laboratoire de physique subatomique et de cosmologie (LPSC - CNRS / UGA - Grenoble INP-UGA). Elle travaille dans les domaines de la physique de l’infiniment petit et de l’infiniment grand. Très tôt, Myriam côtoie le petit monde de la recherche, et la physique ne la lâchera pas. Comprendre ce qui nous entoure la guidera toujours. Après des études académiques et universitaires menées avec pugnacité, elle travaille pendant un temps dans le domaine de l’aérospatial, la “high-tech” sans poussière. Mais très vite, l’expérimentation lui manque. Travailler au CNRS, au LPSC, lui permet de renouer avec les techniques expérimentales et relier deux domaines où lois et objets défient l’entendement et le sens commun. Elle s’intéresse à la fois à produire des ions mono et multi chargés pour étendre les champs de recherche de la physique du noyau et elle développe des dispositifs opto-électroniques pour un projet de cosmologie très ambitieux dont l’un des challenges est l’énergie noire et la matière noire : deux composantes énigmatiques les plus importantes du modèle cosmologique. Pour chaque projet, Myriam Migliore conçoit un instrument répondant à un besoin spécifique de la communauté scientifique. Chaque instrument est unique et donc innovant. Elle utilise et met en œuvre différentes techniques comme l’ultravide, l’électro-magnétisme, l’optique, la CAO mécanique, la haute tension, les matériaux ou les techniques de détection et de mesures, en les utilisant à leurs extrêmes. Son métier est multidisciplinaire. Elle travaille en équipe, qu’elle peut être amenée à piloter, dans des projets d’envergure nationale, européenne ou internationale. Dans ce cadre privilégié de la recherche collaborative, elle apprécie l’absence de frontières linguistique, religieuse et politique. C’est une aventure technique collective, culturelle mais aussi technologique et géopolitique dans laquelle les scientifiques fouillent la matière et l’Univers tout entier.

  • Être un bon ingénieur ne suffit pas pour être un bon leader !

    Être un bon ingénieur ne suffit pas pour être un bon leader ! 13 mars 2025 IESF Alsace vous propose un après-midi dédié au leadership en ingénierie, articulé autour d’une conférence inspirante et de trois ateliers thématiques. Programme de l'événement 13h00 - 13h45 | Conférence Pourquoi les meilleurs ingénieurs ne font pas toujours les meilleurs leaders ? Cette conférence explorera les défis du leadership dans les métiers techniques et abordera les trois dimensions essentielles d’un leadership équilibré : . Maîtrise technique : expertise et prise de décision . Connexion au corps et aux émotions : gestion du stress et posture de leader . Intelligence relationnelle : communication et influence 🔹 14h00 - 17h45 | Ateliers pratiques Trois ateliers complémentaires sont proposés. Ils se déroulent en parallèle dans trois salles différentes et sont répétés trois fois dans l’après-midi. Chaque participant pourra ainsi assister à trois sessions de son choix. Détail dans document joint Inscription sur https://www.helloasso.com/associations/arisal/evenements/jni-2025-leadership-et-ingenierie @IESF Alsace < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Prix Claudine Hermann - candidatures | Femmes & Sciences

    Prix Thierry Célérier – Femmes & Sciences pour l’encouragement des jeunes femmes de talent en situation de handicap souhaitant développer un projet scientifique ou technologique Prix Claudine Hermann - Femmes & Sciences Candidatures

  • Sylvie Lorthois

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Sylvie Lorthois Bio-mécanicienne "Les réseaux de neurones : mon atlas pour étudier le cerveau" Initialement ingénieure aérospatiale, Sylvie Lorthois se réoriente vers la biomécanique en effectuant une thèse en mécanique des fluides et un DEA de biologie du sang et des vaisseaux. Après un post-doctorat à l’Université de Berkeley, elle est recrutée comme chargée de recherche au CNRS en 2001. Depuis, elle travaille à l’Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT – CNRS ; Université Toulouse III – Paul Sabatier ; Toulouse INP). Le cerveau humain est irrigué par un réseau de minuscules vaisseaux sanguins, tous plus fins que le diamètre d’un cheveu, qui serpentent entre les neurones et dialoguent avec eux. Ce dialogue leur permet de moduler localement le débit sanguin de façon à ce que l’apport en oxygène et nutriments corresponde parfaitement aux besoins des neurones. C’est pourquoi, observer sa circulation sanguine permet de voir le cerveau en train de fonctionner. Cette idée simple est importante : elle est à la base d’un grand nombre de travaux d’imagerie dont l’objectif est de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau. Mais, comme beaucoup d’idées simples, elle pose beaucoup de questions quand on l’examine plus attentivement. Par exemple, pour des besoins similaires, l’augmentation du débit sanguin et des apports énergétiques associés dépend-elle de l’architecture du réseau vasculaire ? Si oui, comment interpréter les différences entre les images acquises dans différentes aires cérébrales, dont l’architecture peut être différente, ou dans des conditions pathologiques, dans lesquelles de nombreux vaisseaux peuvent se boucher puis progressivement disparaître ? Pour répondre à ces questions, Sylvie Lorthois s’appuie sur les résultats des recherches en cours dans les champs de la mécanique des fluides et de la physique des milieux poreux. Elle travaille sur le développement de modèles mathématiques, numériques et expérimentaux permettant de mieux comprendre comment l’architecture d’un réseau microvasculaire complexe contrôle l’écoulement sanguin en son sein, ainsi que les échanges. Outre l’imagerie, qui a constitué son champ d’investigation initial, les applications se sont maintenant élargies et portent aussi sur la compréhension du rôle de la microcirculation sanguine dans certaines maladies neuro-dégénératives, dont la maladie d’Alzheimer. Sur tous ces aspects, elle collabore avec des biologistes, des physiologistes, des spécialistes d’imagerie biologique ou des neurochirurgien.ne.s, en France et à l’étranger.

  • La Science taille XX elles au collège Jean Moulin de Toulouse

    La Science taille XX elles au collège Jean Moulin de Toulouse 4 octobre 2020 Collège Jean Moulin, Toulouse Du 5 au 16 octobre, l’exposition et interventions de F&S au collège Jean Moulin de Toulouse. Dans le cadre d’un atelier scientifique et technique, des intervenantes de F&S rencontreront 60 élèves de 3ème durant plusieurs ateliers autour de l’exposition la Science taille XX elles. Les intervenantes de F&S présenteront leurs métiers et aborderont la question des stéréotypes. Le jeu Mendeleieva sera aussi présenté ainsi que la boîte à métiers de la recherche. Contacts : Contact F&S Communication CNRS Occitanie Ouest < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

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