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  • Mylène Rozelier

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Mylène Rozelier Électrotechnicienne et automaticienne « Dans ce métier, on ne s’ennuie jamais, chaque journée réserve de nouvelles surprises, bonnes ou mauvaises. » Mylène Rozelier est électrotechnicienne et automaticienne à l'Institut Pascal (UMR 6602, UCA/CNRS) et à l’école d’ingénieur·es SIGMA Clermont, membre de Clermont Auvergne INP. Au sein de la plateforme mécanique, elle assure la maintenance des équipements et machines, le soutien technique au corps enseignant et à la communauté étudiante. Connectée à leurs besoins, elle est le « cerveau » des systèmes automatisés ! La méthode essai-erreur, Mylène Rozelier connaît bien, elle l’expérimente depuis la seconde ! Qu’elle obtienne un baccalauréat scientifique, sa mère adorerait, seulement voilà, Mylène Rozelier n’est pas suffisamment attirée par les mathématiques. Un baccalauréat technique correspond mieux à son envie d’exercer un métier manuel. L’électronique et la mécanique ? Ce n’est pas son domaine de prédilection. Elle choisit donc d’intégrer une première électrotechnique où elle découvre l’automatisme. C’est la révélation. Suit un BTS domotique : nouvelle erreur, elle ne s’y plait guère. Puis un BTS technico-commercial, troisième déconvenue : ce métier n’est absolument pas fait pour elle. Un peu dégoûtée par les études, elle décide de faire une pause… salutaire. À vingt-cinq ans, elle trouve enfin sa voie : la maintenance industrielle. La jeune femme décide de reprendre des études en alternance. Le domaine est exclusivement masculin ? Elle n’en a cure, ce n’est pas tous les jours qu’on retrouve son premier amour, l’automatisme ! Et cette fois, pas question de le quitter. On pourrait comparer un système automatisé au corps humain : les actionneurs sont les membres, les capteurs représentent les sens, le courant électrique circule comme le sang et l’automate, c’est le cerveau ! Le rôle de Mylène Rozelier dans tout ça ? Connecter l’automate à chaque capteur et actionneur pour qu’ils communiquent, puis coordonner et optimiser leurs mouvements dans le programme. Un bon équilibre en somme, entre réflexion et manipulation, exactement ce qui plaît à Mylène Rozelier. Si on ajoute un écran au système, on élargit la connexion : la machine communique avec l’être humain. La programmation doit alors tenir compte de cette interaction, ce qui est un vrai casse-tête car les réactions humaines sont imprévisibles ! « Ce que je préfère, c’est le cheminement et la réflexion pour prendre en compte tous les aléas du système et anticiper les comportements des utilisateurs. » Lorsqu’un projet arrive à son terme, la phase de vérifications et de tests débute et se solde par une satisfaction et un peu de fierté personnelle. Ce type de projets requiert une grande autonomie et de la patience. Le monde des machines est plaisant, mais rien ne remplace le contact humain. Le service, entièrement masculin, au sein duquel Mylène Rozelier est parfaitement intégrée, gravite autour d’elle. Sa place est centrale : elle est régulièrement appelée à l’aide pour réparer ou dépanner les machines de la plateforme. L’électrotechnicienne collabore aussi avec ses collègues pour la gestion des stocks, l’organisation et la vie de l’atelier. Référente technique sur plusieurs projets d’étudiantes et d’étudiants, elle aime transmettre ses connaissances et savoir-faire aux futur·es ingénieur·es. Toujours disponible et à l’écoute de l’ensemble du personnel, elle n’hésite pas à mettre ses projets de recherche de côté pour le bon déroulement des travaux pratiques. « Dans ce métier, on ne s’ennuie jamais, chaque journée réserve de nouvelles surprises, bonnes ou mauvaises. Parfois je m’apprête à commencer une tâche, quand un·e collègue ou un·e professeur·e vient m’appeler au secours, sa machine étant en défaut. Je dois donc intervenir au pied levé et mon projet n’est alors que partie remise ! »

  • Homaira Nawabi

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Homaira Nawabi Neurobiologiste "La science est un domaine fantastique où il est possible d’exprimer sa curiosité et sa créativité sans aucune limite. Plus on découvre les mécanismes du vivant, plus on se rend compte de tout ce qu’on ne sait pas. C’est une perspective tellement grisante et énergisante. Il est crucial de montrer que les femmes sont tout aussi capables que les hommes, surtout en sciences. Les barrières entre elles et leurs rêves sont mises en place en premier lieu par elles-mêmes. Il devient urgent de montrer aux filles, et ce, dès le plus jeune âge, qu’elles ont leur place dans le monde et en sciences en particulier. Peu importe nos choix de carrière et de vie, c’est le premier pas qui compte : il faut croire en soi et se lancer !" Homaira Nawabi est chargée de recherche Inserm à l’Institut des neurosciences de Grenoble (GIN - Inserm / UGA). L’équipe de recherche qu’elle dirige s’intéresse à la réparation du système nerveux. Petite, Homaira Nawabi se rend souvent au cabinet médical de sa mère, un lieu magique pour ses yeux d’enfant. Il y a un microscope pour analyser les échantillons des couples qui viennent consulter pour des questions de fertilité. À l’œil nu, les lames ne sont que de vulgaires bouts de verre. Mais sous les oculaires apparaît un autre monde ! C’est à ce moment précis qu’elle se rend compte que le monde est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Elle est très intriguée par le cerveau et le système nerveux, le chef d’orchestre de notre corps qui nous permet d’interagir, de comprendre et d’analyser le monde qui nous entoure. Toute atteinte du système nerveux, même la plus bénigne, peut avoir des conséquences lourdes. Alors elle décide de le comprendre pour pouvoir un jour le réparer. Le système nerveux central n’est pas capable de se réparer. De ce fait, toute lésion chronique (comme les maladies neurodégénératives) ou traumatique (comme les lésions de la moelle) entraîne des handicaps moteurs, cognitifs et/ou sensoriels permanents. Homaira Nawabi utilise l’œil pour comprendre le cerveau. Son équipe de recherche montre ainsi que, suite à une manipulation moléculaire des neurones, les axones peuvent repousser sur de longues distances, mais sont alors perdus et n’arrivent pas à atteindre leurs cibles correctes et ainsi compromettent tout espoir de récupération fonctionnelle. Son équipe travaille donc pour mettre en place des stratégies de régénération contrôlées pour permettre la reformation de circuits neuronaux fonctionnels.

  • Femmes de Science dans l'histoire

    Femmes de Science dans l'histoire 18 mai 2022 La Tréso, Malakoff Dans le cadre du cycle de conférences "Femmes de Science", à la Tréso, à Malakoff, le jeudi 19 Mai, Sylvaine Turck-Chièze parlera du livret F&S des femmes remarquables. Si ce n’est qu’en 1924 qu’une loi permit aux filles d’accéder au baccalauréat, avant cette date, l’université française leur est ouverte, mais les femmes y font figures de pionnières, à l’instar de Marie Curie venue étudier en France dès 1891. Pendant longtemps, les femmes scientifiques ont été considérées comme des assistantes, plutôt que de réelles collaboratrices ou des découvreuses. Lors de cette conférence, plusieurs femmes françaises seront mises à l’honneur pour leurs découvertes et retombées : Marie Curie et sa fille Irène Joliot-Curie dans les domaines de la physique et de la chimie, ou Françoise Barré-Sinoussi et Emmanuelle Charpentier en médecine, seules femmes scientifiques françaises honorées par le prix Nobel depuis 1901. D’autres femmes ont été spoliées de leur découverte, comme Marthe Gautier dont le rôle dans la découverte de la trisomie 21 a été occulté. D'autres femmes seront évoquées, Sophie Germain, Jeanne Villepreux Power, Caroline Aigle ... © Ville de Malakoff < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Journées « Sciences, un métier de femmes » en région Grand Est

    Journées « Sciences, un métier de femmes » en région Grand Est 3 mars 2025 Région Grand Est Le succès de la journée "Sciences, un métier de femmes" du 15 mars 2024 a motivé les adhérentes de F&S Grand Est à élargir leur champ d'action. En 2025, trois nouveaux évènements seront organisés par Femmes & Sciences Grand-Est, en partenariat avec IESF-ARISAL et les universités locales : l'Université de Lorraine , l'Université de Strasbourg ou l’Université de Haute Alsace . Ainsi, plus de 540 lycéennes issues de 34 lycées du Grand Est participeront à une journée « Sciences, un métier de femmes » : le 27 février à Nancy (lycées lorrains - à la FST de Vandoeuvre-lès-Nancy - piloté par Emmanuelle Bignon, F&S, CR CNRS au LPCT), le 3 mars à Strasbourg (lycées du Bas-Rhin - à l'UFR de Maths/Info sur le campus de l'Esplanade - piloté par Véronique Pierron-Bohnes, F&S, DR CNRS émérite à l'IPCMS), le 4 mars à Mulhouse (lycées du Haut-Rhin - à la FST de l'UHA sur le campus de l'Illberg - piloté par Nicole Bomo, F&S, IESF-ARISAL, ingénieure retraitée d'EdF). En savoir plus sur le programme de ces journées et s'inscrire : ici En savoir plus sur : la journée "Sciences, un métier de femmes" du 15 mars 2024 © Lauraline Feltz Illustratrice, autoentrepreneuse < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Roxane Jouseau

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Roxane Jouseau Doctorante en informatique « Dans l’IA, les données c’est un peu comme les fondations d’un bâtiment. » Roxane Jouseau est doctorante en informatique, au sein du LIMOS (Laboratoire d’Informatique, de Modélisation et d’Optimisation des Systèmes, UMR 6158, CNRS/UCA/ENSMSE) et de l’entreprise Agaetis. Pour cette artiste dans l’âme, l’informatique est le moyen idéal d’allier rigueur scientifique et créativité. Avec ses cheveux multicolores et ses vêtements bricolés maison, Roxane Jouseau ne colle pas vraiment au stéréotype de l’informaticien·ne. Il faut dire que depuis le collège, la jeune femme hésite entre l’art et les sciences. Bonne élève, elle est orientée vers un baccalauréat scientifique puis une classe préparatoire mathématiques-physique. Pas question pour autant d’abandonner sa fibre artistique. Heureusement, en classe préparatoire, elle découvre une matière scientifique qui allie ses deux amours : l’informatique. Elle choisit alors de poursuivre ses études en intégrant l’ISIMA (Institut Supérieur d’Informatique, de Modélisation et de leurs Applications), membre de Clermont Auvergne INP, une école d’ingénieur·es qui lui offre l’opportunité de partir à Tokyo pour un stage de six mois au NII (National Institute of Informatics). Elle y découvre le monde de la recherche, qu’elle ne quittera plus. Soucieuse de ne pas s’éloigner du monde réel, Roxane Jouseau choisit de réaliser une thèse en entreprise dans le cadre du programme Cifre (Convention industrielle de formation par la recherche). Son sujet d’étude porte sur l’évaluation de la qualité des données utilisées pour entraîner les algorithmes d’intelligence artificielle (IA). « Dans l’IA, les données c’est un peu comme les fondations d’un bâtiment », explique la doctorante. « On ne les voit pas quand le bâtiment est construit mais si elles ne sont pas de bonne qualité, le bâtiment est instable, il peut pencher, voire s’écrouler ! » Entraînée à partir de données de qualité insuffisante, une IA peut ainsi rencontrer des problèmes, souvent invisibles au premier abord mais qui la rendent peu fiable, au point d’entraver son fonctionnement. Ainsi une IA entrainée à reconnaitre des photos de chiens et de chats peut échouer à identifier un chat noir sur un cliché, si les images utilisées pour cet apprentissage ne contenaient pas ou très peu de félins au pelage sombre. Le défi de Roxane Jouseau consiste donc à développer un outil capable de mesurer la qualité de ces données et de décider si cette dernière est suffisante pour entraîner des algorithmes d’IA. Un travail qui convient bien à sa personnalité : il allie la rigueur de la méthode scientifique à la créativité nécessaire à l’exploration de nouvelles approches et solutions. Même en dernière année de doctorat, une période réputée très éprouvante, la jeune femme continue à consacrer du temps à ses passions, notamment la couture. Le manteau qu’elle porte sur la photo ? C’est elle qui l’a créé. Elle ne sait pas encore si elle fera de l’informatique ou même des sciences toute sa vie. Mais ce qu’elle sait à coup sûr c’est que, quoi qu’elle fasse, elle le fera avec art.

  • Intelligence collective & mixité : une après-midi de réflexion

    Intelligence collective & mixité : une après-midi de réflexion 5 juillet 2016 Institut FEMTO-ST, Besançon En juillet 2016, un colloque a été organisé autour du thème "Intelligence collective & mixité". En juillet 2016, un colloque a été organisé autour du thème “Intelligence collective & mixité” afin de démontrer que la participation accrue des femmes dans les domaines scientifiques est non seulement un sujet d’équité mais également un enjeu pour améliorer les performances des équipes et tout particulièrement dans la recherche publique et l’enseignement supérieur. © Maryse Graner < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Emmanuelle Rial-Sebbag

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Emmanuelle Rial-Sebbag Juriste "La science en conscience" Emmanuelle Rial-Sebbag, juriste, est directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) en bioéthique et droit de la santé. Elle est enseignante associée en droit de la santé et en bioéthique à la Faculté de médecine de Toulouse (Purpan). Emmanuelle Rial-Sebbag est impliquée dans plusieurs projets de recherche nationaux et internationaux. Menés dans une démarche interdisciplinaire conjuguant les sciences humaines et sociales et les sciences biomédicales, fondée sur une dimension bioéthique, ses projets concernent de nombreux sujets aux enjeux sociétaux considérables : les biobanques, les thérapies innovantes, la recherche biomédicale sur les humains, les tests génétiques et la production et l’usage des données de santé. Elle est responsable de plusieurs cours et conférences portant sur les aspects éthiques et juridiques de la recherche biomédicale et des droits des patient.e.s. Elle a notamment coordonné un projet européen relatif aux enjeux sociétaux soulevés par l’utilisation des cellules souches dans le contexte de la médecine régénératrice. Actuellement, Emmanuelle Rial-Sebbag travaille à Toulouse dans l’unité Épidémiologie et analyse de la santé publique : les risques, les maladies chroniques et les handicaps, dans laquelle elle est responsable de l’équipe de recherche pluridisciplinaire Trajectoires d’innovations en santé : enjeux bioéthiques et impact en santé publique. Elle est aussi co-responsable de la plateforme sociétale Éthique et biosciences qui s’attache à développer le dialogue entre différents publics sur les aspects éthiques, légaux et sociétaux associés à la génomique et aux biotechnologies. Elle travaille au développement de la gouvernance des innovations en santé. Ses travaux visent à déterminer le rôle et la place de la loi parmi les différentes normes (éthiques, professionnelles, etc.) encadrant les innovations biomédicales et ce à l’échelle nationale, européenne et internationale.

  • "Les stéréotypes : des biais cognitifs puissants" par Isabelle Régner

    "Les stéréotypes : des biais cognitifs puissants" par Isabelle Régner 14 février 2025 Montpellier Conférence par Isabelle Régner à l'occasion de la journée internationale des femmes et des filles de sciences à Montpellier. Les stéréotypes de genre : nous les connaissons bien ! Mais mesurons-nous vraiment leurs impacts sur nos performances académiques et notre perception des capacités professionnelles de nos pairs ? Rejoignez-nous pour une conférence passionnante d'Isabelle Régner sur les stéréotypes et biais de genre dans l’enseignement supérieur et la recherche, pour explorer ces questions actuelles à l'occasion de la journée internationale des femmes et des filles de science ! Conference "Les stéréotypes : des biais cognitifs puissants” Par Isabelle Régner, Professeure au Centre de Recherche en Psychologie et Neurosciences, Aix-Marseille Université Quand ? 14/02/2025 à 12h30 Où ? Amphi 5.04 (bât. 5), Campus Triolet, Université de Montpellier La conférence sera suivie d'un thé/café vers 13h45. Inscription souhaitée pour éviter le gaspillage. Merci d'apporter votre tasse pour réduire les déchets. Inscription: https://forms.office.com/e/5abV7p4XEs Coorganisé par : Laboratoire Charles Coulomb UMR5221, École Polytech Montpellier, Faculté des sciences - Université de Montpellier, et Femmes & Sciences < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Laëtitia Rapenne

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Laëtitia Rapenne Ingénieure en caractérisation des matériaux "J’ai toujours été attirée par les sciences mais je n’imaginais pas devenir responsable d’un puissant microscope électronique pour regarder les atomes. Je me souviens encore de mon premier contact en travaux pratiques avec un MET devant mon enseignant à l’université sans imaginer que j’en ferais mon métier. L’affiche de l’appel à participation du CNRS à “La Science taille XX elles” a attiré mon regard et m’a donné envie de concourir. Aujourd’hui, je trouve mon métier passionnant et valorisant et j’arrive à le concilier avec ma vie de maman de trois enfants. En relatant mon parcours professionnel, j’espère montrer aux jeunes collégiennes et lycéennes qu’il est possible de se projeter et de s’épanouir dans un univers scientifique très diversifié." Laëtitia Rapenne est ingénieure de recherche CNRS au Laboratoire des matériaux et du génie physique (LMGP - CNRS / Grenoble INP-UGA). Elle travaille dans le domaine de la synthèse de nouveaux matériaux et de leurs caractérisations structurales jusqu’au niveau de l’échelle atomique. Titulaire d’un DESS (équivalent au Master Pro actuel) en techniques d’élaboration et de caractérisation des matériaux, Laëtitia Rapenne se consacre d’abord à l’optimisation de nouveaux matériaux sous forme de couches minces d’oxydes déposées sur différents substrats pour des applications en microélectronique. Grâce à la formation continue du CNRS, elle acquiert ensuite de nouvelles compétences qui lui permettent de prendre la responsabilité du microscope électronique à transmission (MET) dans son laboratoire. Les activités principales de Laëtitia Rapenne concernent la caractérisation structurale de différents types de matériaux pour des applications très variées dans le domaine des énergies renouvelables (cellules solaires), des mémoires résistives et de la santé (matériaux transparents conducteurs, biomatériaux). Afin de réaliser des images à des grandissements supérieurs à un million de ces matériaux grâce au microscope MET, elle doit amincir certains échantillons par polissage mécanique ou par faisceaux d’ions. Ses observations permettent de comprendre et d’optimiser les propriétés physiques, électriques et optoélectroniques des matériaux, en vue d’applications potentielles. Elle travaille en collaboration avec les chercheurs, ingénieurs et techniciens du laboratoire dans le cadre de nombreux projets scientifiques et participe à des congrès nationaux et internationaux.

  • Inauguration du Cerebrµm.lcb : la plasticité cérébrale c’est fantastique !

    Inauguration du Cerebrµm.lcb : la plasticité cérébrale c’est fantastique ! 5 octobre 2021 Auditorium Marthe Condat, Université Toulouse III, Paul Sabatier Le Cerebrµm.lcb : Identifier les stéréotypes et promouvoir la science grâce à l'exploration de la plasticité cérébrale. La manifestation portée par l'association Les Chemins Buissonniers , club CNRS, articulée autour de la diffusion inaugurale de l’animation Le Cerebrµm.lcb invite le public, via une conférence, des débats et une réflexion croisée à réfléchir sur la menace que représentent les stéréotypes de genre sur les parcours individuels. Au programme : - Diffusion de l’animation Le Cerebrµm.lcb, animée par une médiatrice scientifique. Cette animation vidéo permet au public et notamment aux jeunes, de découvrir ce qu'est la plasticité cérébrale, l'impact de l'environnement et des expériences sur la construction et le fonctionnement du cerveau en suivant les parcours de Lila et Nino depuis leurs naissances. - Conférence sur le thème "Genre, cerveau et plasticité cérébrale" par Catherine Vidal. - Table ronde pour échanger et réfléchir sur cette question : Comment la pratique artistique et scientifique permet de travailler la mixité dans la société ? Pass sanitaire et inscription obligatoire (se présenter à 13h ) https://www.weezevent.com/animation-inaugural-du-cerebrumlcb © Les Chemins Buissonniers < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • 'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' - "les sciences pour toutes et tous"

    'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' - "les sciences pour toutes et tous" 22 janvier 2021 Strasbourg L'exposition Femmes & Sciences 'Femmes scientifiques...' présentée le 22 janvier à Strasbourg (cordée de la réussite "les sciences pour toutes et tous") L'exposition Femmes & Sciences 'Femmes scientifiques d'Alsace et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui' sera présentée le 22 janvier lors du lancement de la cordée de la réussite "les sciences pour toutes et tous" du Jardin des Sciences au collège Sophie Germain de Strasbourg. Deux classes vont participer à une animation avec visite de l'exposition et présentation de scientifiques. Femmes & Sciences et Jardin des sciences Strasbourg < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Rencontre avec Adèle B. Combes à Montpellier

    Rencontre avec Adèle B. Combes à Montpellier 7 novembre 2022 Amphi 2 du bâtiment 36, campus Triolet, Université de Montpellier et YouTube Conférence / Table Ronde : Parlons du doctorat avec Adèle Combes ! Conditions de travail, santé mentale des jeunes chercheurs : quels constats et quelles solutions ? Les laboratoires de recherche en écologie et environnement du DIPEE Occitanie-Est , avec le soutien de la Faculté des Sciences de l’Université de Montpellier, organisent une rencontre avec Adèle B. Combes, docteure en neurobiologie, initiatrice du projet « Vie de thèse » et autrice du livre Comment l'université broie les jeunes chercheurs ? Précarité, harcèlement, loi du silence (Autrement, 2022). Au travers de son enquête réalisée auprès d’un panel de doctorant.e.s de divers établissements et de disciplines variées, Adèle B. Combes a contribué à libérer la parole sur un sujet encore trop peu abordé : le mal-être parmi les jeunes chercheur·es et les abus dont ils sont parfois victimes. La conférence Adèle B. Combes durera 30 minutes et sera suivie d’une table ronde de 45 minutes pour discuter des solutions concrètes pour améliorer le bien-être et la santé mentale des jeunes chercheur·es. Plusieurs personnes se joindront à cette table ronde : Mme May Morris, directrice de recherches CNRS, iBMM Pôle Chimie Balard Recherche, référente Femmes & Sciences Occitanie Est, membre du CA Femmes & Sciences et coordinatrice du programme de mentorat Femmes & Sciences Mme Mathilde Maillard, docteure en sciences des matériaux, fondatrice de Bien Dans Ma Thèse M. Pierre-OIivier Antoine, professeur Université de Montpellier, directeur adjoint laboratoire ISEM La rencontre sera animée par M. Guillaume Bagnolini, journaliste scientifique de Cosciences . RV le lundi 7 novembre à 17h. Amphi 2 du bâtiment 36, campus Triolet, Université de Montpellier Sur YouTube à https://youtu.be/MeV-S1YwX9I (la rencontre est disponible en replay suivant ce même lien) < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

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