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519 résultats

  • "Sciences et innovations : où sont les femmes"

    "Sciences et innovations : où sont les femmes" 8 mars 2022 Bordeaux Petit déjeuner débat organisé par Catherine Fabre, Députée LaREM, Bordeaux Femmes & Sciences est intervenue mardi 8 mars à l'occasion d'un petit déjeuner organisé par la députée Catherine Fabre autour des enjeux des femmes et des sciences. Des représentant·es des universités bordelaises, du rectorat, d'Unitec, de pole emploi et d'entreprises privées ont participé à la réflexion. Après un rappel de la situation en France par Femmes & Sciences, les échanges ont porté sur la recherche de solutions, des solutions imprégnées de l'expertise terrain des participant·es. Les propositions rédigées par Femmes & Sciences, femmes et mathématiques , Femmes ingénieures ont permis d'alimenter la réflexion. Ces partages, riches et conviviaux ont aussi été l'occasion d'envisager des partenariats entre les différents participants. © https://fr.freepik.com/photos/nourriture - photo créé par 8photo - fr.freepik.com < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Parcours professionnels de femmes médecins et chercheures

    Parcours professionnels de femmes médecins et chercheures 8 mars 2023 Amphi B, UFR Sciences et Techniques, Brest Une conférence : témoignages de femmes scientifiques À l'initiative de l'association étudiante ABEB, les étudiantes et étudiants sont invité·es à venir découvrir les parcours de Cécile Voisset et Gaëlle Friocourt, chercheuses à l’Inserm, membres de Femmes & Sciences, et d’Irina Viakhireva-Dovganyuk, médecin au CHU de Brest. Ces femmes scientifiques et médecins témoigneront sur leur parcours universitaire, la place des femmes en sciences et les difficultés rencontrées. < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Clémentine Prieur

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Clémentine Prieur Mathématicienne "Je n’ai jamais douté que les femmes aient un rôle à jouer en Science. Il faut dire qu’avec une grand-mère agrégée en physique et une mère enseignante-chercheuse en mathématiques, je n’avais aucune raison d’en douter. Mais tout le monde n’a pas cette chance. Au contact de mes enfants et de leurs amis, je ressens un manque de confiance plus important chez les jeunes femmes lors du choix de leur orientation, notamment vers les filières scientifiques. C’est pourquoi j’ai envie de trouver du temps dans ma vie très active pour témoigner que la Science est un domaine dans lequel les femmes tout autant que les hommes peuvent exercer leur créativité." Clémentine Prieur est professeure au Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK - CNRS / Inria / UGA - Grenoble INP-UGA). Spécialisée dans les probabilités et la statistique, elle oriente ses recherches sur les données et modèles numériques. Un Master, l’agrégation et une thèse de maths en poche, Clémentine Prieur obtient un premier poste d’enseignante-chercheuse à Toulouse. Six années et trois enfants plus tard, elle décroche à 32 ans un poste de professeure à l’Université Grenoble Alpes. Les maths ont toujours été un coup de cœur. Déjà en 6ème, dans la rubrique “que voulez-vous faire plus tard ?”, elle écrit “maître de conférences en maths ”. C’est le métier de ses parents. Elle aime aller dans leur bureau, sentir l’odeur de la craie ou scruter les équations au tableau. Plus tard, elle veut prendre ses distances par rapport à ses parents algébristes et à son fiancé qui s’oriente vers l’analyse et le contrôle. “Alea jacta est - les dés sont jetés”, pour elle, ce sera probabilités et statistique ! Au début, elle est attirée par le côté abstrait des maths. Elle a plaisir à démontrer des théorèmes. Puis elle découvre qu’on peut aussi utiliser les maths pour extraire de l’information des données. Clémentine Prieur apprécie la diversité de son métier. Elle peut passer du temps seule devant un calcul ou à rédiger un article de recherche ou bien enseigner à des étudiants. Elle leur transmet un savoir et les sensibilise aux enjeux de la statistique dans de nombreux domaines comme la climatologie ou la santé. Elle parcourt également le globe pour présenter ses travaux de recherche et rencontrer des chercheurs de différents pays ou continents. Elle trouve cela très riche du point de vue de la science, mais aussi culturellement. Et puis, elle aime l’encadrement doctoral : accompagner un jeune de son stage de Master à la fin de sa thèse, le voir se transformer progressivement d’étudiant en chercheur.

  • Rencontre avec des élèves de 3ème à la maison de région d'Albi

    Rencontre avec des élèves de 3ème à la maison de région d'Albi © F&S Des adhérentes de Femmes & Sciences, en partenariat avec l'IPEP, sont allées rencontrer des élèves à Albi. Dans le cadre de l'AAP Info métiers, proposé par la Région Occitanie, l'association Femmes & Sciences et l'IPEP organisent des rencontres avec des élèves dans des maisons d'orientation et des maison de région. Le 20 avril 2022, Amandine Mayima et Sophie Bel Vialar sont allées rencontrer des élèves de 3ème du collège Renée Taillefer de Gaillac. Au programme : présentation de parcours, quizz, évocation de l'effet Matilda, et ateliers autour des stéréotypes de genre dans les métiers et les publicités. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Femmes de Science dans l'histoire

    Femmes de Science dans l'histoire 18 mai 2022 La Tréso, Malakoff Dans le cadre du cycle de conférences "Femmes de Science", à la Tréso, à Malakoff, le jeudi 19 Mai, Sylvaine Turck-Chièze parlera du livret F&S des femmes remarquables. Si ce n’est qu’en 1924 qu’une loi permit aux filles d’accéder au baccalauréat, avant cette date, l’université française leur est ouverte, mais les femmes y font figures de pionnières, à l’instar de Marie Curie venue étudier en France dès 1891. Pendant longtemps, les femmes scientifiques ont été considérées comme des assistantes, plutôt que de réelles collaboratrices ou des découvreuses. Lors de cette conférence, plusieurs femmes françaises seront mises à l’honneur pour leurs découvertes et retombées : Marie Curie et sa fille Irène Joliot-Curie dans les domaines de la physique et de la chimie, ou Françoise Barré-Sinoussi et Emmanuelle Charpentier en médecine, seules femmes scientifiques françaises honorées par le prix Nobel depuis 1901. D’autres femmes ont été spoliées de leur découverte, comme Marthe Gautier dont le rôle dans la découverte de la trisomie 21 a été occulté. D'autres femmes seront évoquées, Sophie Germain, Jeanne Villepreux Power, Caroline Aigle ... © Ville de Malakoff < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Table ronde : Les femmes face au changement climatique

    Table ronde : Les femmes face au changement climatique 8 mars 2023 Le Kiasma, Castelnau-le-Lez La ville de Castelnau-le-Lez organise des évènements autour de la thématique des Femmes et du Changement Climatique lors de la Journée internationale des droits des femmes. Pour la journée internationale des droits des femmes le 8 mars 2023 , la ville de Castelnau-le-Lez organise des évènements autour de la thématique des Femmes et du Changement Climatique . Flora Gouzergh, doctorante CNRS, et Anne Charmantier, DR CNRS, participeront à 14h30 à une table ronde sur ce thème à l'espace culturel Le Kiasma, et à 16h au vernissage d’une exposition de photos en partenariat avec l’association Femmes & Sciences et le projet Homeward Bound. Lien vers le programme Lien vers la page de la mairie de Castelnau-le-Lez © Castelnau-le-Lez < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • La Science taille XX elles à la Mairie de Paris - Exposition reportée

    La Science taille XX elles à la Mairie de Paris - Exposition reportée L'inauguration de l'exposition La Science taille XX elles, qui devait avoir lieu le 11 février 2021 en présence de la Maire de Paris, est reportée en raison de la situation sanitaire. L’exposition La Science taille XX elles , installée du 3 au 28 février 2021 sur les grilles de l’Hôtel de Ville de Paris, sera inaugurée le 11 février , à l'occasion de la journée mondiale UNESCO des femmes et des filles en sciences. La Maire de Paris, Anne Hidalgo, nous fera l'honneur de sa présence aux côtés de Nadine Halberstadt, présidente de Femmes & Sciences et d’Antoine Petit, président du CNRS. Plutôt que de maintenir l'exposition et son inauguration dans des conditions dégradées, nous avons préféré la reporter à une date ultérieure en 2021, à une période qui nous permettra de valoriser au mieux cette exposition. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Nalini Anantharaman : une mathématicienne au parcours époustouflant !

    Nalini Anantharaman : une mathématicienne au parcours époustouflant ! © P. Imbert, Collège de France Nalini Anantharaman est nommée, en octobre 2022, professeure du collège de France, titulaire de la chaire de géométrie spectrale. Maîtresse de conférence à Normale Sup Lyon, chargée de recherche et professeure sur une chaire « Hadamard » de l’Ecole Polytechnique, invitée à Berkeley, Princeton, professeure à l’IRMA et à l’USIAS (Strasbourg), elle est nommée, en octobre 2022, professeure du collège de France, titulaire de la chaire de géométrie spectrale. Née en 1976, elle a étudié les mathématiques à l’Ecole Normale Supérieure (Paris), et a obtenu un doctorat à l’Université Paris 6 sous la direction de F. Ledrappier, intitulée « Géodésiques fermées d'une surface sous contraintes homologiques » . Elle a reçu une dizaine de prix et distinctions, dont le prix Henri-Poincaré (2012), la médaille d’argent du CNRS (2013), the Infosys Prize in Mathematics (2019), the Frederic Esser Nemmers Prize in Mathematics (2020). Nalini fait partie de l’exposition « Femmes scientifiques d’Alsace et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd‘hui » réalisée par la section Alsace de Femmes & Sciences en collaboration avec le Jardin des Sciences de l’Unistra ( https://www.femmesetsciences.fr/alsace-expositions ). Son CV complet, la liste de ses distinctions et son cours introductif « Histoires de spectres » sont disponibles sur le site du collège de France : www.college-de-france.fr/personne/nalini-anantharaman < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Le Programme de Mentorat Femmes & Sciences dans Nature Biotechnology

    Le Programme de Mentorat Femmes & Sciences dans Nature Biotechnology Pour orienter et soutenir des doctorantes, l’association Femmes & Sciences propose un programme de mentorat, dont la description a fait l’objet d’un article. Si à un âge jeune de nombreuses femmes s'engagent dans des études scientifiques, elles ont tendance, avec le temps, à remettre en question leur avenir professionnel. De nombreuses femmes quittent ainsi leur domaine après le doctorat pour poursuivre des objectifs personnels ou changer de voie. Pour répondre au besoin d'encouragement, de mise en réseau et d'orientation des doctorantes, Femmes & Sciences propose un programme de mentorat qui leur offre un environnement bienveillant pour discuter de leur parcours professionnel et apprendre à valoriser leurs compétences grâce à un réseau stimulant de mentor·es expérimenté·es. Ce programme, à l'interface entre les écoles doctorales et les laboratoires de recherche, s'appuie sur trois actions : des rencontres individuelles mentor·e-mentoré·e, des ateliers et des réunions collectives. Initié en 2015 à Montpellier puis à Toulouse et Paris-Saclay, il est désormais établi à Nice et devrait s’étendre à d'autres villes françaises. Lien vers l'article < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Accueil des femmes afghanes

    Accueil des femmes afghanes © AdobeStock Des femmes afghanes universitaires, diplômées ou étudiantes, sont actuellement en grand danger. Nous appelons à les accueillir en France ou en Europe. (Mise à jour le 18/12/2021) A partir du 1er janvier 2022 la plateforme de l'association Femmes & Sciences pour la défense des femmes afghanes scientifiques change d'objectifs : elle sera dédiée à l'accueil des femmes afghanes scientifiques exilées arrivant en France. Contact : soutenir.afghanes@femmesetsciences.fr Ces femmes afghanes représentent tout ce que le régime actuel souhaite éliminer : ce sont des femmes qui travaillent et qui contribuent à l’éducation, à la recherche et à la vie économique. Ce sont des modèles pour les générations d’Afghanes à venir. Nos collègues afghanes sont en danger de mort. Nous sommes à la 25è heure, mais nous devons les aider. Elles sont en grave danger, elles ne peuvent plus travailler sous le régime actuel et elles sont physiquement menacées. C’est notre devoir de faire tout notre possible pour protéger celles qui représentent nos valeurs. Chacune, dans nos universités, nos écoles et nos entreprises, nous sommes prêtes à identifier des départements d’accueil, à les accompagner pour bénéficier du programme PAUSE ou d’autres programmes, à les aider à retrouver du travail, à persuader nos présidentes ou présidents, nos directions et nos collègues de se battre pour les accueillir le mieux possible et leur offrir un environnement de travail qui leur permette de poursuivre leurs études pour les étudiantes, leurs recherches et leurs enseignements pour les universitaires, de poursuivre leur carrière professionnelle pour les diplômées. Nous appelons toutes les personnes qui connaissent des étudiantes, des diplômées et des universitaires afghanes à entrer en contact avec nous et à nous fournir les informations qui nous aident à les identifier, à demander leur exfiltration et à préparer leur accueil dans nos universités ou nos entreprises. Nous appelons toutes et tous les collègues qui souhaitent nous aider et contribuer à les sauver à nous indiquer quels départements, quelles universités ou quelles entreprises sont prêtes à accueillir ces étudiantes, ces professeures ou ces diplômées. Nous appelons le gouvernement et les services de l’État à nous aider à faire sortir ces collègues d’Afghanistan et à leur accorder l’asile en France. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Stéphanie Urdician, Nathalie Vincent-Munnia et Catherine Milkovitch-Rioux

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Stéphanie Urdician, Nathalie Vincent-Munnia et Catherine Milkovitch-Rioux Enseignantes-chercheuses en littératures et recherche-création « La performance artistique offre un dispositif de construction et de diffusion de la connaissance. » Stéphanie Urdician, Nathalie Vincent‑Munnia et Catherine Milkovitch-Rioux sont enseignantes-chercheuses à l’Université Clermont Auvergne, respectivement en théâtre hispanique contemporain, poésie française et littérature francophone contemporaine. Fondatrices de l’Atelier Recherche-Création (ARC) du Centre de Recherches sur les Littératures et la Sociopoétique (UR 4280, UCA), elles s’essaient à une science des arts, pour une poésie du savoir où les pratiques artistiques sont partie prenante de la construction des connaissances. Toutes trois ont eu, très jeunes, le goût des livres, des lettres, des arts et du spectacle vivant. Un goût découvert à l’école et fortifié jusqu’à leur doctorat. Parallèlement à leur fréquentation des œuvres, des auteurs et autrices, tant dans leurs travaux de recherche que dans leurs enseignements, elles ont très tôt ressenti la nécessité d’expérimenter et de partager autrement théâtre, poésie et littérature du temps présent. Toutes trois, sans savoir alors que ce geste les réunirait quelques décennies plus tard, ont poussé la porte du Service Université Culture où elles ont trouvé les personnes et les ressources à même d’engager un processus aujourd’hui indissociable de leur pratique scientifique et pédagogique : la recherche-création, qui envisage les expériences artistiques comme modalités du savoir et élabore la connaissance par l’expérimentation artistique, dans une recherche créative et collaborative. Le terrain d’expérimentation de Stéphanie Urdician, le laboratoire théâtral universitaire qu’elle co-dirige avec des artistes, « fonctionne comme une interface entre recherche, pédagogie et création, où la performance artistique offre un dispositif de construction et de diffusion de la connaissance », explique‑t‑elle. Par ailleurs, le programme MAAC (Matrimoine Afro‑Américano‑Caribéen), dont Stéphanie Urdician est l’une des responsables scientifiques,contribue à la constitu tion et à l’analyse de ce matrimoine culturel et des modalités de sa transmission dans la création contemporaine (littérature, arts et arts de la scène. Une équipe pluridisciplinaire et internationale, associant universitaires et artistes, recense et expérimente les legs culturels féminins par le biais d’entretiens avec des artistes, d’improvisations dansées ou encore d’expositions de photographies en réalité augmentée et virtuelle. Nathalie Vincent-Munnia et Catherine Milkovitch-Rioux, quant à elles, interrogent les relations entre littérature et histoire du temps présent dans la perspective sociopoétique qui constitue l’identité du laboratoire CELIS (UR 4280, UCA). Dans le programme de recherche « Réfugier-Enfance Violence Exil » (R-EVE), elles cernent, en sciences humaines et sociales, en littérature, au cinéma et au théâtre, les manières dont se crée, se traduit et se pense l’expérience juvénile de la guerre et de l’exil, « à hauteur d’enfant ». Avec la publication du coffret Réfugier (Carnets d’un campement urbain), adossée à des expositions et une programmation à la fois artistique et scientifique, elles œuvrent collectivement à une production où textes littéraires, dessins, photographies, installations et performances se saisissent de la question de l’exil et du refuge, au même titre que les approches théoriques. Pour toutes trois, la recherche-création, recherche « dans » et « avec » l’art, se donne des objets et des méthodes d’études qui interrogent les interactions et les représentations sociales. Par cette intelligence sensible du réel, puisant dans les ressources de l’expérimentation artistique et collective, toutes trois s’attachent à une élaboration partagée de nouvelles connaissances sur l’humain et à leur transmission. Espérant ainsi ouvrir la porte à de nouveaux publics.

  • Inauguration Exposition « Femmes de Sciences » pour les 140 ans de l’ESPCI

    Inauguration Exposition « Femmes de Sciences » pour les 140 ans de l’ESPCI @ Catherine Thibault À l’occasion de ses 140 ans, l’ESPCI Paris–PSL expose du 23 février au 15 avril 2023, sur les murs de la Caserne Napoléon, 12 portraits photographiques d’ingénieures ESPCI ayant une carrière inspirante. Une occasion pour l’école d’ingénieurs de sortir de ses murs et de présenter ses alumnae. En savoir plus L’inauguration de l’exposition a été célébrée le 17 mars à l’Hôtel de Ville de Paris. Femmes & Sciences y a été représentée par Gaelle Rondepierre, ancienne doctorante de l’ESPCI. Afin de lancer les deux Tables Rondes organisées, Gaelle a été chargée de présenter les statistiques relatives à la place des femmes dans les sciences. Son intervention a été accueillie de manière très positive par les personnes présentes. L'ensemble des interventions dont celle de F&S est disponible sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=Qp1_nC4gy7U < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

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