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512 résultats

  • Positionnement de Femmes & Sciences au sujet de la loi immigration

    Positionnement de Femmes & Sciences au sujet de la loi immigration © Assemblée Nationale Femmes & Sciences, avec le CA et les autres membres du COSSAF, expriment leur consternation et leur indignation sur la loi immigration. A l’instar de l’Académie des Sciences, de France Universités, de nombreux président·es d’universités ou d’organismes de recherche, de sociétés savantes et de très nombreux membres de la communauté académique, le Conseil d’administration du Collège des Sociétés Savantes Académiques de France et les sociétés signataires tiennent à exprimer leur consternation et leur profonde indignation devant le texte de la loi sur l’immigration adopté le 19 décembre. En savoir plus : https://societes-savantes.fr/la-loi-immigration-xenophobe-et-populiste-ignore-sciemment-les-travaux-scientifiques/ < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Valérie Laval Lévêque

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Valérie Laval Lévêque Radioprotectionniste « Une touche d’arôme, une touche d’atome, ma recette pour l’environnement » Valérie Laval Lévêque est technicienne CEA et travaille au Laboratoire d’analyses nucléaires et de surveillance de l’environnement [1] de Cadarache. Elle réalise des prélèvements dans l’environnement afin de vérifier l’impact que pourraient avoir les activités du centre et assure la radioprotection du laboratoire. Valérie Laval Lévêque n’a pas étudié la radioactivité mais cela ne lui a pas fait peur, et lui a même plu, car « c’était un domaine un peu mystérieux ! » C’est ainsi qu’en 1991, Valérie Laval Lévêque débute sa carrière sur le réacteur expérimental Osiris au centre CEA de Saclay en tant qu’expérimentatrice sur des crayons combustibles. Ces crayons, tubes d’environ 4 m de long, contiennent des matières qui fournissent l’énergie dans le coeur d’un réacteur nucléaire. Ce premier travail consistait à réaliser divers examens sur ces crayons combustibles afin de déterminer s’ils pouvaient être utilisés plus longtemps. Valérie Laval Lévêque rejoint ensuite le centre CEA de Cadarache pour travailler sur le réacteur expérimental Éole et devient en 1996 la 1re femme pilote de réacteur nucléaire de France. « Être la 1re femme, ça fait bizarre, mais pourquoi n’y en a-t-il pas eu d’autres avant moi ? » Par la suite, elle installe un laboratoire de chimie pour analyser l’eau du réacteur, lui permettant de mettre à profit les connaissances acquises lors de son DUT. Actuellement, elle réalise des prélèvements dans l’air, l’eau, le thym, le lait ou les légumes afin de vérifier l’impact du centre sur l’environnement. Valérie Laval Lévêque souhaite montrer que « les sciences, ce n’est pas compliqué » en témoignant auprès d’élèves à travers des ateliers et des rencontres. Son parcours prouve que, pour travailler dans les sciences, il n’est pas nécessaire d’avoir fait de longues études. « J’ai été au bon endroit, au bon moment et avec des personnes qui ont cru en moi et moi, j’ai cru en elles. » Avec son nouveau poste, de nouveaux horizons. « Le nucléaire et l’environnement, cela peut sembler étrange et aux antipodes, mais en réalité, pas du tout ! » [1] – LANSE (CEA)

  • Sara Puijalon

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Sara Puijalon Chercheuse en écologie fonctionnelle sur les milieux aquatiques "Parce que la flore c’est périssable" Sara Puijalon est chargée de recherche CNRS au Laboratoire d'écologie des hydrosystèmes naturels et anthropisés (LEHNA, ENTPE / Lyon1 / CNRS). Après des études en biologie moléculaire et cellulaire à l'ENS, elle obtient un DEA puis une thèse de doctorat en écologie sur les stratégies adaptatives des végétaux aquatiques et les stress mécaniques. Sara Puijalon étudie le fonctionnement des milieux aquatiques. D'un point de vue fondamental, ses activités de recherche portent sur les interactions entre la végétation aquatique et les contraintes physiques telles que les contraintes hydrodynamiques (courants, vagues, crues, etc.). Se dégagent dès lors deux problématiques : quelle est la réponse des végétaux à ces contraintes ? Quel est l’effet de la végétation sur les écoulements et les processus qui y sont liés ? En lien avec ces problématiques en éco-hydraulique, elle développe aussi des projets sur la dispersion des végétaux en milieu aquatique ainsi que sur la réponse de ces végétaux à d’autres types de contraintes physiques. D'un point de vue pratique ou appliqué, elle apporte ainsi des solutions de gestion des écosystèmes et des outils d'aide pour la restauration de certains habitats. Ses dernières recherches ont ainsi démontré une corrélation négative entre les stratégies d’évitement et la tolérance des plantes face aux contraintes hydrodynamiques. Soumises à des mouvements d’eau, les plantes aquatiques subissent des forces hydrodynamiques élevées qui tendent à les briser ou à les déraciner. Leur capacité à résister à ces forces sans subir de dégâts dépend de leur capacité à minimiser les forces subies ou à maximiser leur résistance à la brisure. Les travaux de Sara Puijalon ont révélé qu’il existe une contrainte, et potentiellement un compromis, limitant la capacité des espèces à maximiser les deux stratégies simultanément. Un travail riche et varié qui implique donc la rédaction de nombreux rapports ou de fiches techniques ; des opérations de formation ; des études en collaboration ; et surtout des temps de réflexion pour suivre des pistes avec ses collègues. Sara Puijalon évolue dans un milieu assez masculin. L'écologie, notamment l'écologie expérimentale, est un terrain qui semble attirer plus d’hommes que de femmes. Bottes et cirés sont le dress code égalitaire de rigueur pour les uns comme pour les autres. « Dans l’Institut dont je fais partie, ce n'est pas toujours simple, on est soumises à des a priori et il faut se faire sa place, il y a comme un déficit de crédibilité des femmes. Dans mon équipe j'ai de la chance, on est à 50/50. » Son domaine, en quelques mots : Sara Puijalon travaille sur les interactions entre la végétation aquatique et les contraintes mécaniques (courant, vagues, changement de niveau d’eau, etc.). L’objectif est de comprendre comment les communautés végétales répondent à ces contraintes et comment les plantes, en modifiant la composante physique de leur environnement, ont un effet sur le fonctionnement des écosystèmes. Ses travaux ouvrent des perspectives pour la gestion des écosystèmes et l’élaboration de solutions fondées sur la nature.

  • Wiebke Drenckhan reçoit la médaille CNRS de la médiation scientifique 2023.

    Wiebke Drenckhan reçoit la médaille CNRS de la médiation scientifique 2023. © Wiebke Drenckhan (Variations sur une bulle - Les Curieuses Rencontres) Wiebke Drenckhan, chercheuse à l'ICS à Strasbourg, travaille sur les bulles et les mousses. Elle est passionnée par la diffusion des sciences et met à profit leur esthétique. Wiebke Drenckhan est chercheuse à l'ICS à Strasbourg. Sa recherche porte sur les bulles et les mousses. Elle est passionnée par la diffusion des sciences et sait en montrer l'esthétique ou utiliser la beauté des images scientiiques pour illuster des ouvrages ou même en faire de véritables oeuvres d'art. Elle met en scène des gouttes, fait miroiter les bulles et fait la joie des petits et des grands lors des fêtes de la science ou des autres événements de diffusion des sciences auprès du grand public. En savoir plus : https://www.cnrs.fr/fr/personne/wiebke-drenckhan-0 Image extraite de : Variations sur une bulle - Les Curieuses Rencontres < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Nouveau partenariat entre le Rotary Club de Paris et Femmes & Sciences

    Nouveau partenariat entre le Rotary Club de Paris et Femmes & Sciences Marie-Christine Creton et Florence Apparailly de F&S, Sophie Parize et Véronique Cagniart du Rotary Club. Un chèque a été remis par la Commission jeunesse du Rotary Club de Paris à Femmes & Sciences à l'occasion de la signature d’un partenariat sur les actions de mentorat. Après une première année mutuellement enrichissante de partage d’expérience avec les membres du programme de mentorat Femmes & Sciences à Paris-Saclay, la Commission jeunesse du Rotary Club de Paris a signé le 23 Janvier un accord de partenariat avec Femmes & Sciences. Il vise à renforcer les collaborations pour le mentorat, avec des témoignages autour de thèmes sur l’entreprise, dans le cadre des cercles de discussions avec les mentees. Il prévoit aussi de proposer un élargissement à chacune des régions engagées dans le mentorat. Nous nous réjouissons de part et d’autre de cette collaboration et de ce nouveau vivier de soutien et conseil pour nos mentees. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Clarissa Cagnato

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Clarissa Cagnato Postdoctorante en archéobotanique "Le passé m’invite à sa table" Clarissa Cagnato est archéobotaniste, postdoctorante CNRS dans le laboratoire Trajectoires, De la sédentarisation à l’État (Trajectoires - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/CNRS/Inrap/Ministère de la culture). Passionnée depuis son enfance par les différentes habitudes alimentaires et culinaires des sociétés du passé comme du présent, Clarissa Cagnato réalise son rêve en devenant archéobotaniste, et travaille sur l’identification de plantes dans des contextes archéologiques. Elle effectue sa thèse sur l’alimentation végétale des anciennes populations mayas des terres basses au Guatemala, en étudiant non seulement les graines mais aussi des microrestes botaniques tels que les grains d’amidon. Ses études ont été particulièrement pertinentes car, en utilisant ces restes microscopiques, elle a pu démontrer l’importance des tubercules pour ces anciennes populations. Depuis, elle continue à collaborer sur différentes problématiques liées à l’alimentation dans différentes régions du monde à des périodes différentes. Actuellement, elle se focalise sur les questions d’émergence de l’agriculture, de la transformation et de la préparation alimentaire végétale durant le néolithique ancien en Europe nord-occidentale. Un travail qu’elle effectue à travers l’analyse de grains d’amidon qu’elle prélève entre autres sur des meules et des céramiques. Sa thématique de recherche est liée principalement à l’étude de la nourriture, car au-delà d’être un besoin physique, elle est aussi intrinsèquement sociale. En étudiant différentes populations et périodes, Clarissa souhaite comparer à l’échelle mondiale les différentes trajectoires parcourues par les individus en fonction de leur choix de plantes. Elle cherche notamment à vérifier son hypothèse selon laquelle les tubercules, souvent vus comme des aliments moins prestigieux, sont en réalité des ressources très importantes dans le passé. Au quotidien, Clarissa Cagnato manipule différents produits chimiques pour extraire les grains d’amidon des échantillons archéologiques. Une fois que ces échantillons sont placés sur des lames minces, ils peuvent être étudiés avec un microscope polarisant. En parallèle, elle participe ponctuellement dans des cours de master et dirige des ateliers pratiques principalement sur les méthodes d’extraction des échantillons de grains d’amidon. Ses recherches l’amènent à parcourir le monde afin de mieux connaître l’alimentation de nos ancêtres.

  • Institutions | Femmes & Sciences

    Relations avec les institutions et associations De par ses objectifs qui visent à valoriser les carrières scientifiques et techniques auprès des filles dans l’enseignement secondaire et supérieur d’une part et à soutenir et valoriser l'action des femmes d’autre part, l’association Femmes & Sciences privilégie les relations avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI ), le Ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports (MENJS ) et en particulier la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire (DGESCO ). Il en est de même avec le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS ), dont l’association est une partenaire historique, et avec l'Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (INRIA ) qui soutient le colloque annuel de Femmes & Sciences. L’action est double : veiller à la bonne place des femmes dans ces institutions et intervenir lorsque la parité n’est pas respectée ou qu’elles sont l’objet de discriminations ; collaborer avec les missions pour l’égalité femmes/hommes qui ont été créées pratiquement en même temps que l’association. Pour le CNRS, la Mission pour la place des femmes au CNRS agit comme un observatoire chargé d’impulser, de conseiller et d’évaluer la prise en compte du genre dans la politique globale de l’établissement. Pour le MESRI, le Département des stratégies de ressources humaines, de la parité et de la lutte contre les discriminations participe à l’élaboration d’une politique de ressources humaines, en intégrant la dimension genre, parité et lutte contre les discriminations. Dans sa collaboration avec ces missions, l’association apporte la connaissance du terrain liée à ses interventions dans les établissements scolaires ou universitaires. Elle est aussi force de proposition et d’innovation : on peut citer par exemple la création de mentorats pour les doctorantes ou les "propositions des femmes scientifiques et ingénieures pour plus de mixité dans les métiers d’ingénieur·es et de scientifiques" réalisées en partenariats avec les associations sœurs : femmes et mathématiques et Femmes Ingénieurs sous la forme d’une contribution au Grand Débat de 2019. Au niveau régional, l’association participe à divers comités régionaux : Conseil d'administration du Centre Hubertine Auclert Comité de pilotage de la Mission égalité filles/garçons de l'Académie de Toulouse Conseil scientifique de l'Association Science Technologie Société (ASTS) Conseil scientifique du Pôle de diffusion de la culture scientifique Ile-de-France Sud Groupe égalité femmes-hommes de la Conférence des Grandes Ecoles Au niveau européen, Femmes & Sciences a des relations privilégiées avec l’European Platform of Women Scientists (EPWS) dont la présidente, Claudine Hermann, est aussi la Vice-présidente de l’association. Contact : Evelyne Nakache

  • Élodie Bordat-Chauvin

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Élodie Bordat-Chauvin Enseignante-chercheuse en sociologie "Quand on parle de Culture, les mots ont du poids" Élodie Bordat-Chauvin est sociologue politique. Elle est maîtresse de conférences à l’Institut d’Études Européennes de l’Université Paris 8 et chercheuse au Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris (CRESPPA – CNRS/Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis/Université Paris Nanterre). Dès le collège, Élodie Bordat-Chauvin rêve d’être ethnologue et décide, après son bac, de partir étudier l’ethnologie au Mexique. Passionnée par les échanges interculturels, elle y mène une enquête ethnographique sur une association d’expatriés français à Mexico. Puis, lors de son Master à Sciences Po Aix, elle continue dans cette voie et réalise son mémoire sur la diplomatie culturelle de la France au Mexique. Elle poursuit ses études avec une thèse. Elle compare alors les processus d’institutionnalisation des actions culturelles menées par les pouvoirs publics au Mexique et en Argentine. Son travail sera récompensé en 2014 par le Cultural Policy Research Award . Grâce à ce prix, elle publie un premier ouvrage en anglais comparant les politiques culturelles argentine et mexicaine, rédigé pendant son premier congé de maternité. Deux ans plus tard, à l’occasion d’un second congé de maternité, elle publie en français un livre actualisant ses recherches. Dans ces ouvrages, Élodie Bordat-Chauvin démontre que la politique culturelle mexicaine est – historiquement et jusqu’à aujourd’hui – plus stable et consolidée que la politique culturelle argentine. Ce résultat, elle l’obtient en étudiant la planification de l’action culturelle dans ces pays et en s’intéressant aux lois et règles non-écrites qui impactent les politiques de culture. Par la suite, Élodie Bordat-Chauvin obtient un contrat de recherche postdoctoral et effectue quatre mois d’observation participante au ministère argentin de la Culture. Ce séjour lui a permis d’appréhender les pratiques et les représentations des agents administratifs sur leurs missions, ainsi que la façon dont ils s’acquittent de leurs rôles. Aujourd’hui, Élodie Bordat-Chauvin travaille sur les conséquences de la crise économique de 2018 sur le travail des agents du programme socio-culturel pour lequel elle a travaillé en Argentine. Elle s’intéresse également à la manière dont ce programme a circulé vers différents pays d’Amérique latine et d’Europe. Grâce à son métier d’enseignante-chercheuse en sociologie, Élodie Bordat-Chauvin a la chance d’être quotidiennement au contact d’étudiantes, de professionnelles de la culture et de travailler avec des chercheuses provenant de multiples pays. De l’ethnologie à la sociologie, en passant par les sciences politiques, elle continue à vivre son rêve d’enfant : apprendre à connaître d’autres cultures.

  • Catherine Jeandel

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Catherine Jeandel Océanologue "L'eau, je ne fais pas que la boire" Catherine Jeandel est océanologue géochimiste. Elle est directrice de recherche au CNRS et travaille au Laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales (LEGOS/OMP – CNRS ; Université Toulouse III – Paul Sabatier ; IRD ; CNES). Initiée très jeune au milieu marin des rivages de la Bretagne du nord, Catherine Jeandel, en dépit de son désamour pour les mathématiques, poursuit son rêve d’enfance de devenir océanologue. D’une seconde littéraire à une intégration en classes préparatoires scientifiques, elle persiste dans cette voie. Elle effectue sa thèse et son post-doctorat en géochimie marine, à une époque où la chimie marine était balbutiante et intègre le CNRS en 1981. Intéressée par tous les aspects de l’océan : physiques, biologiques, chimiques, elle devient océanologue géochimiste. Depuis, elle sillonne les mers du globe, les explorant en profondeur pour améliorer notre compréhension d’un système si vaste et si complexe. Travailler sur une passion aussi ancrée explique sans doute pourquoi elle aime tant partager ses recherches mais aussi alerter sur les menaces qui pèsent sur notre environnement. Au quotidien, Catherine Jeandel écrit des projets pour obtenir une campagne en mer. Elle embarque pour deux mois avec quelques quarante collègues et échantillonne eau et particules, les rapporte au laboratoire, extrait les traceurs chimiquement en salle blanche pour les protéger des poussières. Puis, elle les analyse au spectromètre de masse, interprète les mesures, écrit des articles, forme des étudiant.e.s de masters, des doctorant.e.s… et surtout, collabore au niveau mondial. En effet, l’océan est si vaste qu’il s’étudie en collaborations internationales car il est impensable scientifiquement de laisser des zones du monde inexplorées ! Actuellement, elle coordonne avec des collègues un projet mondial d’exploration géochimique des mers Intitulé Géotraces. Très impliquée dans la diffusion de la culture scientifique, elle a été l’une des initiatrices toulousaines du Train du climat qui a sillonné la France en 2015, à l’occasion de la COP21, et poursuit l’aventure pour partager les savoirs dans les territoires. Catherine Jeandel a été lauréate de la Médaille de bronze du CNRS 1992.

  • Opération Coquelicots : 8 mars 2025

    Opération Coquelicots : 8 mars 2025 Cette année soyons, encore une fois, toutes visibles la semaine du 8 mars 2025, où que nous soyons. F&S réitère l’opération Coquelicots, mise en place par l’association partenaire femmes & mathématiques, pour la semaine du 8 mars 2025. La proportion de femmes scientifiques n'augmente pas et nous voyons "rouge" ! Soyons toutes visibles la semaine du 8 mars 2025 depuis le ciel ! Portons du rouge et formons un immense champ de coquelicots partout dans le monde. On dit que les femmes sont en train de déserter la science, qu'elles ne s'inscrivent pas dans les filières du numérique, qu'elles se dirigent vers des domaines où la science n'est pas présente... Certes les femmes scientifiques ne sont pas assez nombreuses, pas assez visibles. Et pourtant les femmes scientifiques existent ! Pour le montrer de façon rapide et concise, portons du rouge le 8 mars 2025. Ces points rouges seront comme des coquelicots qui constellent une prairie, symbolisant la présence et l'ancrage des femmes dans les champs de la science. Prenons des photos, distribuons-les sur les réseaux sociaux, déposons- les sur le site. https://femmes-et-maths.fr/samedi-8-mars-2025-operation-coquelicots/ < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Prix Irène Joliot-Curie 2020 : trois chercheuses d’exception à l’honneur

    Prix Irène Joliot-Curie 2020 : trois chercheuses d’exception à l’honneur Depuis 2001, le prix Irène-Joliot-Curie récompense chaque année des femmes scientifiques qui se distinguent par la qualité de leurs recherches. Le Prix Irène Joliot-Curie est décerné par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation avec le soutien de l'Académie des sciences et de l'Académie des technologies qui en constituent le jury. Pour cette 19ème édition, le jury, présidé par Catherine Cesarsky, a choisi de récompenser : • Fariba Adelkhah , « Femme scientifique de l’année », directrice de recherche au Centre de recherches internationales de Sciences Po Paris, pour ses travaux de recherche en anthropologie et science politique • Céline Guivarch , « Jeune Femme scientifique », directrice de recherche à l’Ecole des Ponts, pour ses travaux de recherche interdisciplinaires sur le changement climatique combinant sciences du climat, économie et mathématiques appliquées • Sandrine Lévêque-Fort , « Femme, recherche et entreprise », directrice de recherche à l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay, pour ses travaux de recherche à l'avant-garde de la microscopie optique avec sa start-up Abbelight Pour en savoir plus Le MESRI est partenaire de Femmes & Sciences. Sandrine Lévêque-Fort est mentore du programme de mentorat Île-de-France . < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Femmes & Sciences à la fête de la science en Alsace

    Femmes & Sciences à la fête de la science en Alsace 30 septembre 2021 7 octobre 2021 Alsace Atelier Mendeleïeva : Découvertes de femmes scientifiques à travers les éléments du tableau périodique Mini-expo: "Elles font de la recherche sur le campus de Cronenbourg" 1-3 octobre : campus de Cronenbourg 8 octobre : collège Rouget de Lisle Schiltigheim 1869 est l’année où le chimiste russe Dmitri Mendeleïev (1834-1907) a publié la classification périodique des éléments chimiques qu’il dispose selon leur masse atomique et leurs propriétés chimiques. Depuis le 150è anniversaire de cette classification, l’association Femmes & Sciences met à l’honneur 135 femmes scientifiques, historiques et contemporaines, qui ont travaillé ou travaillent au quotidien avec l’un ou l’autre des éléments du tableau. Ce tableau « Mendeleïeva » présente des femmes ordinaires ou extraordinaires, de toutes nationalités, et donne un aperçu de la diversité du monde de la recherche : statuts différents, disciplines différentes et domaines d’expertise très variés : mathématiques, archéologie, astrophysique, géologie, virologie, chimie, paléo-climatologie… À l'occasion du 60è anniversaire du campus CNRS de Cronenbourg, l'association présente aussi une petite exposition d'affiches (sur le format des cartes Mendeleïeva) sur 26 femmes qui travaillent sur le campus (+ Marguerite Perey qui l'a fondé). Accessibilité et inscriptions : 01/10 : ouvert aux scolaires avec inscription auprès du jardin des sciences ( https://www.fetedelascience.fr/atelier-mendeleieva ) 02/10-03/10 : ouvert à tous sans inscription et gratuitement ( https://www.fetedelascience.fr/atelier-mendeleieva ) 08/10 : réservé aux classes du collège Rouget de Lisle Schiltigheim ( https://www.fetedelascience.fr/tableau-des-mendeleieva-1 ) © VPB F&S < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

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