top of page

Recherche

524 résultats

  • Opération Coquelicots : 8 mars 2025

    Opération Coquelicots : 8 mars 2025 Cette année soyons, encore une fois, toutes visibles la semaine du 8 mars 2025, où que nous soyons. F&S réitère l’opération Coquelicots, mise en place par l’association partenaire femmes & mathématiques, pour la semaine du 8 mars 2025. La proportion de femmes scientifiques n'augmente pas et nous voyons "rouge" ! Soyons toutes visibles la semaine du 8 mars 2025 depuis le ciel ! Portons du rouge et formons un immense champ de coquelicots partout dans le monde. On dit que les femmes sont en train de déserter la science, qu'elles ne s'inscrivent pas dans les filières du numérique, qu'elles se dirigent vers des domaines où la science n'est pas présente... Certes les femmes scientifiques ne sont pas assez nombreuses, pas assez visibles. Et pourtant les femmes scientifiques existent ! Pour le montrer de façon rapide et concise, portons du rouge le 8 mars 2025. Ces points rouges seront comme des coquelicots qui constellent une prairie, symbolisant la présence et l'ancrage des femmes dans les champs de la science. Prenons des photos, distribuons-les sur les réseaux sociaux, déposons- les sur le site. https://femmes-et-maths.fr/samedi-8-mars-2025-operation-coquelicots/ < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Angie Molina Delgado

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Angie Molina Delgado Biologiste "Vos neurones m’en font voir de toutes les couleurs" Après avoir soutenu sa thèse en septembre 2014 à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif, Angie Molina Delgado a démarré un post-doctorat en biologie cellulaire à Toulouse en février 2015 au Centre de biologie du développement (CBD – CNRS ; Université Toulouse III – Paul Sabatier) où elle travaille actuellement. La mise en place et le fonctionnement du système nerveux nécessitent une parfaite coordination entre la régulation du cycle cellulaire – l’ensemble des étapes que traverse une cellule avant de se diviser et donner naissance à deux cellules filles - et la détermination du destin cellulaire - ce que la cellule va devenir, neurone ou cellule gliale. La compréhension des mécanismes impliqués dans ces deux processus est importante car elle permet de définir les éléments contrôlant l’équilibre entre prolifération et différenciation tout au long de la vie, durant l’embryogenèse et chez l’adulte. L’altération de ces mécanismes peut entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée, caractéristique de la progression tumorale, ou une différenciation prématurée, associée à des troubles neurodéveloppementaux. Angie Molina Delgado a choisi d’élucider ces mécanismes en utilisant les cellules souches ou progéniteurs neuraux, qui composent la moelle épinière embryonnaire. À l’intérieur de ce tissu, les progéniteurs prolifèrent activement avant de se différencier en neurones. Cette jeune chercheuse s’intéresse tout particulièrement à la cinétique du cycle cellulaire et à son rôle sur le destin cellulaire. Grâce à des techniques d’imagerie en temps réel sophistiquées, elle suit individuellement le comportement de progéniteurs dans leur environnement et le corrèle à leur devenir. Au delà de cette problématique fondamentale, les connaissances acquises sur les mécanismes qui contrôlent la balance prolifération/différenciation pourront être extrapolées à d’autres types de cellules souches, comme les cellules souches cancéreuses, en particulier celles des tumeurs cérébrales qui partagent de nombreuses caractéristiques avec les cellules souches neurales normales. C’est un domaine qu’Angie Molina Delgado connaît bien puisqu’elle a effectué une thèse sur l’implication d’une protéine « suppresseur » de tumeurs, ATIP3, dans les métastases du cancer du sein. À terme, ses recherches seront utiles pour développer de nouvelles thérapies. Angie Molina Delgado a reçu la bourse L’Oréal/Unesco pour les Femmes et la Science en 2015. Après avoir quitté Toulouse, Angie MOLINA DELGADO a rejoint le Centro de Investigacion Médica Aplicada (CIMA) de l'Université de Navarre à Pampelune en tant que chercheuse. Ses travaux de recherche se concentrent sur le développement de nouvelles thérapies basées sur le transfert de gènes (thérapie génique) pour les maladies rares et héréditaires du foie pour lesquelles il n'existe pas de traitement efficace.

  • Françoise Combes lauréate Europe du prix international L’Oréal – Unesco

    Françoise Combes lauréate Europe du prix international L’Oréal – Unesco Françoise Combes dans la coupole de l’Observatoire de Paris - copyright CNRS Françoise Combes est honorée par le prestigieux prix Pour les Femmes et la Science 2021 pour ses travaux exceptionnels en astrophysique Françoise Combes, astrophysicienne à l’Observatoire de Paris, académicienne des sciences, professeure du Collège de France, titulaire de la Chaire Galaxies et Cosmologie, médaille d’or du CNRS il y a quelques mois (voir l’actualité sur le site Femmes & Sciences) et membre de Femmes & Sciences, est lauréate du Prix L’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science pour la région Europe. Elle est récompensée « pour sa remarquable contribution en astrophysique, de la découverte de molécules dans l’espace intersidéral aux simulations de la formation des galaxies par superordinateur. Son travail a été essentiel dans la compréhension de la naissance et de l’évolution des étoiles et des galaxies, y compris le rôle joué par les trous noirs super-massifs dans les centres galactiques ». Ses recherches relèvent d’observations, de considérations théoriques, comme de simulations numériques. En savoir plus Les membres de Femmes & Sciences félicitent chaleureusement cette grande scientifique qui honore l’association. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Alice Guionnet

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Alice Guionnet Mathématicienne "Double six pour Alice" Alice Guionnet est directrice de recherche CNRS dans l’Unité de mathématiques pures et appliquées de l'ENS de Lyon (UMPA, ENS de Lyon / CNRS) qu’elle dirige depuis 2016. Grâce à ses résultats significatifs obtenus dans le domaine des matrices aléatoires, elle devient la première femme à décrocher le prix Loeve en 2009, la plus prestigieuse récompense internationale dans le domaine des probabilités. L’année suivante, elle se voit décerner la médaille d’argent du CNRS et en 2018 la Médaille Blaise Pascal de l’académie européenne des sciences. Depuis 2017, elle est élue membre de l’Académie des sciences pour la section Mathématiques. Alice Guionnet est mathématicienne, considérée par ses pairs comme une probabiliste influente, pour son rôle moteur et inspirant dans le domaine des matrices aléatoires. « Tout ce que l'on ne connaît pas, tout ce qui est trop compliqué à calculer, on va le modéliser par un événement aléatoire, par des probabilités. J'ai choisi ce domaine, car je trouvais que c'était une spécialité des mathématiques qui était présente dans nombre de sciences, aussi bien en physique qu'en finances, en biologie qu’en médecine. » Chercheuse épanouie en mathématiques, Alice Guionnet mène une vie créatrice et passionnante. « J’aime la liberté qu’offre le métier de chercheuse. Elle est d’autant plus grande que je suis au CNRS. Le privé ne m'a pas spécialement tentée. J'ai été professeure au MIT, et là aussi, c'était très gratifiant. » Avec un père ingénieur polytechnicien et une mère urbaniste, Alice Guionnet envisage d’abord de devenir ingénieure, pourquoi pas en intégrant une grande école. Finalement elle entre à l'École normale supérieure de la rue d’Ulm et se découvre une véritable passion pour les mathématiques. Une passion qui ne l’a pas quittée. Aujourd’hui, elle cherche à décrire le comportement global de systèmes de grande dimension, souvent issus de la physique. « Par exemple, si l'on essaie de paver un hexagone avec du carrelage en forme de losanges : quel motif va émerger si l'hexagone est très grand et que l'on a, par conséquent, beaucoup de losanges ? Une question bien compliquée – puisqu'il existe de nombreuses façons de réaliser ce carrelage – qui est, par là même, aléatoire ! » Alice Guionnet est une femme qui maîtrise sa discipline, pourtant elle remarque que « quand on regarde les exposés, les garçons sont toujours très sûrs d'eux, ils peuvent même raconter des choses qu'ils ne connaissent pas de façon très assurée. Une fille en général va beaucoup plus bosser, et doutera beaucoup plus d'elle. ». Elle se souvient de cette fois où, à l'issue d'un discours lors d'une remise de diplôme, elle s'était étonnée de la disparité des femmes dans les mathématiques. Suite à ce commentaire, elle avait reçu des messages électroniques de jeunes filles qui la remerciaient. Elles y évoquaient leur malaise, le regard des autres et même le poids familial. « Moi-même, jamais je n'aurais pensé que je serais là où je suis aujourd'hui dans le monde des mathématiques. J'avais toujours pensé qu'il y aurait plus professeur Tournesol que moi. Et me voici aujourd'hui un peu au top des professeurs Tournesol… » Son domaine, en quelques mots : Les travaux d'Alice Guionnet étudient des problèmes issus de la mécanique statistique, ou plus généralement des questions où un grand nombre de variables aléatoires interviennent. Par exemple, une représentation microscopique simple permet de comprendre le phénomène de vieillissement, autrement dit comment l'évolution de certaines propriétés des matériaux dépendent de leur passé. Elle est également reconnue pour ses travaux fondamentaux sur les matrices aléatoires (grands tableaux de nombres aléatoires). Celles-ci apparaissent aussi bien en statistique qu’en théorie des nombres ou des algèbres d’opérateurs.

  • Anke Brock

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Anke Brock Enseignante chercheuse en informatique "Le monde au bout des doigts ! " Anke Brock est enseignante-chercheuse en informatique à l’École nationale de l’aviation civile (ENAC) à Toulouse. Sa recherche s’intègre dans le domaine appelé « Interaction Humain-Machine ». Elle a commencé à travailler sur ce sujet en tant qu’ingénieure de recherche dans le domaine automobile chez Bosch avant de faire une thèse et s’orienter vers une carrière en recherche. Le domaine de recherche « Interaction Humain-Machine » (Human-Machine Interaction en anglais) fait partie de l’informatique. Il s’intéresse d’une part à observer, analyser et évaluer l’expérience des humains avec les technologies et d’autre part à concevoir les technologies interactives futures. Ce domaine interfère avec d’autres disciplines comme les sciences cognitives, l’ergonomie et le design. Anke Brock se consacre plus particulièrement à la création de systèmes avancés de navigation et d’aide à l’orientation basés sur les nouvelles technologies. Le sujet qui lui tient à cœur depuis plusieurs années : rendre les cartes géographiques accessibles aux personnes non-voyantes et mal-voyantes. En effet, naviguer dans un espace inconnu est difficile sans vision et une carte accessible peut aider à s’orienter. Lorsqu’elle a travaillé à l’Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT – CNRS ; Université Toulouse Capitole ; Université Toulouse – Jean Jaurès ; Université Toulouse III - Paul Sabatier ; INP Toulouse), puis à l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), Anke Brock a conçu et développé des cartes interactives qui se basent sur des technologies telles que les écrans tactiles, l’impression 3D et la réalité augmentée. Ces systèmes peuvent restituer des informations géographiques par des retours audio-tactiles. Les personnes déficientes visuelles sont parties prenantes de ses recherches, et dans le cadre d’un projet européen, elle travaille actuellement avec des écoles spécialisées en France, Grèce et Roumanie. Plus récemment à l’ENAC, elle développe des systèmes de navigation basés sur des drones, qui sont de plus en plus courants et dont on peut prévoir une utilisation accrue dans les années à venir. En collaboration avec une collègue française en Israël, elle a embarqué un projecteur sur un drone. Ce système peut ainsi projeter des cartes géographiques et des instructions de navigation sur le sol pour guider l’utilisateur.trice. Cette jeune chercheuse est passionnée par ses recherches qui englobent plusieurs disciplines et intègrent les dernières technologies, tout en se mettant au service des humains.

  • Danièle Centanni

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Danièle Centanni Physicochimiste "En tant que technicienne scientifique, j’aime mon métier. En 1992, j’ai participé à la première Fête de la science en animant des ateliers de chimie pour enfants. Au LIPhy, en 2015 j’ai de nouveau participé à la Fête de la science en créant un démonstrateur avec des canaux ayant la forme du logo du CNRS. J’ai à cœur de lutter contre les stéréotypes de genre et de discrimination contre les femmes et j’ai envie de donner plus de visibilité aux femmes qui œuvrent chaque jour dans la recherche et la technologie." Danièle Centanni est technicienne CNRS au Laboratoire interdisciplinaire de physique (LIPhy - CNRS / UGA). Elle est spécialisée dans le domaine de la microélectronique, de la chimie et de la physique et elle est responsable technique d’une salle blanche. Enfant, Danièle Centanni mélange différentes substances de l’armoire à pharmacie familiale telles que de la lessive avec du colorant bleu iodé. C’est peut-être de là que lui est venu son goût pour les expériences chimiques. Passionnée depuis toute petite de sciences et de découvertes techniques, elle s’oriente au début vers des études de chimie. Puis elle vit une immersion inattendue dans le milieu de la microélectronique en tant qu’opératrice de production en salle blanche. Cela lui plaît et elle décide de compléter sa formation par un DUT mesures physiques suivi par des expériences dans différentes entreprises de la région grenobloise (Schneider, Atmel, Sofradir, CEA). Danièle Centanni intègre le LIPhy en 2006 suite à un concours externe du CNRS pour s’occuper d’un service comportant une salle blanche en cours de création. Ses capacités et ses différentes expériences antérieures l’amènent à prendre en charge cette nouvelle plateforme, pour la démarrer et la développer. Cette salle blanche est dédiée à la fabrication de circuits microfluidiques. Danièle Centanni s’occupe de toute la gestion, l’entretien et la maintenance de cette salle, des achats de consommables, de masques et de petits matériels. Elle forme tous les utilisateurs qui veulent avoir accès à cette salle et à la microfabrication de circuits utilisés par les chercheurs ou étudiants stagiaires, thésards et postdocs du domaine des fluides complexes. Elle fait aussi des circuits à la demande.

  • Hommage à Nicole Mosconi, pionnière disparue le 06/02/2021

    Hommage à Nicole Mosconi, pionnière disparue le 06/02/2021 Photographie fournie par FV La thèse en 1986 de Nicole Mosconi sur « La mixité dans l'enseignement secondaire : un faux-semblant ? » a initié les recherches dans ce domaine. Son habilitation en 1992 portait sur « Savoir, rapport au savoir et différence des sexes ». Elle a abordé ces questions dans tout son travail de recherche. Elle a montré l’influence des rapports sociaux de sexe sur les apprentissages des jeunes et la manière dont les enseignant·es, le plus souvent involontairement, traitent différemment les filles et les garçons. Nicole Mosconi a formé les chercheurs et chercheuses dans ce domaine ; le chapitre sur les stéréotypes du livret « Les femmes et les sciences…au-delà des idées reçues » de l’association Femmes &Sciences » est très inspiré par ses travaux. Elle a participé aux instances dirigeantes de nombreuses structures, notamment : ANEF (association nationale des études féministes), Institut Emilie du Châtelet, le comité de rédaction de la revue Travail, Genre et Sociétés. Une grande dame nous a quitté·es, mais ses travaux continueront à nous inspirer. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Prix Thierry Célérier | Femmes & Sciences

    Prix Thierry Célérier – Femmes & Sciences pour l’encouragement des jeunes femmes de talent en situation de handicap souhaitant développer un projet scientifique ou technologique Prix Thierry Célérier- Femmes & Sciences pour l’encouragement des jeunes femmes de talent en situation de handicap souhaitant développer un projet scientifique ou technologique Le Prix Thierry Céléri er – Femmes & Sciences pour l’encouragement des jeunes femmes de talent en situation de handicap est, en 2025, un prix unique doté de 10 000 €, récompen sant une jeune femme en situation de handicap, de 20 à 28 ans, ayant pour objectif de réaliser un projet scientifique ambitieux, soit d’études supérieures, soit de recherche, soit d’innovation technologique. Voir le règle ment : ici Aller au formulaire de candidature Les candidatures pour l'édition 2025 sont ouvertes du 30 avril au 30 juin. Les lauréates des é ditions p réc édentes 2024 * Pauline Bron (conception de vitrimères de polyhydroxyurethane sans isocyanate pour des applications de recyclage) En savoir plus 2023 * Emilia Turc (modélisation des réponses du cerveau de patients sous anesthésie générale) En savoir plus 2022 - exceptionnellement 2 lauréates * Camille Ollier (biologie de l’environnement, des populations, et écologie) * Hajer Srihi (stratégies de stabilisation en position assise chez les personnes vivant avec une lésion de la moelle épinière) En savoir plus 2021 * Salomé Nashed (b ioinformatique , analyse génétique ) En savoir plus Déc ouvrir son témoignage Formulaire Candidater J’ai pris connaissance du règlement du concours et j’en accepte les conditions. Votre dossier de candidature a bien été envoyé. Vous ne recevrez pas d'email de validation. Votre dossier de candidature n'a pas été envoyé. Vérifiez que vous avez bien rempli tous les champs et si cela ne résout pas le problème, contactez-nous à prixtc-fets@femmesetsciences.fr . Valider Déposer le dossier ici Taille max 24MB En cas de multidisciplinarité indiquer la discipline principale Candidate Discipline (voir annexe au règlement pour détails) Dossier Documents à fournir (en français exclusivement sauf lettres de recommandation pouvant être en français ou anglais, et diplômes dans leur langue d’origine) : CV détaillé (2 pages max.) Copie des diplômes Copie recto-verso de la carte d’invalidité ou de la carte mobilité inclusion avec mention « invalidité » Résumé vulgarisé du projet (250 mots max.) Description détaillée du parcours et des travaux projetés (2 pages max.) Budget estimatif des dépenses Deux lettres de recommandations Liste de publications et/ou brevets (si appropriée) Chargez les documents mentionnés ci-dessus, regroupés dans un seul fichier pdf (Prénom-Nom.pdf). Le dépôt d'un fichier zip (Prénom-Nom.zip.pdf – l’extension pdf est nécessaire) est accepté. Validation Date d’ouverture du dépôt des candidatures : 30 avril 2025 Date de clôture de la remise des dossiers de candidature : 30 juin 2025 (minuit, heure de Paris) Si vous rencontrez une difficulté lors de la préparation ou de la soumission de votre dossier, envoyez un mail à prixtc-fets@femmesetsciences.fr avec la mention "Prix Thierry Célérier - Femmes & Sciences", un numéro de téléphone pourra vous être communiqué si nécessaire.

  • À la découverte des femmes scientifiques de Toulouse

    À la découverte des femmes scientifiques de Toulouse 19 septembre 2021 Toulouse (en présentiel) Un parcours théâtralisé en 6 étapes de la place de la Daurade à la place du Capitole pour découvrir une douzaine de femmes scientifiques. Une visite dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine 2021 , conçue par l’association Femmes & Sciences et le CNRS, et adaptée par Sonia Moussay (historienne) et Sylvie Bruyère (comédienne). Ce parcours est effectué par deux femmes scientifiques de la région Occitanie ainsi qu'une comédienne et une historienne. Information et inscription : https://www.curieusesvisitescurieuses.fr/event-details/a-la-decouverte-des-femmes-scientifiques-2021 © Les Chemins Buissonniers < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Sciences, un métier de femmes ! 2023

    Sciences, un métier de femmes ! 2023 © Leah Touitou 7ème édition de la journée "Sciences, un métier de femmes !" le 30 mars 2023 pour les lycéennes de l'Académie de Lyon La journée Sciences, un métier de femmes ! revient en 2023 pour la 7ème année consécutive, une journée de rencontre spécifiquement dédiée aux lycéennes de l'Académie de Lyon. Le but de cette journée est de les inciter à choisir des voies qui les conduisent, elles aussi, aux postes scientifiques et technologiques les plus qualifiés. Depuis 2017, le succès a démontré la pertinence de s’adresser directement aux lycéennes et que le manque de références féminines dans le monde scientifique a un impact énorme sur la représentation qu’ont les jeunes filles de la place des femmes dans les sciences. L’idée est de montrer par l’exemple que tous les métiers scientifiques sont mixtes. Au cours de la journée, les lycéennes rencontrent des jeunes femmes scientifiques, exerçant des métiers variés, jeunes femmes auxquelles les lycéennes pourront ainsi s’identifier et se référer comme modèles. Ces marraines viennent témoigner de la diversité de leur profession et de leurs parcours d’étude et démontrer que les femmes peuvent accéder à tous les métiers scientifiques et technologiques. Liens : Compte-rendu en BD de la journée "Sciences, un métier de femmes!" 2022 En savoir plus sur les éditions précédentes < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Les évènements du 8 Mars en région Alpes

    Les évènements du 8 Mars en région Alpes 8 mars 2024 Région Alpes Expo XX elles et conférences autour de la journée du 8 Mars 1. L’exposition La Science taille XX elles portée par Parité Science, sera présente le 8 mars en deux lieux : à l'ENSIMAG sur le Domaine Universitaire à Saint Martin d’Hères (du 5 au 13 mars) et au Collège Charles Munch à Grenoble (du 4 au 8 mars) avec un événement le 5 mars au cours duquel quatre ambassadrices de l’exposition apporteront leur témoignage et animeront des tables rondes et des ateliers avec les élèves. 2. Le CCAS de la Ville de Fontaine exposera La Science XX elles au Parc André Malraux de Fontaine du 8 au 29 mars 2024. 3. Fairouz Malek, membre des CA de Parité Science et de Femmes & Sciences, donnera une conférence le 8 mars à Lyon au Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT), intitulée : « La question des inégalités de genre ». La conférence est ouverte à l’ensemble des agents territoriaux de Lyon. 4. Céline Ternon, présidente de Parité Science, interviendra à l’événement organisé avec le Rectorat de Grenoble le 12 mars au Lycée de Saint Marcellin (38) en présence de femmes scientifiques qui apporteront leur témoignage. Il est prévu une centaine d'élèves de seconde, filles et garçons. L'exposition XX elles sera installée dans l'établissement du 4 au 17 mars. © Femmes & Sciences, CNRS, Vincent Moncorgé, Université Grenoble-Alpes, de Inria, Parité Science < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 2 mars 2021

    Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 2 mars 2021 1 mars 2021 Évènement en ligne Mélina Macouin, géophysicienne, et Sylvie Chambon, enseignante-chercheuse en informatique, animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Rendez-vous en ligne le mardi 2 mars à partir de 18h. Mélina Macouin, chargée de recherche CNRS, géophysicienne au laboratoire Geosciences environnement Toulouse (GET/OMP - CNRS, IRD, CNES, UT3) et Sylvie Chambon enseignante-chercheuse en informatique Toulouse INP, à l'Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT - CNRS, UT Capitole, UT2J, UT3, Toulouse INP) animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Le dispositif en ligne est pensé pour favoriser les échanges avec le public. Un quiz introduira les échanges ; il sera animé par Clio Der Sarkissian, membre de l'association Femmes & Sciences et paléo-génomicienne CNRS au Centre d'anthropobiologie et de génomique de Toulouse (CAGT - CNRS/UT3). Lien d'inscription et informations complémentaires Inscription gratuite mais obligatoire Le cycle Femmes en Sciences est proposé par le CNRS Occitanie Ouest et l'association Femmes & Sciences. Il s'inscrit dans le cadre des rencontres Exploreur pilotées par l'Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées © Frédéric Maligne / Photothèque du CNRS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

bottom of page