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525 résultats

  • Femmes & Sciences participe à EXPOSCIENCE Occitanie

    Femmes & Sciences participe à EXPOSCIENCE Occitanie 3 juin 2021 4 juin 2021 En ligne Expo, quizz, et ateliers – Femmes & Sciences apporte sa contribution à l’évènement EXPOSCIENCE Occitanie les 4 et 5 juin Venez découvrir ou redécouvrir l'exposition La Science taille XXelles , réalisée par Femmes & Sciences et le CNRS, à l'accueil du centre APSAR dès le 27 mai (aperçu vidéo ). Le vendredi 4 juin, l'association animera un atelier dans une école maternelle. Le samedi 5 juin, venez nous rejoindre pour l'atelier "Stéréotypes et Sciences", un quizz et des animations pour en apprendre plus sur le sujet. Et bien d'autres animations, expos, projets, débats, ... : en savoir plus et s'inscrire sur le site du CIRASTI Flyer de l'évènement © CIRASTI < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Speed searching au Quai des Savoirs à Toulouse pour le 8 mars

    Speed searching au Quai des Savoirs à Toulouse pour le 8 mars 7 mars 2025 Quai des Savoirs, Toulouse F&S participera à l’èvenement "Les femmes scientifiques sortent de l’ombre" organisé par le Quai des Savoirs et ses partenaires. Trois chercheuses, adhérentes de F&S à Toulouse, rencontreront des élèves du Lycée de Muret au cours de l'évènement "Les femmes scientifiques sortent de l’ombre". En savoir plus : ici © Quai des Savoirs < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Isabelle Guérin-Lassous

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Isabelle Guérin-Lassous Enseignante-chercheuse en informatique "Isabelle, très à cheval sur la fibre" Isabelle Guérin-Lassous est professeure des universités, elle enseigne au département d’informatique de l'Université Claude Bernard Lyon 1 et elle effectue ses recherches au Laboratoire de l'informatique du parallélisme (LIP, ENS de Lyon / Lyon1 / CNRS / INRIA) au sein de l’équipe DANTE Inria. Après une école d'ingénieurs spécialisée en physique nucléaire dans laquelle elle démarre l'apprentissage de l'informatique, elle intègre l'ENS de Cachan, en informatique. Elle présente une thèse orientée programmation parallèle pour finalement travailler dans l'algorithmique pour les réseaux de communication et le Wi-Fi. Le Wi-Fi est partout, sait tout, peut tout. Dans les réseaux véhiculaires par exemple : sur les routes où les voitures communiquent directement entre elles des informations sur les accidents ou sur la météo. Isabelle Guérin-Lassous travaille à la compréhension et à l’amélioration de ces réseaux après avoir mis en évidence des problèmes de performances de la technologie Wi-Fi quand elle était utilisée dans des réseaux multi-sauts (sans infrastructure). L’informatique n’est pas un domaine réservé aux hommes même si les femmes s’orientent plutôt vers les bases de données, dans la représentation des connaissances, à l'interface homme-machine (ou faudrait-il dire femme-machine). Toutefois Isabelle Guérin-Lassous confirme que les hommes demeurent les grands privilégiés des postes de commande. Dans son laboratoire, elle est encore la seule femme de rang A, correspondant aux professeurs des universités et directeurs de recherche. « C'est un peu agaçant, j'avoue. Pourquoi ? J'ai du mal à l'expliquer… » Le laboratoire d’Isabelle Guérin-Lassous compte 60 personnes et seulement 10 % de femmes. Selon elle, cela s’expliquerait par les domaines de recherche particuliers de son laboratoire. Il y a une vraie volonté des établissements à s'engager pour une plus grande mixité des filières de formation à tous les niveaux d'étude, ainsi que dans les postes à responsabilité, l'informatique a besoin et attend de nouvelles candidates. « J'aimerais vraiment que les filles aillent plus vers la science. Il y a une très grande diversité de choses passionnantes à faire. Les sciences façonnent la société. Il est important que les filles participent à ce façonnage. » Son domaine, en quelques mots : Ses recherches portent sur les réseaux de communication sans fil, et plus spécifiquement sur le Wi-Fi. La technologie Wi-Fi connaît de fortes évolutions qui rendent son fonctionnement complexe. Elle cherche à déterminer les performances du Wi-Fi quand il est utilisé dans des contextes variés et actuellement peu courants (par exemple avec des milliers ou millions d’utilisateurs, entre voitures ou entre drones). Cette connaissance permet ensuite de proposer des solutions améliorant ces performances en matière, par exemple, de débit ou de délai et qui fonctionnent pour des contextes mobiles.

  • Remise du prix 2022 Thierry Célérier - Femmes & Sciences

    Remise du prix 2022 Thierry Célérier - Femmes & Sciences © Sylvaine Turck-Chièze La deuxième remise de ce prix a eu lieu lors du colloque Femmes & Sciences qui se tenait à l'IRISA/INRIA sur le campus de Rennes. Année d'exception avec 2 prix attribués. Le comité de sélection ne voyait pas comment choisir entre 2 dossiers remarquables, Marie Noelle Célérier a alors décidé exceptionnellement de remettre 2 prix d'une valeur de 10 000 euros à : - Camille Ollier, jeune femme sourde profonde de 27 ans, doctorante en Biologie de l’environnement, des populations, écologie à l'Université de La Rochelle, assistée d'une interprète en langue des signes, - Hajer Srihi, ayant 27 ans aussi, doctorante en stratégies de stabilisation en position assise chez les personnes vivant avec une lésion de la moelle épinière, à l'Université de Valenciennes, qui est atteinte d'une maladie neuromusculaire dégénérative qui la confine en fauteuil roulant avec l'intervention d'une tierce personne pour tous les actes de la vie quotidienne. Ce fut une cérémonie très émouvante où chacune a expliqué son travail de thèse et son rôle sociétal pour améliorer l'environnement de ces handicaps. Elles étaients accompagnées de leurs directeurs de thèse et encouragées par Salomé Nashed, lauréate en 2021 , qui est intervenue en visioconférence à la fin de la cérémonie. En savoir plus sur le Prix Thierry Célérier - Femmes & Sciences < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Mendeleieva à "Tu peux pas test"

    Mendeleieva à "Tu peux pas test" 6 juin 2023 13 rue Santeuil, 75005 Paris F&S présentera le jeu Mendeleieva lors d'une après-midi joyeuse et collective d’expérimentation à Paris. F&S présentera le jeu Mendeleieva le mardi 6 juin de 14h00 à 18h00 à Césure - 13, rue Santeuil 75005 Paris - lors d'une après-midi joyeuse et collective d’expérimentation à la croisée entre inclusion et fabrication. Césure qu'est-ce que c'est ? Un nouveau tiers-lieu axé sur la transmission des savoirs et savoir-faire, situé dans l’ancien campus de Sorbonne-Nouvelle Censier. Ce site devient un vaste espace de travail pour plus de 190 structures occupantes et 2000 étudiant·es et un terrain d’expérimentation pour inventer de nouvelles manières d’apprendre les un·es des autres. Qu'est-ce qu'il se passe le 6 juin ? Une dizaine de collectifs gravitant dans les mondes de l'inclusion, de la fabrication, et du numérique dont Femmes & Sciences, partagerons les initiatives qu'elles mènent dans l'année. Venez nombreux·ses le 6 juin à partir de 14h00 ! © E'FABRIK (TRACES) < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Atelier Mendeleieva dans deux collèges alsaciens

    Atelier Mendeleieva dans deux collèges alsaciens 7 octobre 2020 Alsace Tous les élèves de 3ème des deux collèges (Strasbourg et Schiltigheim) qui nous ont aidées à adapter le jeu Mendeleieva aux collégiens, ont joué avec nous ! Le jeu Mendeleieva présente 135 femmes scientifiques via un élément du tableau périodique qui est en rapport avec sa rechercleurleur recherche. Initialement conçu pour des lycéens, le jeu a été adapté aux collégiens en partenariat avec deux collèges alsaciens et deux collèges toulousains. Les élèves ont travaillé sur les cartes en cours. Ensuite, ils ont joué avec des animatrices et animateurs et ont ainsi découvert plein de femmes scientifiques ! © vpb < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Céline Chevalier

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Céline Chevalier Ingénieure de recherche en nanotechnologies "Une vie sur le nanofil" Céline Chevalier est ingénieure de recherche CNRS à l’Institut des nanotechnologies de Lyon (INL, ECL / INSA Lyon / CPE / Lyon1 / CNRS). Après un DUT Génie électrique et Informatique industrielle à Montluçon, suivi d’une licence et d’une maîtrise Électronique, Électrotechnique et Automatisme à l'Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, elle intègre un DEA orienté vers les microtechnologies qui deviennent dès lors son sujet de prédilection. Major de sa promo, elle obtient une bourse et initie une thèse en co-tutelle entre Grenoble et le Japon sur les diodes électroluminescentes en diamant et décide de poursuivre en post-doctorat son travail sur les LED. Motivée avant tout par la recherche, et après un intermède dans le privé, elle intègre l’INL où elle exerce un métier « applicatif ». Nano-technologies, micro-technologies ? C'est à l’université que que Céline Chevalier s'est décidée. Élevée et grandie dans un milieu familial sans professeurs ni docteurs « j'étais plutôt scientifique que littéraire, ça marchait bien et au collège j'aimais bien les cours de technologie. J'ai poursuivi sur cette voie. » Céline Chevalier explore désormais diverses thématiques. L’une d’elles porte sur la structuration de la matière à l'échelle nanométrique pour des applications à des cellules photovoltaïques polychromiques. Les dimensions de la structuration font varier la coloration des échantillons, permettant ainsi d’obtenir toute une gamme de couleurs. Appliquées à l’arrière des cellules photovoltaïques, ces couleurs rendent les panneaux plus esthétiques lorsqu’ils doivent être intégrés, par exemple, à l’habitat. Ils pourraient notamment être utilisés pour les panneaux publicitaires. Céline Chevalier développe également une activité relative aux matériaux pour le photovoltaïque. Elle travaille pour cela à l'élaboration de cellules en couches minces de silicium – matériau usuellement utilisé dans ce domaine – ainsi qu'avec d'autres matériaux plus « exotiques » tels que les pérovskites (un cristal sensible à la lumière qui pourrait révolutionner l'énergie solaire) ou les cellules dites « tandem » qui combinent cellules photovoltaïques en nanofils et cellules de silicium. Le grand intérêt des nanofils est leur capacité à collecter dix fois plus d'énergie lumineuse qu'une cellule conventionnelle du fait de leur diamètre plus petit ou comparable aux longueurs d'onde de la lumière visible. Ingénieure de recherche, et ensuite ? Les postes à responsabilités sont-ils réservés aux hommes ? Céline Chevalier préfère voir le verre à moitié plein plutôt que le verre à moitié vide et espère que davantage de femmes accèderont à ces postes. Très investie dans son travail, concilier sa vie professionnelle et sa vie en tant que femme et mère est au quotidien une véritable course contre la montre. « Mais je suppose que les femmes scientifiques d’il y a vingt ans avaient le même rythme que celles d'aujourd'hui. » Son domaine, en quelques mots : Le travail de la matière à l’échelle nanométrique – Les produits innovants du futur (les cellules solaires photovoltaïques, les capteurs photoniques, les LEDs, etc.) font tous appel à des structures périodiques dans deux directions pour obtenir des fonctionnalités complexes. L’intégration de ces micro-nanostructures constitue un des leviers majeurs pour développer de nouveaux composants optoélectroniques et photoniques. Céline Chevalier travaille à l’élaboration de ces structures diffractives afin de contrôler les propriétés de ces composants clés. Pour cela, elle développe des moyens de micro-nanotechnologies en salle blanche, telles que la lithographie électronique, interférentielle laser et par nano-impression.

  • Participation à la nuit de l'orientation 2021

    Participation à la nuit de l'orientation 2021 4 mars 2021 Évènement en ligne Femmes & Sciences Occitanie ouest participera à la nuit de l'orientation du 4 mars 2021 en mode 100% digital au CCI de Toulouse Haute-Garonne. Cette version 100% digitale de l'événement sera l'occasion pour nos membres, Julie Batut et Sophie Bel Vialar, de présenter leur métier et de répondre aux questions des jeunes sur la recherche scientifique. Inscription obligatoire ici : https://www.toulouse.cci.fr/agenda/nuit-de-lorientation-2021-une-nouvelle-edition-100-digitale © Sandra Turner < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Prix Thierry Célérier- Femmes & Sciences : remise du prix

    Prix Thierry Célérier- Femmes & Sciences : remise du prix Salomé Nashed, accompagnée d'Isabelle Pianet, présidente de l'association F&S et de Marie Noelle Célérier, fondatrice du prix. © Sylvaine Turck-Chièze Le prix Thierry Célérier – Femmes & Sciences a été décerné à Salomé Nashed, étudiante en doctorat à l’Institut de Biologie Paris Seine (Sorbonne – Université) en 2021. Pour sa première édition, le prix Thierry Célérier – Femmes & Sciences a été décerné à Salomé Nashed, étudiante en doctorat à l’Institut de Biologie Paris Seine (Sorbonne – Université). Ce prix, d’un montant de 10 000 €, est destiné à distinguer annuellement une jeune femme de talent en situation de handicap pour l’aider à réaliser un projet ambitieux soit d’études ou de recherches scientifiques, soit d’innovation technologique. La lauréate 2021 est une jeune femme de 25 ans, Salomé Nashed, atteinte de cécité depuis la naissance. Elle a obtenu en 2019 un master avec la mention très bien et est actuellement en troisième année de doctorat au sein du Laboratoire de Biologie Computationnelle et Quantitative. Spécialisée en bio-informatique, elle analyse les données expérimentales de l’équipe dont elle fait partie, en développant un outil d’analyse génétique. Investie dans plusieurs associations au service de personnes en situation de handicap, elle consacre ses loisirs à la musique, en particulier au piano. Le prix Thierry Célérier – Femmes & Sciences a donc trouvé, pour sa première lauréate, une jeune femme exceptionnelle, possédant une vaste palette de compétences et une grande valeur humaine. Il fut remis lors du Colloque annuel de l'association, pendant la session dédiée aux membres. < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 2 mars 2021

    Rencontre Exploreur du cycle Femmes en Sciences le 2 mars 2021 1 mars 2021 Évènement en ligne Mélina Macouin, géophysicienne, et Sylvie Chambon, enseignante-chercheuse en informatique, animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Rendez-vous en ligne le mardi 2 mars à partir de 18h. Mélina Macouin, chargée de recherche CNRS, géophysicienne au laboratoire Geosciences environnement Toulouse (GET/OMP - CNRS, IRD, CNES, UT3) et Sylvie Chambon enseignante-chercheuse en informatique Toulouse INP, à l'Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT - CNRS, UT Capitole, UT2J, UT3, Toulouse INP) animeront cette rencontre autour de leurs parcours, leurs métiers au quotidien et leurs recherches actuelles. Le dispositif en ligne est pensé pour favoriser les échanges avec le public. Un quiz introduira les échanges ; il sera animé par Clio Der Sarkissian, membre de l'association Femmes & Sciences et paléo-génomicienne CNRS au Centre d'anthropobiologie et de génomique de Toulouse (CAGT - CNRS/UT3). Lien d'inscription et informations complémentaires Inscription gratuite mais obligatoire Le cycle Femmes en Sciences est proposé par le CNRS Occitanie Ouest et l'association Femmes & Sciences. Il s'inscrit dans le cadre des rencontres Exploreur pilotées par l'Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées © Frédéric Maligne / Photothèque du CNRS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Exposition et inauguration de "La Science taille XX elles" à Grenoble

    Exposition et inauguration de "La Science taille XX elles" à Grenoble 20 novembre 2021 5 novembre 2021 Jardin de Ville, Grenoble Créée en 2018 par le CNRS et Femmes & Sciences, La Science taille XX elles met en lumière des femmes scientifiques contemporaines. Après Toulouse, Lyon et Paris, Grenoble s'empare du projet en 2021. À l’occasion du congrès ESOF (European Open Science Forum) organisé à Toulouse en 2018, le groupe toulousain de Femmes & Sciences a développé, conjointement avec la délégation régionale Occitanie Ouest du CNRS, le projet La Science taille XX elles . Ce projet avait pour objectif de mettre en lumière des femmes scientifiques qui font la science d’aujourd’hui et celles du passé, souvent remarquables mais toujours méconnues. Ainsi, un parcours a été réalisé au cœur de Toulouse à la recherche de savantes dont les noms mériteraient de figurer sur les plaques de rues et douze femmes scientifiques contemporaines exerçant dans des disciplines variées ont été photographiées. Leurs photos ont constitué une exposition qui a été installée dans les vitrines des Galeries Lafayette puis dans différents sites toulousains. Depuis, la partie exposition du concept a été déclinée dans plusieurs régions de France : en 2019, à Lyon, vingt portraits ; en 2020, en Ile de France, seize portraits et maintenant à Grenoble où 21 femmes scientifiques se sont engagées à donner leur temps et leur image afin de susciter l'intérêt et la curiosité de tous. Tous les portraits ont été réalisés par le photographe Vincent Moncorgé , ce qui en assure l’harmonie esthétique. Pour enrichir ces expositions, un catalogue présentant les ambassadrices, leur parcours et leur métier a été édité pour chaque région. L'exposition sera au Jardin de Ville du 20 novembre au 5 décembre. L'inauguration aura lieu le 20 novembre à partir de 15h en présence de tous les partenaires du projet (Femmes & Sciences, le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP – UGA, Inria Grenoble Rhône-Alpes et l’association Parité Science). < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Ateliers des stéréotypes en vidéo

    Ateliers des stéréotypes en vidéo Des vidéos pour apprendre à utiliser ces ateliers mis en place par F&S. Femmes & Sciences lutte contre les stéréotypes de genre avec ses partenaires : le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et des Sports , la région Occitanie , la CASDEN et le Quai des Savoirs . Depuis 2019, l’association a mis en place des ateliers, lors des interventions en milieu scolaire et "grand public" pour apprendre à identifier et à combattre les stéréotypes de genre, en particulier dans les sciences. Femmes & Sciences met en ligne sur son site internet et sa chaîne Youtube : la vidéo de présentation de ces ateliers des stéréotypes par la présidente de Femmes & Sciences, Nadine Halberstadt ; le premier atelier « Bien choisir ses jouets » ; un entretien filmé avec Evelyne Nakache, qui complète l’atelier par des explications sur les constats et les solutions mises en place, par exemple la Charte des Jouets signée en 2020, notamment par Femmes & Sciences. D'autres ateliers sur les stéréotypes de genre seront mis en ligne prochainement. Le tournage a eu lieu au Quai des Savoirs, à Toulouse, en janvier 2021, avec les bénévoles de la délégation Occitanie Ouest et les figurants Leïla Laporte, Juan Antonio Bertran et Camille Job. Ces vidéos ont été réalisées par Barthélemy G. Thumerelle . < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

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