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482 éléments trouvés

  • Remise du prix 2023 Thierry Célérier - Femmes & Sciences

    Remise du prix 2023 Thierry Célérier - Femmes & Sciences © F&S Ce prix a été remis à Emilia Turc durant le Colloque national 2023 de Femmes & Sciences. Polytechnicienne et doctorante à l’APHP Hôpital Lariboisière, Emilia Turc est lauréate du prix "Thierry Célérier - Femmes & Sciences 2023", destiné à encourager des jeunes femmes, en situation de handicap, dans la réalisation de leur projet scientifique ou technique. Ce prix lui a été décerné le 24 novembre 2023, à l’occasion du colloque annuel de l’Association Femmes & Sciences. Depuis sa création en 2021, le prix "Thierry Célérier - Femmes & Sciences" récompense des jeunes femmes de 20 à 28 ans en situation de handicap souhaitant réaliser un projet ambitieux, soit d’études ou de recherches scientifiques, soit d’innovation technologique. Depuis deux ans, le prix a déjà mis à l’honneur et soutenu dans leur entreprise trois jeunes femmes, au parcours exceptionnel. Décerné pour sa troisième édition à l’École Normale Supérieure - PSL, par Isabelle Vauglin, Présidente de l’association Femmes & Sciences et par Marie-Noëlle Célérier, fondatrice du prix, celui-ci récompense cette année Emilia Turc, ingénieure de l’École polytechnique, actuellement en première année de thèse à l’APHP Hôpital Lariboisière. Une personnalité au parcours exemplaire Malgré de multiples handicaps qui l’obligent notamment à se déplacer en fauteuil roulant, et après deux années de classe préparatoire au Lycée Henri IV, Emilia entre à l’École polytechnique où elle effectue une scolarité exemptée des obligations militaires. Elle suit parallèlement des cours de licence de philosophie, un stage de recherche en entreprise pharmaceutique, un master de mathématiques appliquées à l’apprentissage machine. Son projet est de se spécialiser dans l’intelligence artificielle appliquée à la santé. Depuis la rentrée universitaire 2023 - 2024, elle a donc débuté une thèse de doctorat intitulée « modélisation des réponses du cerveau de patients sous anesthésie générale », visant à contribuer à la réduction des complications postopératoires de certains patients anesthésiés. Débordante d’énergie et dotée d’un sens aigu du service à la communauté du handicap, Emilia s’investit parallèlement dans des actions humanitaires, tout d’abord au profit d’enfants hospitalisés, puis auprès d’autres jeunes en situation de handicap. Doté d’un montant de 10 000 euros, le prix lui permettra de motoriser son fauteuil roulant, d’effectuer des adaptations à son domicile, de se procurer des appareillages non remboursés et de faciliter ses déplacements domicile-travail. Nous lui adressons nos plus sincères félicitations. ------ Extraits de l’intervention d’Emilia lors de la remise du prix "Je ressens en ce moment ce qu’on appelle une fierté du handicap - un concept émergent du mouvement des droits des personnes handicapées aux Etats-Unis. Que cela signifie-t-il ? Cela veut-il dire que je suis fière d’être malade, d’être en souffrance ? Certainement pas, mais j’ai pourtant de nombreuses raisons d’être fière d’être handicapée. Alors que j’accepte ce prix, l’enseignement supérieur reste inaccessible à des milliers de personnes handicapées. A ce jour, seules 8,3 % des personnes ayant une reconnaissance de leur handicap ont un diplôme supérieur au Bac, soit moins du tiers de la population non handicapée. J’ai pu constater par moi-même la réalité d’un parcours d’études totalement inadapté au handicap, et les conséquences néfastes de cette inaccessibilité sur ma santé. Mon vécu est semé de difficultés, et marqué par une nette perte de confiance en soi en lien avec les déficiences dues à mon handicap. J’ai souvent douté de moi, je ne me suis pas sentie à ma place, n’ayant pas de personne modèle, femme scientifique et handicapée, pour me donner espoir pour ma carrière scientifique. Ainsi, cette fierté handicapée promeut, au contraire, une attitude positive envers le handicap, encourageant les personnes handicapées à célébrer leur identité, leur diversité, et à revendiquer leurs droits, s'opposant ainsi à la stigmatisation et à la discrimination souvent associées au handicap. Le handicap fait partie de moi et a forgé mon parcours. Je ne suis certes pas fière de ma maladie, mais je suis fière de prendre de la place dans une société souvent validiste. Je suis fière de m’être adaptée et d’avoir réussi dans un monde qui s’adapte peu à moi. Fière de faire face chaque jour aux symptômes liés à ma pathologie, mais de continuer à me construire malgré cela. Et je suis fière de la force et de la solidarité de la communauté handicapée. C’est la raison pour laquelle je m’adresse aujourd’hui également à toutes les jeunes femmes handicapées qui hésitent à poursuivre une carrière scientifique, et je suis là pour leur dire : vous pouvez y arriver, vous êtes fortes et vous avez votre place dans le monde scientifique." < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Magalie Ochs

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Magalie Ochs Informaticienne « Je pense donc je code » Magalie Ochs est maîtresse de confé­rences à Aix-Marseille Université. Après l’obtention de son master en intelligence artificielle à Montréal, elle a orienté son doctorat sur la modélisation et la forma­lisation de l’empathie dans les agents virtuels. Elle travaille aujourd’hui au Laboratoire d’informatique et systèmes [1]. Donner une dimension sociale et émo­tionnelle aux robots humanoïdes ou aux personnages virtuels, c’est le but des tra­vaux de Magalie Ochs, qui s’inscrivent dans un récent courant de recherche de l’intel­ligence artificielle. Il s’agit par exemple de leur donner la capacité d’exprimer des émotions (tristesse, joie, colère, etc.) ou des attitudes sociales comme manifester de l’empathie, de l’autorité, ou de la sym­pathie envers l’utilisateur à travers différents indices verbaux et non-verbaux (expressions faciales, gestes, tours de parole, distance sociale). « Ma motivation est de rendre l’in­telligence artificielle plus humaniste. » Pour développer de tels systèmes huma­noïdes socio-émotionnels, il faut construire des modèles informatiques de phéno­mènes complexes telles que les émotions, l’empathie, et les attitudes sociales. Pour ce faire, Magalie Ochs utilise des données provenant de l’observation des interactions entre des personnes, analysées avec des lin­guistes et des spécialistes de neuroscience, en utilisant des outils d’apprentissage auto­matique construits pour cette application. Les enjeux sociétaux de ces recherches sont fondamentaux car des systèmes interactifs sont de plus en plus utilisés pour jouer des rôles où l’intelligence socio-émotionnelle est essentielle : tuteur, coach, assistant, acteur, etc. Ces systèmes sont développés dans l’objectif non pas de remplacer l’hu­main mais de pallier des problématiques sociétales, comme l’absence de formation ou le cloisonnement social. Ils peuvent aussi être utilisés pour lutter contre la discrimina­tion de genre et ethnique. Les domaines d’application des recherches de Magalie Ochs sont vastes : simulation d’entretien d’embauche avec un recruteur virtuel, formation des médecins à l’annonce d’événements graves avec une patiente virtuelle, coach virtuel pour inciter les per­sonnes âgées à faire du sport, formation à la prise de parole en public, lutte contre les stéréotypes de genre dans l’apprentissage, etc. Magalie Ochs est très impliquée dans la lutte pour la parité en sciences. « J’ai été confrontée à la problématique d’absence de parité depuis le début de ma carrière, mais je suis convaincue que nous pouvons renverser cette tendance pour les généra­tions futures. » [1] – LIS (Aix-Marseille Université/CNRS)

  • Sciences, un métier de femmes ! 2023

    Sciences, un métier de femmes ! 2023 © Leah Touitou 7ème édition de la journée "Sciences, un métier de femmes !" le 30 mars 2023 pour les lycéennes de l'Académie de Lyon La journée Sciences, un métier de femmes ! revient en 2023 pour la 7ème année consécutive, une journée de rencontre spécifiquement dédiée aux lycéennes de l'Académie de Lyon. Le but de cette journée est de les inciter à choisir des voies qui les conduisent, elles aussi, aux postes scientifiques et technologiques les plus qualifiés. Depuis 2017, le succès a démontré la pertinence de s’adresser directement aux lycéennes et que le manque de références féminines dans le monde scientifique a un impact énorme sur la représentation qu’ont les jeunes filles de la place des femmes dans les sciences. L’idée est de montrer par l’exemple que tous les métiers scientifiques sont mixtes. Au cours de la journée, les lycéennes rencontrent des jeunes femmes scientifiques, exerçant des métiers variés, jeunes femmes auxquelles les lycéennes pourront ainsi s’identifier et se référer comme modèles. Ces marraines viennent témoigner de la diversité de leur profession et de leurs parcours d’étude et démontrer que les femmes peuvent accéder à tous les métiers scientifiques et technologiques. Liens : Compte-rendu en BD de la journée "Sciences, un métier de femmes!" 2022 En savoir plus sur les éditions précédentes < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Rebecca Castel

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Rebecca Castel Toxicologue « Vos enfants ont toute mon attention » Rebecca Castel est titulaire d’un doc­torat en santé et environnement à l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie marine et continentale [1] et au Laboratoire chimie environnement [2]. Elle est spécialisée en toxicologie envi­ronnementale et ses travaux ont été récompensés par un prix Jeune chercheur de la Société française de toxicologie génétique en 2020. Tout juste sortie de ses études en sciences pharmaceutiques, Rebecca Castel se lance dans l’exploration des effets de l’environne­ment sur la santé et plus particulièrement des poussières qui nous entourent. Comme les jeunes enfants sont les plus exposés et les plus sensibles à ces exposi­tions, c’est avec l’étude des poussières au sol, récoltées dans différentes écoles mater­nelles, que Rebecca Castel a décidé de débuter son apprentissage de jeune cher­cheuse. Elle s’est d’ailleurs donnée comme défi de répondre à de nombreuses ques­tions : quels sont les contaminants contenus dans ces poussières ? Comment ces conta­minants dépendent de l’environnement des écoles ? Quels contaminants sont libérés quand les poussières sont ingérées ? Est-ce que les contaminants interagissent entre eux ? Est-ce que ces contaminants libérés vont provoquer des dommages dans les cellules de l’estomac ? Et si oui, à quelle échéance ? Pourraient-ils être responsables de l’apparition d’un cancer dans quelques décennies ? Les réponses à ces questions pourraient permettre d’évaluer les risques auxquels les enfants sont exposés et d’orienter les politiques publiques afin d’améliorer leur environnement. Dans cet objectif, les mairies qui hébergent les écoles sous observation collaborent au programme de recherche. Néanmoins, la durée d’une thèse ne suffira pas pour apporter une réponse à toutes ces questions et c’est dans un long projet que s’est engagée Rebecca Castel. Pour l’instant, Rebecca Castel a focalisé son travail sur deux familles de molécules, et il reste encore beaucoup d’informations manquantes sur d’autres familles chimiques également présentes dans les poussières. Notre environnement quotidien est fait de mélanges de centaines de molécules, dont nous connaissons encore très peu les effets sur la santé. « J’espère étendre le champ de mes recherches et pouvoir un jour répondre à toutes les questions qui sont encore en suspens afin d’améliorer la santé des gens qui m’entourent, des plus jeunes aux plus âgés ». [1] – IMBE (Aix-Marseille Université/Avignon Université/CNRS/IRD) [2] – LCE (Aix-Marseille Université)

  • 2ème conférence virtuelle pour les chercheuses en Archéologie et en Paléontologie

    2ème conférence virtuelle pour les chercheuses en Archéologie et en Paléontologie 7 mars 2022 7 mars 2022 En ligne Après le succès de sa première édition, la Virtual Conference for Women Archaeologists and Paleontologists, est de retour ! Cette année, la conférence se tiendra les 7 et 8 mars 2022 sur la plateforme Zoom. L’objectif de cet évènement reste le même : rendre visible la recherche menée par des chercheuses en début de carrière dans ces disciplines, et réfléchir aux problèmes rencontrés par les femmes dans le milieu des sciences. Le thème général de la conférence porte sur l’étude des populations et des environnements du Néogène au Néolithique . Programme détaillé disponible ici : https://womenpaleoarch.sciencesconf.org/ Le 7 mars à 16h (heure française), la journée se terminera par une conférence de May Morris , directrice de recherche CNRS en biochimie, membre active de l’association Femmes & Sciences et de l’European platform Women in Science (EPWS). Sa conférence s’intitulera “Quitting the Imposter syndrome : Weaving a network of support and confidence through mentoring”. Pour vous inscrire et assister à l’événement en tant que public, c’est gratuit et c’est ici . Pour suivre les infos sur twitter, c'est avec @women_archeopal . © AWAP < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Anne Socquet

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Anne Socquet Géophysicienne "Mère de 3 enfants et scientifique, j’ai pu expérimenter combien il est difficile de concilier vie familiale et vie professionnelle. J’ai eu la chance ces dernières années d’être sollicitée pour prendre des responsabilités, mais ce parcours n’a pas toujours été simple et il a fallu faire preuve de beaucoup de volonté, de travail, de ténacité, et d’organisation. Je sais combien il peut sembler ardu pour les jeunes de s’engager dans une carrière scientifique. Cela est particulièrement vrai pour les jeunes femmes qui doivent souvent dépasser les barrières culturelles et sociales qui leur sont imposées. Le milieu scientifique, permet de faire plusieurs métiers en un, et d’évoluer tout au long de sa carrière. C’est très stimulant !" Anne Socquet est enseignante-chercheuse à l’UGA, physicienne du globe pour l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble, et rattachée au laboratoire ISTerre. Elle est spécialisée en géodésie spatiale appliquée à la tectonique et la sismologie. C’est en juin 2001, au sud du Pérou, qu’Anne Socquet a ressenti pour la première fois une secousse sismique qui a duré plus de 3 minutes. Un tremblement de terre qui a fait s’effondrer les flèches de la cathédrale d’Arequipa et déclenché un petit tsunami. Anne Socquet décide alors de se spécialiser dans l’étude des failles actives, afin de comprendre comment elles sont chargées par les mouvements tectoniques et comment elles rompent lors des séismes. Lors de la décennie qui a suivi, trois tsunamis dévastateurs furent déclenchés en 2004, 2010 et 2011 par des séismes géants en Indonésie, au Chili puis au Japon. Trois événements majeurs qui ont fortement marqué la recherche d’Anne Socquet. Elle étudie les séismes et la façon dont ils se préparent, en utilisant notamment des outils de géodésie satellitaire. Une partie du travail consiste à installer des instruments sur le terrain pour avoir des données in-situ dans les régions actives mais mal couvertes, comme par exemple en Amérique du Sud (Chili, Pérou), Asie (Indonésie, Birmanie), ou Afrique de l’Est. Ces données sont ensuite analysées et modélisées au laboratoire afin de mesurer la déformation de l’écorce terrestre générée avant, pendant et après les séismes, et pour comprendre les mécanismes physiques qui gouvernent ces séismes. En plus de sa mission de recherche, Anne Socquet a une mission d’observation pour suivre et analyser la déformation du sol en France et en Europe. Elle enseigne à l’Université, et assure une mission d’administration de la recherche.

  • Stand Parité au Parvis des Sciences à Grenoble

    Stand Parité au Parvis des Sciences à Grenoble 7 octobre 2022 8 octobre 2022 Grenoble Filles et garçons, osez les sciences et la technologie ! L’objectif de ce stand est de donner envie aux filles et aux garçons de s’orienter vers les sciences et les technologies. Malgré la progression du nombre de filles dans ces filières, la parité est loin d'être atteinte. Le stand proposera des ateliers sur les stéréotypes qui permettront aux participant·es de prendre conscience de façon ludique des stéréotypes rencontrés au quotidien. Les participant·es pourront discuter avec des femmes et des hommes engagés dans des métiers scientifiques et techniques. Anne Socquet et Eletta Negretti, toutes 2 ambassadrices de La science taille XX elles , seront présentes sur le stand pour parler de leur métier et de leurs travaux de recherche en lien avec le climat, thème de la Fête de la Science cette année. En savoir plus : https://parvis-des-sciences.com/presentation-des-ateliers/ © F&S < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Editathon Femmes & Sciences 2021

    Editathon Femmes & Sciences 2021 10 mars 2021 13 mars 2021 Évènement en ligne "Femmes de l'Intelligence artificielle VS Femmes des sciences de la Terre : le match". Choisissez votre équipe et défendez-la sur Wikipédia du 11 au 14 mars 2021. Pendant 4 jours, du 11 au 14 mars 2021, que vous soyez un·e contributeur·trice habitué·e ou débutant·e, enrichissez les biographies de femmes (historiques ou contemporaines) dans ces deux disciplines. Tous les coups (ou presque) sont permis : création d'article, traduction d'un article depuis un Wikipédia étranger, enrichissement / correction d'un article existant, ajout de sources, légende de photos... A la fin, ce sont les femmes qui gagnent ! Cet événement est organisé en marge de la Journée internationale des droits des femmes (8 mars) et dans le cadre de deux événements : "Les femmes scientifiques sortent de l'ombre " à Toulouse et la Saison aux couleurs de la Terre à Grenoble. Vous voulez participez ? Retrouvez les principales étapes et les liens incontournables sur la page wikipédia de l’évènement . © Sarah Krichen WMFr < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Martina Pastorino lauréate du "prix de thèse de la parité"

    Martina Pastorino lauréate du "prix de thèse de la parité" ​ Martina PASTORINO, qui a fait sa thèse en cotutelle INRIA/Université Côte d'Azur-Université de Gènes a obtenu le "prix de la thèse de la parité" pour l'excellence de sa thèse. Martina Pastorino a obtenu le 10 octobre dernier le prix de thèse de la parité de l'Ecole Doctorale : Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (EDSTIC) de l'Université Côte d'Azur (UniCA) pour sa thèse en co-tutelle avec l’Université de Gênes en Italie (Josiane Zerubia, directrice de thèse, Inria et membre de F&S; G. Moser, co-directeur de thèse). Cette thèse a été soutenue le 17 décembre 2023. Un beau succès pour Martina ! La condition pour obtenir ce prix est que la thèse soit excellente (les 2 rapporteurs et le président du jury doivent la proposer pour le prix de la meilleure thèse de l'ED STIC). De plus, ce prix n'est attribué qu'`a une étudiante inscrite a l'ED STIC d'UniCA ayant une directrice de thèse.... d’où le nom "le prix de thèse de la parité". Site web de Martina Pastorino : ici < Précédent Voir toutes les actualités Suivant >

  • Talk du média Lab 5 - Favoriser le parcours de femmes dans les sciences

    Talk du média Lab 5 - Favoriser le parcours de femmes dans les sciences 12 mars 2021 ​ Évènement en ligne Quelle est la situation des femmes dans les sciences ? Quelles actions de culture scientifique permettent de favoriser leur engagement dans des parcours scientifiques ? Que vous soyez à la recherche de ressources et d’inspirations, ou bien vous même engagé dans la bataille avec de bonnes pratiques à partager, participez à ce temps d’échange et de réflexion autour de nos pratiques culturelles qui favorisent l’inclusion des femmes dans les sciences. Avec la participation de : Dr Constanza Rojas Molina , mathématicienne, CY Cergy Paris Université. Dr Fairouz Malek , Physicienne, directrice de Recherche au CNRS, Laboratoire de Physique Subatomique et Cosmologie de Grenoble, membre de Femmes & Sciences et de Parité Science. Julie De Araujo , Cheffe de projet Orientation & Egalité, Objectif Pour l’Emploi. Vendredi 12 mars de 9h à 11h. Pour en savoir plus et s'inscrire : https://lacasemate.fr/programmation/talk-du-media-lab-5/ © La Casemate 2003/2021 < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

  • Marlène Assié

    © Vincent Moncorgé Photothèque CNRS Association Femmes & Sciences Marlène Assié Physicienne nucléaire "Les atomes, je les cible en plein coeur" Marlène Assié est physicienne, spécialisée dans la physique expérimentale, chargée de recherche au CNRS. Elle travaille au Laboratoire de physique des 2 infinis Irène Joliot-Curie (IJCLab - CNRS/ Université Paris-Saclay). Très jeune, Marlène Assié regarde le ciel avec son grand-père en lui posant de nombreuses questions pour comprendre le fonctionnement des étoiles et la création de l’Univers. Animée par la curiosité, elle veut décrypter le monde qui l’entoure et s’oriente vers des études scientifiques. Marlène termine une classe préparatoire en mathématiques avant de rejoindre l’Université où elle découvre la mécanique quantique. Cette rencontre décisive la convainc de persister dans les études de physique fondamentale. Après un stage d’été au CERN, elle décide de s’intéresser plutôt à l’infiniment petit et effectue une thèse mi-expérimentale mi-théorique en physique nucléaire. L’implication sans relâche des équipes de chercheurs et de techniciens avant et pendant l’expérience et l’excitation des premiers résultats lui permettent de faire son choix : elle sera physicienne expérimentatrice ! Après un post-doctorat en astrophysique nucléaire, Marlène Assié intègre le CNRS en 2009. Son travail de chercheuse consiste à imaginer et réaliser des expériences dans différentes installations mondiales, avec pour objectif d’étudier certains aspects des noyaux atomiques. Souvent les expériences durent une semaine et une importante collaboration internationale est sur le pont pendant cette période 24h sur 24. Ensuite, l’analyse des données débute pour extraire les résultats qui seront publiés. Aujourd’hui les noyaux sont le terrain de jeu de Marlène Assié : elle les casse, leur rajoute des nucléons, les déforme pour extraire tous leurs secrets. Parfois, des phénomènes étonnants se produisent : certains noyaux gonflent leur taille artificiellement, d’autres forment des sortes de grumeaux. Et Marlène essaie de comprendre les mécanismes à l’origine de ces bizarreries. En parallèle de ce travail, Marlène Assié développe les détecteurs et les dispositifs expérimentaux nécessaires à ses mesures. Une mission qu’elle mène au sein d’une collaboration internationale et avec l’aide des équipes d’ingénieurs du CNRS.

  • Colloque sur « Les réseaux de femmes scientifiques »

    Colloque sur « Les réseaux de femmes scientifiques » 15 octobre 2021 ​ Amphithéâtre Poincaré, MESRI, 25 rue de la Montagne Sainte-Geneviève, 75005 Paris L’association Femmes & Sciences organise un colloque à la mémoire de Claudine Hermann sur « Les réseaux de femmes scientifiques ». Voici le programme du colloque à la mémoire de Claudine Hermann sur « Les réseaux de femmes scientifiques » : DATE : vendredi 15 octobre, 14h00 - 17h30 LIEU : amphithéâtre Poincaré, MESRI, 25 rue de la Montagne Sainte-Geneviève, Paris V. Évènement réservé aux adhérent.es de F&S. 14h. Accueil par Isabelle Pianet, présidente de Femmes & Sciences. Intervention de Jean-Paul Hermann. 14h10. Introduction - Intervention de François Ozanam, ancien collègue de Claudine Hermann au laboratoire de Physique de la Matière Condensée à l’École Polytechnique, Directeur de recherche au CNRS. 14h30. Claudine et la genèse de Femmes & Sciences Table ronde animée par Colette Guillopé avec la participation de Françoise Cyrot-Lackmann, Françoise Gaspard, Colette Kreder et Christine Charretton. 15h30. Claudine et son engagement au sein de Femmes & Sciences (15h30) Auprès des membres , animée par Nadine Halberstadt : témoignages de May Morris, Adèle Peugeot, Karima Boudaoud, Nedjma Bendiab. (16h) Vers les institutions et partenaires , animée par Evelyne Nakache : avec les interventions de Béatrice Noël (MESRI), Judith Klein (MENJS), Elisa Simonpietri (Fondation l’Oréal), Elisabeth Kohler (CNRS), Michel Spiro (SFP). (17h) Lucia Martinelli (EPWS). 17h15. Conclusion par Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Carton d'invitation au format pdf Programme au format pdf © Association EPWS < Précédent Voir tout l'agenda Suivant >

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